Le Conseil d'administration de la société s'est réuni le 27 avril 2004 et a arrêté les comptes consolidés provisoires du groupe Umanis.
Le chiffre d'affaires consolidé en 2004 s'est élevé à 41,656 M€. Dans un contexte toujours difficile pour les services informatiques, le Groupe Umanis représente, avec 700 salariés, la plus importante concentration de spécialistes sur le marché français de la Business Intelligence (BI), gestion de la relation client (CRM) et architecture systèmes (EAI). En 2004 Umanis a poursuivi sa politique de recentrage sur son métier de base tout en conservant sa position de premier groupe français spécialisé en Business Intelligence. L'activité SSII (Conseil, ingénierie, TMA et Infogérance) représente toujours 78% du chiffre d'affaires consolidé du groupe. Deux activités spécifiques complètent le savoir faire d'Umanis : CRO (recherche clinique) 10% du chiffre d'affaires et UMS (Call Center) 12% du l'activité.
Le résultat d'exploitation à 0,851 M€, en très forte hausse, est redevenu positif dès le premier semestre 2004 (0,144 M€). Ce redressement marque le succès de la politique de réduction des coûts engagée en juillet 2004 qui a porté d'une part sur l'optimisation du traitement comptable des provisions et l'audit des charges fiscales et sociales (Taxe de transport, IJSS,…) et d'autre part sur la maîtrise de la masse salariale. Ces mesures ont entraîné une nette progression de l'Excédent Brut d'Exploitation qui ressort à 2,372 M€ en 2004 contre un EBE négatif de 2,111 M€ en 2003. Le résultat d'exploitation a quant à lui été impacté négativement par une importante provision de 1,5 M€ inscrite dans le cadre du plan d'apurement des anciennes créances (2000-2003) du poste client.
Le résultat net part du Groupe s'établit à 6,033 M€ en 2004 contre - 9,207 M€ en 2003. Le retournement de la rentabilité du groupe en 2004 ainsi que ses prévisions et les perspectives d'évolution ont permis de constater que la société disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels pourront être imputés les pertes fiscales et les crédits d'impôts des années antérieures. L'impact de cette imposition différée est de 5,705 M€ pour l'exercice 2004.
La structure financière du Groupe s'est nettement renforcée en termes de fonds propres et de structure de la dette. Le groupe, qui n'a aucune dette bancaire, a conclu un accord général en 2003 sur l'apurement de ses passifs. Les remboursements effectués depuis se sont traduits par une diminution de la dette en 2004. Enfin le groupe a entamé une réflexion sur l'optimisation de ses charges financières (0,3 M€) liées principalement au coût d'affacturage et de mobilisation des créances. Le résultat par action (16 970 488) s'établit à 0,3555 € en 2004 contre - 0,588 lors de l'exercice précédent.
Les perspectives 2005, restent favorables avec une perspective de croissance de 4% en 2005. Le Groupe Umanis s'appuie sur son modèle de rentabilité, fondé sur un service aux entreprises différencié, une offre cohérente et globale aux entreprises (solutions orientées clients intégrant la BI, CRM, e-Business, SCM, contacts center, conseil stratégique, conseil en organisation, en innovation…) et une part de marché significative qui devrait lui permettre de mieux résister.
Le chiffre d'affaires consolidé en 2004 s'est élevé à 41,656 M€. Dans un contexte toujours difficile pour les services informatiques, le Groupe Umanis représente, avec 700 salariés, la plus importante concentration de spécialistes sur le marché français de la Business Intelligence (BI), gestion de la relation client (CRM) et architecture systèmes (EAI). En 2004 Umanis a poursuivi sa politique de recentrage sur son métier de base tout en conservant sa position de premier groupe français spécialisé en Business Intelligence. L'activité SSII (Conseil, ingénierie, TMA et Infogérance) représente toujours 78% du chiffre d'affaires consolidé du groupe. Deux activités spécifiques complètent le savoir faire d'Umanis : CRO (recherche clinique) 10% du chiffre d'affaires et UMS (Call Center) 12% du l'activité.
Le résultat d'exploitation à 0,851 M€, en très forte hausse, est redevenu positif dès le premier semestre 2004 (0,144 M€). Ce redressement marque le succès de la politique de réduction des coûts engagée en juillet 2004 qui a porté d'une part sur l'optimisation du traitement comptable des provisions et l'audit des charges fiscales et sociales (Taxe de transport, IJSS,…) et d'autre part sur la maîtrise de la masse salariale. Ces mesures ont entraîné une nette progression de l'Excédent Brut d'Exploitation qui ressort à 2,372 M€ en 2004 contre un EBE négatif de 2,111 M€ en 2003. Le résultat d'exploitation a quant à lui été impacté négativement par une importante provision de 1,5 M€ inscrite dans le cadre du plan d'apurement des anciennes créances (2000-2003) du poste client.
Le résultat net part du Groupe s'établit à 6,033 M€ en 2004 contre - 9,207 M€ en 2003. Le retournement de la rentabilité du groupe en 2004 ainsi que ses prévisions et les perspectives d'évolution ont permis de constater que la société disposera de bénéfices imposables futurs sur lesquels pourront être imputés les pertes fiscales et les crédits d'impôts des années antérieures. L'impact de cette imposition différée est de 5,705 M€ pour l'exercice 2004.
La structure financière du Groupe s'est nettement renforcée en termes de fonds propres et de structure de la dette. Le groupe, qui n'a aucune dette bancaire, a conclu un accord général en 2003 sur l'apurement de ses passifs. Les remboursements effectués depuis se sont traduits par une diminution de la dette en 2004. Enfin le groupe a entamé une réflexion sur l'optimisation de ses charges financières (0,3 M€) liées principalement au coût d'affacturage et de mobilisation des créances. Le résultat par action (16 970 488) s'établit à 0,3555 € en 2004 contre - 0,588 lors de l'exercice précédent.
Les perspectives 2005, restent favorables avec une perspective de croissance de 4% en 2005. Le Groupe Umanis s'appuie sur son modèle de rentabilité, fondé sur un service aux entreprises différencié, une offre cohérente et globale aux entreprises (solutions orientées clients intégrant la BI, CRM, e-Business, SCM, contacts center, conseil stratégique, conseil en organisation, en innovation…) et une part de marché significative qui devrait lui permettre de mieux résister.