Si l’on zoome sur les réponses des 158 DSI de PME interrogés, ce chiffre monte à 86% chez les DSI appartenant à des PME en fort développement contre 77% dans les PME à faible croissance.
Autre chiffre : Dans les entreprises en forte croissance, 58% des DSI s’attachent à convertir activement les montagnes de données en informations utiles. Ils ne sont que 36% dans les entreprises dont l’activité se développe lentement.
Ces chiffres montrent encore que la plupart des DSI considèrent la gestion des volumes d’information comme primordiale pour améliorer le processus décisionnel.
Ils confirment que les solutions décisionnelles et analytiques permettent de déceler les tendances dans d’énormes volumes de données et d’en extraire des informations pertinentes pour prendre les bonnes décisions au service de la performance de l’entreprise.
« Nous cherchons sans cesse à nous améliorer nos capacités d’analyse des données car les directions opérationnelles appuient de plus en plus leurs décisions sur les informations que nous leur fournissons », déclare un DSI du secteur de la distribution.
« Nous sommes parfaitement conscients de l’avantage stratégique que confère l’exploitation des données pour l’optimisation du processus décisionnel. Nous ne sommes pas aussi forts que nous le voudrions, mais c’est un élément essentiel de notre stratégie de progrès », explique un DSI du secteur des produits de grande consommation en Irlande.
Ces résultats et bien d’autres sont détaillés dans la synthèse Midmarket Executive Summary, intégrée à l’étude IBM Global CIO Study 2009, la plus vaste enquête en face à face jamais réalisée auprès des DSI. Intitulée « Le nouveau visage du DSI », elle présente les idées et la vision de plus de 2 500 directeurs informatiques, issus d’entreprises de différentes tailles dans 78 pays et 19 secteurs d’activités. Parmi ce panel, ont été interrogés 158 DSI de PME de moins de 1000 salariés à travers 31 pays, répartis en trois catégories : « DSI forte croissance », « DSI croissance moyenne », « DSI faible croissance ».
Autre chiffre : Dans les entreprises en forte croissance, 58% des DSI s’attachent à convertir activement les montagnes de données en informations utiles. Ils ne sont que 36% dans les entreprises dont l’activité se développe lentement.
Ces chiffres montrent encore que la plupart des DSI considèrent la gestion des volumes d’information comme primordiale pour améliorer le processus décisionnel.
Ils confirment que les solutions décisionnelles et analytiques permettent de déceler les tendances dans d’énormes volumes de données et d’en extraire des informations pertinentes pour prendre les bonnes décisions au service de la performance de l’entreprise.
« Nous cherchons sans cesse à nous améliorer nos capacités d’analyse des données car les directions opérationnelles appuient de plus en plus leurs décisions sur les informations que nous leur fournissons », déclare un DSI du secteur de la distribution.
« Nous sommes parfaitement conscients de l’avantage stratégique que confère l’exploitation des données pour l’optimisation du processus décisionnel. Nous ne sommes pas aussi forts que nous le voudrions, mais c’est un élément essentiel de notre stratégie de progrès », explique un DSI du secteur des produits de grande consommation en Irlande.
Ces résultats et bien d’autres sont détaillés dans la synthèse Midmarket Executive Summary, intégrée à l’étude IBM Global CIO Study 2009, la plus vaste enquête en face à face jamais réalisée auprès des DSI. Intitulée « Le nouveau visage du DSI », elle présente les idées et la vision de plus de 2 500 directeurs informatiques, issus d’entreprises de différentes tailles dans 78 pays et 19 secteurs d’activités. Parmi ce panel, ont été interrogés 158 DSI de PME de moins de 1000 salariés à travers 31 pays, répartis en trois catégories : « DSI forte croissance », « DSI croissance moyenne », « DSI faible croissance ».