Laurence Yvon
C'est une réalité, le climat économique est particulièrement tendu. Ainsi, les entreprises se doivent de réagir encore plus vite et prendre les décisions qui s'imposent pour faire face à la concurrence. Les directions financières doivent donc être capables d'avoir une agilité encore supérieure à celle qu'elles ont aujourd'hui.
Être capable d'inverser le flow et devenir agile à 360°
De façon usuelle, l'approche de la fonction finance pour récupérer les informations venant des métiers de l'entreprise est bottom-up, c'est à dire ascendante. Dans les faits, toutes les équipes passent des soirées et des week-end entiers sur des fichiers excel, afin que les métiers communiquent leurs informations au contrôle de gestion qui les consolident.
Or, ce processus classique de collecte manuelle des données financières, issues d'une multitude de bases de données, manipulées par de nombreuses personnes dans différents services, est devenu trop chronophage, décousu et coûteux. Cette façon de réaliser des reporting est, hélas, propice aux erreurs, trop risquée pour la précision et la cohérence des états financiers, et génère ainsi un stress supplémentaire non négligeable.
Si c'est le Comité Exécutif qui met le doigt sur une erreur dans un rapport annuel, des informations communiquées à l'extérieur, les conséquences sont alors extrêmement fâcheuses. Car le CFO est considéré comme le « gardien du temple ».
Ainsi la transformation de la fonction finance devient une évidence.
Transformer, c'est avant tout être capable d'inverser le flow et devenir agile à 360°.
En clair, permettre aux équipes de la direction financière, au travers d'une solution globale et unifiée, de pouvoir envoyer des tableaux de bord affichant des informations très facilement compréhensibles par les métiers afin qu'ils puissent prendre rapidement les bonnes décisions. En automatisant ce processus, l'entreprise le rationnalise, le simplifie et l'accélère et permet de créer des conditions favorables pour plus de collaboration, de workflow, de conformité et de contrôle de l'ensemble du cycle de publication du début à la fin.
Tout le monde a besoin d'accéder à l'information financière
Concrètement, cela s'illustre par le fait d'avoir en permanence accès à une seule version de la vérité qui devient dynamique, réconciliée et agrégée. Par conséquent, le CFO peut accéder, de façon très rapide, à une information fiable et la diffuser sereinement en mode collaboratif vers les analystes, les dirigeants, le Comité Exécutif, les équipes finance et métiers. Tout le monde a besoin d'accéder à l'information financière quel qu'en soit l'objectif, contrainte règlementaire ou décision business.
Mais toutes les solutions d'automatisation ne se valent pas. Aujourd'hui, la majorité des entreprises utilisent un système d'information qui a grandi par étapes. Elles se retrouvent donc avec un puzzle de systèmes d'information très complexe. De fait, le Directeur financier passe énormément de temps à s'y retrouver et se demander où est la vraie version de la vérité.
Son challenge, désormais, est que tout un chacun puisse accéder à une information fiable, plus simplement, rapidement, et tout en réduisant les coûts. Or, les entreprises ne peuvent pas s'offrir le luxe de consacrer des millions d'euros pour être capable de créer elle-même cette agilité.
Voilà pourquoi, il est préférable de privilégier une solution globale et unifiée qui va permettre d'adresser tous les processus du monde de la finance, que l'on parle de consolidation statutaire, d'élaboration budgétaire, d'allocation des coûts ou encore de profitabilité, dans un cercle vertueux.
De plus, la tendance aujourd'hui est à la transformation digitale des entreprises en optant pour le Cloud. Mais, pour un directeur financier qui, par nature, gère des risques, cela génère encore une grande anxiété. Or, le Cloud c'est justement la solution qui va leur permettre d'avoir une économie d'échelle, de réduire les coûts, devenir agile, et évoluer en terme de changement.
De fait, une solution logicielle qui gère tous les processus du monde de la finance doit être nativement dans le Cloud. D'autant plus qu'avant de décider de mettre ses données financières dans le Cloud, on peut classifier le niveau de sécurité requis sur ces données afin de déterminer celles qui resteront dans l'entreprise et celles qui seront hébergées dans le Cloud.
Le CFO, partenaire stratégique au sein de l'entreprise
Ainsi, en adoptant une solution globale et unifiée, et en faisant le choix du Cloud, le CFO sera davantage considéré comme un partenaire stratégique au sein de l'entreprise. La fonction finance va pouvoir non seulement automatiser les process et réduire les risques mais aussi supporter les décisions stratégiques du Comité Exécutif et du CEO, supporter les métiers dans leurs décisions et déployer ce plan stratégique dans l'organisation.
Enfin, dernier bénéfice et non des moindres : être paré pour le changement.
Si on achetait telle entreprise, quel serait l'impact sur notre P&L ? Quelle rentabilité si on abandonne telle ligne de produit ? Le Directeur financier doit pouvoir s'adapter très facilement à une modification de périmètre ou répondre instantanément à un besoin de simulation. Ce qui est inenvisageable sans un outillage fiable.
Car la rentabilité passe par le contrôle de gestion. Le fait de pouvoir identifier, par exemple, des zones géographiques ou des lignes de produits qui posent un problème en attaquant la marge et la profitabilité de l'entreprise. Il y a des structures d'allocation de coûts qui sont extrêmement complexes. Pour pouvoir les évaluer, il est impératif d'être bien outillé et de leur apporter des fonctions finances natives qui vont leur permettre de calculer ces coûts et ces rentabilités. Mais cela ne peut pas se faire en un clic sans une solution logicielle fiable.
Chacun son métier. Celui de l'éditeur est justement d'offrir au Directeur financier les moyens d'être encore plus performant dans le sien.
Être capable d'inverser le flow et devenir agile à 360°
De façon usuelle, l'approche de la fonction finance pour récupérer les informations venant des métiers de l'entreprise est bottom-up, c'est à dire ascendante. Dans les faits, toutes les équipes passent des soirées et des week-end entiers sur des fichiers excel, afin que les métiers communiquent leurs informations au contrôle de gestion qui les consolident.
Or, ce processus classique de collecte manuelle des données financières, issues d'une multitude de bases de données, manipulées par de nombreuses personnes dans différents services, est devenu trop chronophage, décousu et coûteux. Cette façon de réaliser des reporting est, hélas, propice aux erreurs, trop risquée pour la précision et la cohérence des états financiers, et génère ainsi un stress supplémentaire non négligeable.
Si c'est le Comité Exécutif qui met le doigt sur une erreur dans un rapport annuel, des informations communiquées à l'extérieur, les conséquences sont alors extrêmement fâcheuses. Car le CFO est considéré comme le « gardien du temple ».
Ainsi la transformation de la fonction finance devient une évidence.
Transformer, c'est avant tout être capable d'inverser le flow et devenir agile à 360°.
En clair, permettre aux équipes de la direction financière, au travers d'une solution globale et unifiée, de pouvoir envoyer des tableaux de bord affichant des informations très facilement compréhensibles par les métiers afin qu'ils puissent prendre rapidement les bonnes décisions. En automatisant ce processus, l'entreprise le rationnalise, le simplifie et l'accélère et permet de créer des conditions favorables pour plus de collaboration, de workflow, de conformité et de contrôle de l'ensemble du cycle de publication du début à la fin.
Tout le monde a besoin d'accéder à l'information financière
Concrètement, cela s'illustre par le fait d'avoir en permanence accès à une seule version de la vérité qui devient dynamique, réconciliée et agrégée. Par conséquent, le CFO peut accéder, de façon très rapide, à une information fiable et la diffuser sereinement en mode collaboratif vers les analystes, les dirigeants, le Comité Exécutif, les équipes finance et métiers. Tout le monde a besoin d'accéder à l'information financière quel qu'en soit l'objectif, contrainte règlementaire ou décision business.
Mais toutes les solutions d'automatisation ne se valent pas. Aujourd'hui, la majorité des entreprises utilisent un système d'information qui a grandi par étapes. Elles se retrouvent donc avec un puzzle de systèmes d'information très complexe. De fait, le Directeur financier passe énormément de temps à s'y retrouver et se demander où est la vraie version de la vérité.
Son challenge, désormais, est que tout un chacun puisse accéder à une information fiable, plus simplement, rapidement, et tout en réduisant les coûts. Or, les entreprises ne peuvent pas s'offrir le luxe de consacrer des millions d'euros pour être capable de créer elle-même cette agilité.
Voilà pourquoi, il est préférable de privilégier une solution globale et unifiée qui va permettre d'adresser tous les processus du monde de la finance, que l'on parle de consolidation statutaire, d'élaboration budgétaire, d'allocation des coûts ou encore de profitabilité, dans un cercle vertueux.
De plus, la tendance aujourd'hui est à la transformation digitale des entreprises en optant pour le Cloud. Mais, pour un directeur financier qui, par nature, gère des risques, cela génère encore une grande anxiété. Or, le Cloud c'est justement la solution qui va leur permettre d'avoir une économie d'échelle, de réduire les coûts, devenir agile, et évoluer en terme de changement.
De fait, une solution logicielle qui gère tous les processus du monde de la finance doit être nativement dans le Cloud. D'autant plus qu'avant de décider de mettre ses données financières dans le Cloud, on peut classifier le niveau de sécurité requis sur ces données afin de déterminer celles qui resteront dans l'entreprise et celles qui seront hébergées dans le Cloud.
Le CFO, partenaire stratégique au sein de l'entreprise
Ainsi, en adoptant une solution globale et unifiée, et en faisant le choix du Cloud, le CFO sera davantage considéré comme un partenaire stratégique au sein de l'entreprise. La fonction finance va pouvoir non seulement automatiser les process et réduire les risques mais aussi supporter les décisions stratégiques du Comité Exécutif et du CEO, supporter les métiers dans leurs décisions et déployer ce plan stratégique dans l'organisation.
Enfin, dernier bénéfice et non des moindres : être paré pour le changement.
Si on achetait telle entreprise, quel serait l'impact sur notre P&L ? Quelle rentabilité si on abandonne telle ligne de produit ? Le Directeur financier doit pouvoir s'adapter très facilement à une modification de périmètre ou répondre instantanément à un besoin de simulation. Ce qui est inenvisageable sans un outillage fiable.
Car la rentabilité passe par le contrôle de gestion. Le fait de pouvoir identifier, par exemple, des zones géographiques ou des lignes de produits qui posent un problème en attaquant la marge et la profitabilité de l'entreprise. Il y a des structures d'allocation de coûts qui sont extrêmement complexes. Pour pouvoir les évaluer, il est impératif d'être bien outillé et de leur apporter des fonctions finances natives qui vont leur permettre de calculer ces coûts et ces rentabilités. Mais cela ne peut pas se faire en un clic sans une solution logicielle fiable.
Chacun son métier. Celui de l'éditeur est justement d'offrir au Directeur financier les moyens d'être encore plus performant dans le sien.