Jim Goodnight, fondateur de SAS
D'après nos confrères de Information Week, SAS préparerait une nouvelle solution destinée à l'analyse des gros volumes de données.
Au menu de cette nouvelle solution, tous les mots-clefs à la mode : big data, hadoop, in memory. "Tous les logiciels de BI permettent de présenter des indicateurs verts, jaunes ou rouge… Nous irons plus loin et notre solution expliquera pourquoi un indicateur est d'une certaine couleur", explique Greg Hodges, directeur du marketing produits chez SAS.
L'architecture serait à trois niveaux :
- les bases de données sources (relationnelles ou SAS)
- l'infrastructure HDFS (Hadoop Distributed File System) qu'une console d'administration permettra d'alimenter à partir des données sources que l'on souhaite pouvoir analyser
- la montée en mémoire des données au moment de leur analyse pour une efficacité maximale
Attendue pour la fin du premier semestre 2012, cette solution serait à la fois une réponse aux initiatives SAP HANA et Oracle Exalytics, mais également aux outils de visualisation graphiques Tableau et Spotfire.
Mais si ce positionnement est confirmé, la solution SAS serait également en compétition avec Teradata, éditeur avec lequel SAS a pourtant signé des accords de coopération poussés… A moins justement que SAS ne profite de ce lancement pour l'implémenter sur Teradata et peut-être sur EMC Greenplum, avec des partenariats avancés. L'éditeur aurait en tous cas confirmé ne pas avoir l'intention de se lancer dans une offre matérielle propre. Une collaboration plus étroite avec EMC et Teradata aurait donc du sens.
Au menu de cette nouvelle solution, tous les mots-clefs à la mode : big data, hadoop, in memory. "Tous les logiciels de BI permettent de présenter des indicateurs verts, jaunes ou rouge… Nous irons plus loin et notre solution expliquera pourquoi un indicateur est d'une certaine couleur", explique Greg Hodges, directeur du marketing produits chez SAS.
L'architecture serait à trois niveaux :
- les bases de données sources (relationnelles ou SAS)
- l'infrastructure HDFS (Hadoop Distributed File System) qu'une console d'administration permettra d'alimenter à partir des données sources que l'on souhaite pouvoir analyser
- la montée en mémoire des données au moment de leur analyse pour une efficacité maximale
Attendue pour la fin du premier semestre 2012, cette solution serait à la fois une réponse aux initiatives SAP HANA et Oracle Exalytics, mais également aux outils de visualisation graphiques Tableau et Spotfire.
Mais si ce positionnement est confirmé, la solution SAS serait également en compétition avec Teradata, éditeur avec lequel SAS a pourtant signé des accords de coopération poussés… A moins justement que SAS ne profite de ce lancement pour l'implémenter sur Teradata et peut-être sur EMC Greenplum, avec des partenariats avancés. L'éditeur aurait en tous cas confirmé ne pas avoir l'intention de se lancer dans une offre matérielle propre. Une collaboration plus étroite avec EMC et Teradata aurait donc du sens.
Autres articles
-
Qlik améliore l’intégration avec SAP, Databricks et Snowflake et favorise la création de valeur grâce à l’IA
-
Teradata lance des cas d’usage d’IA générative à démarrage rapide grâce à l’intégration d’Amazon Bedrock
-
Oracle Database@Azure disponible dans de nouvelles régions et avec de nouveaux services pour répondre à la demande mondiale
-
Teradata nomme Louis Landry au poste de Chief Technology Officer
-
Teradata AI Unlimited pour Microsoft Fabric est désormais disponible en avant-première via Microsoft Fabric Workload Hub