Abed Ajraou, Directeur de missions BI & EPM chez Micropole
L’ensemble de ces tableaux de bord et métriques constitue le patrimoine décisionnel de l’entreprise.
La force d’une entreprise réside dans sa facilité à procurer aux directions générales l’ensemble de ces informations pour que ses décideurs puissent piloter efficacement l’entreprise, et à donner l’accès à ce patrimoine à l’ensemble des directions.
Optimiser l’accès au patrimoine décisionnel.
Le patrimoine décisionnel est devenu un actif essentiel au bon développement d’une entreprise. Dans ces temps de crise, il va de soit que la bonne gestion de ce patrimoine devient primordiale pour rester compétitif, être encore plus performant et agile dans un monde de plus en plus complexe, évolutif et changeant.
A ce jour, les solutions de reporting classiques ne se sont jamais préoccupées de la gestion des processus de ces rapports. En effet, il est nécessaire d’avoir une appétence informatique pour utiliser à bon escient les applications qui génèrent des rapports décisionnels (BI, FPM, CRM, SCM, HCM, certains ERP, etc.) par conséquent les décideurs sous-traitent cette gestion de recherche de l’information.
Aujourd’hui, dans les grandes entreprises, il n'est pas rare de voir plus de quatre intermédiaires entre les décideurs et les chercheurs de l’information dans les systèmes décisionnels. Ainsi, il en découle des problématiques de non pertinence et de non cohérence de l’information reçue, de temps de réaction ou de latence trop longs, de qualité de l’information insuffisante, de manque de traçabilité du contenu de l’information et enfin de ressources humaines impliquées trop nombreuses, et donc de coûts trop importants.
Rationnaliser et exploiter l’ensemble des rapports décisionnels.
Les responsables informatiques n’ont, quant à eux, pas suffisamment de visibilité sur l’utilisation de ce patrimoine. Ils n’ont aucune visibilité sur les processus d’accès à l’information entre les différents services de l’entreprise et n’ont pas suffisamment de retours sur les usages de ces rapports.
Quels sont mes systèmes décisionnels les plus efficaces ? Quels sont ceux qui ne sont pas ou peu utilisés ? Comment réaliser une migration de rapports décisionnels en optimisant les coûts des licences pendant les longs mois de migration ? Comment assurer le « décommissionnement » d’une application sans incidence informationnelle ?
Les DSI se retrouvent confrontés à des problématiques de rationalisation dues à l’exploitation et aux dépenses de plus en plus importantes des rapports décisionnels. Ils doivent solutionner des questions telles que : « Comment rationaliser mes systèmes décisionnels à moindre frais ? Quels sont les usages des systèmes décisionnels ? Comment « monitorer » rapidement mes rapports décisionnels ? Comment mettre à la disposition des métiers l’ensemble du patrimoine décisionnel, de façon simple et efficace ? ».
Répondre à ces problématiques avec un projet de Business Intelligence classique nécessiterait la mise en place d’un projet de rationalisation d’infocentres et de systèmes décisionnels long, coûteux et chronophage. Autant dire, qu’il s’agirait d’un projet de plusieurs années qui aurait de très fortes chances de ne jamais aboutir …
L’Enterprise Reporting Management : le Search Based Application au service de l’optimisation et de la rationalisation des usages et besoins du reporting décisionnel.
Nous avons traité l’ensemble des problématiques d’optimisation d’accès à l’information et à la rationalisation des rapports décisionnels dans le cadre d’une seule offre agile, innovante et souple, en proposant de fédérer l’ensemble des consommateurs d’informations décisionnelles autour d’un centre unique d’accès et de diffusion du patrimoine décisionnel.
Le Business Search est l’outil parfait pour pouvoir concrétiser ces objectifs. Longtemps utilisé dans la seule vision de la recherche documentaire d’entreprise (pionnier à exploiter des données de sources extrêmement hétérogènes et disparates : emails, vidéos, réseaux sociaux, blog, forum web, capteurs, caméras, mobiles,… en traitant des volumes de données de plus en plus colossaux dans l’ère du Big Data), le Business Search permet en effet d’optimiser à la fois les usages et les besoins du patrimoine décisionnel.
Via cette approche, la conciliation des deux mondes encore aujourd’hui cloisonnés, à savoir le décisionnel dans la gestion des données structurées et le Business Search dans la gestion de contenus non-structurés voir semi-structurés, devient possible.
D’un point de vu métier, l’accès à l’information se fait en langage naturel (finit le SQL !!), ce qui permet d’optimiser considérablement les coûts en conduite de changement, mais aussi de supprimer totalement le coût de la formation (avez-vous été formés à Google ?). Les rapports peuvent être aussi commentés et notés, ce qui permet de meilleures collaborations et synergies entre chaque service de l’entreprise, une valorisation de l’information et donc une prise de décision plus rapide et de qualité.
Et d’un point de vu informatique, il permet de disposer en temps réel des usages des rapports décisionnels. Il est par exemple possible d’identifier la volumétrie des rapports, la typologie des utilisateurs accédants aux rapports décisionnels et surtout de connaitre les rapports qui ne sont jamais ou très peu utilisés !
La disposition du scope fonctionnel des rapports permet notamment d’optimiser les futures initiatives décisionnelles. Disposer d’une très bonne vision des rapports les moins utilisés permet aux responsables informatiques de rationaliser rapidement le parc informatique en termes de ressources machines et aussi en termes de ressources humaines impliquées aux tâches de maintenance.
En conclusion, le croisement du monde de la gestion des données non-structurées et/ou semi-structurées d’une part, et le monde de la gestion des données structurées d’autre part, est aujourd’hui une réalité. Demain, ce principe deviendra vital pour l’entreprise, autant donc s’y préparer dès à présent !
La force d’une entreprise réside dans sa facilité à procurer aux directions générales l’ensemble de ces informations pour que ses décideurs puissent piloter efficacement l’entreprise, et à donner l’accès à ce patrimoine à l’ensemble des directions.
Optimiser l’accès au patrimoine décisionnel.
Le patrimoine décisionnel est devenu un actif essentiel au bon développement d’une entreprise. Dans ces temps de crise, il va de soit que la bonne gestion de ce patrimoine devient primordiale pour rester compétitif, être encore plus performant et agile dans un monde de plus en plus complexe, évolutif et changeant.
A ce jour, les solutions de reporting classiques ne se sont jamais préoccupées de la gestion des processus de ces rapports. En effet, il est nécessaire d’avoir une appétence informatique pour utiliser à bon escient les applications qui génèrent des rapports décisionnels (BI, FPM, CRM, SCM, HCM, certains ERP, etc.) par conséquent les décideurs sous-traitent cette gestion de recherche de l’information.
Aujourd’hui, dans les grandes entreprises, il n'est pas rare de voir plus de quatre intermédiaires entre les décideurs et les chercheurs de l’information dans les systèmes décisionnels. Ainsi, il en découle des problématiques de non pertinence et de non cohérence de l’information reçue, de temps de réaction ou de latence trop longs, de qualité de l’information insuffisante, de manque de traçabilité du contenu de l’information et enfin de ressources humaines impliquées trop nombreuses, et donc de coûts trop importants.
Rationnaliser et exploiter l’ensemble des rapports décisionnels.
Les responsables informatiques n’ont, quant à eux, pas suffisamment de visibilité sur l’utilisation de ce patrimoine. Ils n’ont aucune visibilité sur les processus d’accès à l’information entre les différents services de l’entreprise et n’ont pas suffisamment de retours sur les usages de ces rapports.
Quels sont mes systèmes décisionnels les plus efficaces ? Quels sont ceux qui ne sont pas ou peu utilisés ? Comment réaliser une migration de rapports décisionnels en optimisant les coûts des licences pendant les longs mois de migration ? Comment assurer le « décommissionnement » d’une application sans incidence informationnelle ?
Les DSI se retrouvent confrontés à des problématiques de rationalisation dues à l’exploitation et aux dépenses de plus en plus importantes des rapports décisionnels. Ils doivent solutionner des questions telles que : « Comment rationaliser mes systèmes décisionnels à moindre frais ? Quels sont les usages des systèmes décisionnels ? Comment « monitorer » rapidement mes rapports décisionnels ? Comment mettre à la disposition des métiers l’ensemble du patrimoine décisionnel, de façon simple et efficace ? ».
Répondre à ces problématiques avec un projet de Business Intelligence classique nécessiterait la mise en place d’un projet de rationalisation d’infocentres et de systèmes décisionnels long, coûteux et chronophage. Autant dire, qu’il s’agirait d’un projet de plusieurs années qui aurait de très fortes chances de ne jamais aboutir …
L’Enterprise Reporting Management : le Search Based Application au service de l’optimisation et de la rationalisation des usages et besoins du reporting décisionnel.
Nous avons traité l’ensemble des problématiques d’optimisation d’accès à l’information et à la rationalisation des rapports décisionnels dans le cadre d’une seule offre agile, innovante et souple, en proposant de fédérer l’ensemble des consommateurs d’informations décisionnelles autour d’un centre unique d’accès et de diffusion du patrimoine décisionnel.
Le Business Search est l’outil parfait pour pouvoir concrétiser ces objectifs. Longtemps utilisé dans la seule vision de la recherche documentaire d’entreprise (pionnier à exploiter des données de sources extrêmement hétérogènes et disparates : emails, vidéos, réseaux sociaux, blog, forum web, capteurs, caméras, mobiles,… en traitant des volumes de données de plus en plus colossaux dans l’ère du Big Data), le Business Search permet en effet d’optimiser à la fois les usages et les besoins du patrimoine décisionnel.
Via cette approche, la conciliation des deux mondes encore aujourd’hui cloisonnés, à savoir le décisionnel dans la gestion des données structurées et le Business Search dans la gestion de contenus non-structurés voir semi-structurés, devient possible.
D’un point de vu métier, l’accès à l’information se fait en langage naturel (finit le SQL !!), ce qui permet d’optimiser considérablement les coûts en conduite de changement, mais aussi de supprimer totalement le coût de la formation (avez-vous été formés à Google ?). Les rapports peuvent être aussi commentés et notés, ce qui permet de meilleures collaborations et synergies entre chaque service de l’entreprise, une valorisation de l’information et donc une prise de décision plus rapide et de qualité.
Et d’un point de vu informatique, il permet de disposer en temps réel des usages des rapports décisionnels. Il est par exemple possible d’identifier la volumétrie des rapports, la typologie des utilisateurs accédants aux rapports décisionnels et surtout de connaitre les rapports qui ne sont jamais ou très peu utilisés !
La disposition du scope fonctionnel des rapports permet notamment d’optimiser les futures initiatives décisionnelles. Disposer d’une très bonne vision des rapports les moins utilisés permet aux responsables informatiques de rationaliser rapidement le parc informatique en termes de ressources machines et aussi en termes de ressources humaines impliquées aux tâches de maintenance.
En conclusion, le croisement du monde de la gestion des données non-structurées et/ou semi-structurées d’une part, et le monde de la gestion des données structurées d’autre part, est aujourd’hui une réalité. Demain, ce principe deviendra vital pour l’entreprise, autant donc s’y préparer dès à présent !