Patrick Coffre, Community Manager chez Talend
Historiquement, les données publiques ont vu le jour aux États-Unis en 1966, avec l'adoption de la Freedom of Information Act (http://fr.wikipedia.org/wiki/Freedom_of_Information_Act), une loi sur le libre accès à l'information. Mais ça n’est qu’après les évènements du 11 septembre 2001 que le phénomène a pris une place plus importante au sein du gouvernement américain.
La libération des données s'est encore plus développée, au niveau du pays, avec l’élection de Barack Obama. Dans son discours inaugural à la présidence des Etats-Unis, le 20 Janvier 2009, le nouveau président a dévoilé son intention de « créer un niveau d’ouverture du gouvernement sans précédent », dans le but de « renforcer la démocratie et promouvoir son efficacité et son effectivité au sein du gouvernement ».
L’un des premiers buts des médias sociaux est d’aider à propager des idées. L’open data, un mouvement récent, utilise ce moyen de communication pour s’adresser aux citoyens et leur expliquer qu’il existe des données publiques utilisable par tous. Avec ces quantités de données autrefois non accessible, les médias sociaux et les données publiques ont aussi comme rôle de rapprocher les citoyens et les gouvernements. Suite à la consultation d’études de données et grâce aux médias sociaux, des individus peuvent faire part aux administrations de leurs questions, propositions ou inquiétudes.
Des initiatives de données publiques françaises ont vu le jour, comme celles de Data Publica. Cette organisation est l’un des premiers acteurs historiques de l’open data en France. Elle utilise les médias sociaux pour communiquer sur son site web mais aussi pour élaborer des jeux de données. Ses outils permettent de croiser des données de sources multiples, pouvant provenir entre autre des médias sociaux, pour créer des jeux de données et les visualiser dans une application web multidimensionnelle. Data Publica est associé à des sociétés comme Talend, un leader dans les solutions middleware open source. Ses technologies d‘intégration et de qualité de données sont essentielles pour extraire des données (médias sociaux, publiques…) et les ouvrir aux citoyens.
Des projets gouvernementaux pour ouvrir les données aux citoyens existent, que ce soit avec le site américain www.data.gov/ ou encore le site français http://www.data.gouv.fr/. Ces sites comptent sur la communication par les médias sociaux pour faire connaitre leurs actions et accroitre le nombre de vues, ainsi que les interactions communautaires. Le site français permet aux visiteurs de communiquer avec une section « Communautés » contenant un forum pour laisser des commentaires. Le site américain va plus loin avec, pour chaque jeu de données, un lien direct pour le publier et le promouvoir sur les médias sociaux.
Les médias sociaux donnent la possibilité aux individus d’être mieux informé qu’auparavant puisque l’information est directement accessible. Ils rendent les états et les gouvernements plus abordables, transparents puisque directement joignables, ce qui augmente à son tour la participation des citoyens.
On peut aussi remarquer que les médias sociaux font la promotion des services gouvernementaux et contribuent à la génération d’idées. Par exemple, le Senat de l’état de New York, ayant mis en ligne de nombreuses données publiques sur son site, a créé sur son compte Twitter @NYSenate en 2008, trois campagnes de conversations en ligne et généré 500 idées pour l’état de New York (voir la source, page 22, sur ce PDF : http://www.ftc.gov/opp/workshops/news/mar9/docs/hidalgo.pdf).
Ainsi, demain, avec le développement des offres, les gouvernements pourront proposer des données encore plus denses et ouvertes qu’actuellement, pour que les citoyens les utilisent à leur convenance.
L’emploi des médias sociaux par les gouvernements est également un sujet de développement pour les années à venir : des idées citoyennes puis des projets naitront, avec une part plus importante de participation et collaboration des individus.
La libération des données s'est encore plus développée, au niveau du pays, avec l’élection de Barack Obama. Dans son discours inaugural à la présidence des Etats-Unis, le 20 Janvier 2009, le nouveau président a dévoilé son intention de « créer un niveau d’ouverture du gouvernement sans précédent », dans le but de « renforcer la démocratie et promouvoir son efficacité et son effectivité au sein du gouvernement ».
L’un des premiers buts des médias sociaux est d’aider à propager des idées. L’open data, un mouvement récent, utilise ce moyen de communication pour s’adresser aux citoyens et leur expliquer qu’il existe des données publiques utilisable par tous. Avec ces quantités de données autrefois non accessible, les médias sociaux et les données publiques ont aussi comme rôle de rapprocher les citoyens et les gouvernements. Suite à la consultation d’études de données et grâce aux médias sociaux, des individus peuvent faire part aux administrations de leurs questions, propositions ou inquiétudes.
Des initiatives de données publiques françaises ont vu le jour, comme celles de Data Publica. Cette organisation est l’un des premiers acteurs historiques de l’open data en France. Elle utilise les médias sociaux pour communiquer sur son site web mais aussi pour élaborer des jeux de données. Ses outils permettent de croiser des données de sources multiples, pouvant provenir entre autre des médias sociaux, pour créer des jeux de données et les visualiser dans une application web multidimensionnelle. Data Publica est associé à des sociétés comme Talend, un leader dans les solutions middleware open source. Ses technologies d‘intégration et de qualité de données sont essentielles pour extraire des données (médias sociaux, publiques…) et les ouvrir aux citoyens.
Des projets gouvernementaux pour ouvrir les données aux citoyens existent, que ce soit avec le site américain www.data.gov/ ou encore le site français http://www.data.gouv.fr/. Ces sites comptent sur la communication par les médias sociaux pour faire connaitre leurs actions et accroitre le nombre de vues, ainsi que les interactions communautaires. Le site français permet aux visiteurs de communiquer avec une section « Communautés » contenant un forum pour laisser des commentaires. Le site américain va plus loin avec, pour chaque jeu de données, un lien direct pour le publier et le promouvoir sur les médias sociaux.
Les médias sociaux donnent la possibilité aux individus d’être mieux informé qu’auparavant puisque l’information est directement accessible. Ils rendent les états et les gouvernements plus abordables, transparents puisque directement joignables, ce qui augmente à son tour la participation des citoyens.
On peut aussi remarquer que les médias sociaux font la promotion des services gouvernementaux et contribuent à la génération d’idées. Par exemple, le Senat de l’état de New York, ayant mis en ligne de nombreuses données publiques sur son site, a créé sur son compte Twitter @NYSenate en 2008, trois campagnes de conversations en ligne et généré 500 idées pour l’état de New York (voir la source, page 22, sur ce PDF : http://www.ftc.gov/opp/workshops/news/mar9/docs/hidalgo.pdf).
Ainsi, demain, avec le développement des offres, les gouvernements pourront proposer des données encore plus denses et ouvertes qu’actuellement, pour que les citoyens les utilisent à leur convenance.
L’emploi des médias sociaux par les gouvernements est également un sujet de développement pour les années à venir : des idées citoyennes puis des projets naitront, avec une part plus importante de participation et collaboration des individus.
Autres articles
-
Qlik lance Qlik Talend Cloud et fournit aux entreprises un socle fiable pour l’IA
-
Palladium Hotel Group tire profit de ses données grâce à Talend afin de proposer une expérience client améliorée
-
Qlik acquiert Talend et associe ses capacités inégalées d’intégration de données à celles de Talend en matière de transformation, de qualité et de gouvernance des données
-
Talend annonce une mise à jour majeure de sa plateforme Data Fabric
-
Qlik souhaite racheter Talend