PhotoBox propose des produits autour des photos numériques : albums photos, calendriers, objets divers et bien sûr encore impression des photos sur papier, de tous formats. Mais le temps est révolu où les clients imprimaient sur papier toutes leurs photos, pour les coller ensuite dans un album. Ils faut les aider à choisir et à remplir les produits proposés en ligne. Tout d’abord, le client télécharge ses photos. Il doit ensuite les sélectionner, les ajuster, et parfois les retoucher.
Pour l'aider dans cette tâche, PhotoBox analyse le contenu des photos téléchargées et pas simplement les métadonnées. Paysages, fêtes, photos de famille, des algorithmes reconnaissent les ambiances et "prédisent" les produits et la manière de les utiliser pour améliorer l'expérience client.
Au delà de la méthode RFM aussi ancienne que le marketing, PhotoBox segmente ainsi ses clients par type de photos réalisées.
Depuis toujours on s'interroge sur le photographe qui voit passer et regarder parfois avec curiosité les photos développées pour ses clients. Aujourd'hui c'est un algorithme qui se révèle curieux. Les clients perçoivent ils cette analyse comme intrusive ou gênante ? Ce serait intéressant de leur poser la question. Le regard du photographe est-il perçu comme plus, ou moins inquisiteur, que celui de l'algorithme?
Pour l'aider dans cette tâche, PhotoBox analyse le contenu des photos téléchargées et pas simplement les métadonnées. Paysages, fêtes, photos de famille, des algorithmes reconnaissent les ambiances et "prédisent" les produits et la manière de les utiliser pour améliorer l'expérience client.
Au delà de la méthode RFM aussi ancienne que le marketing, PhotoBox segmente ainsi ses clients par type de photos réalisées.
Depuis toujours on s'interroge sur le photographe qui voit passer et regarder parfois avec curiosité les photos développées pour ses clients. Aujourd'hui c'est un algorithme qui se révèle curieux. Les clients perçoivent ils cette analyse comme intrusive ou gênante ? Ce serait intéressant de leur poser la question. Le regard du photographe est-il perçu comme plus, ou moins inquisiteur, que celui de l'algorithme?