Manifestement les avis sont tranchés. Pour 51,5 % des répondants c’est la direction utilisatrice qui doit avoir la main sur le choix des outils car elle est la mieux placée pour évaluer et connaître ses propres besoins. Pour 47 % des répondants, c’est en revanche la direction informatique qui devrait avoir la main sur cette décision, car c’est elle qui sera ensuite sollicitée pour la mise en place de ces mêmes outils. Match nul à quelques pourcents près donc.
En revanche, seuls 1,5 % des personnes interrogées considèrent que c’est la direction des achats à qui devrait revenir la décision finale car elle s’y connaît en négociation de prix.
Un mini-sondage qui traduit clairement le processus multipartite que l’on retrouve finalement dans de nombreuses entreprises : la direction métier sélectionne les outils qui répondent à ses besoins ; demande à la direction informatique de valider ses choix techniques ; et passe finalement la main à la direction des achats qui ne choisit pas, mais négocie avec le fournisseur au mieux des intérêts de l’entreprise.
En revanche, seuls 1,5 % des personnes interrogées considèrent que c’est la direction des achats à qui devrait revenir la décision finale car elle s’y connaît en négociation de prix.
Un mini-sondage qui traduit clairement le processus multipartite que l’on retrouve finalement dans de nombreuses entreprises : la direction métier sélectionne les outils qui répondent à ses besoins ; demande à la direction informatique de valider ses choix techniques ; et passe finalement la main à la direction des achats qui ne choisit pas, mais négocie avec le fournisseur au mieux des intérêts de l’entreprise.