Après une météo défavorable au cours du printemps dernier, avec notamment des mois d'avril et mai assez froids et pluvieux, l'été 2012 fût à l'inverse plutôt beau, avec des périodes de quasi-canicule au milieu du mois d'août, faisant de ce mois d'août le troisième plus chaud depuis 15 ans.
CLIMPACT, leader européen de la Business Intelligence Climatique, et SymphonyIRI ont analysé l'impact de la météo sur la vente des produits de grande consommation durant l'été 2012.
CLIMPACT et SymphonyIRI livrent les principales tendances:
· Cet été, la météo a très nettement profité à la vente des produits de grande consommation en générant une croissance du volume de leurs ventes de +0,7% ; pour rappel, durant l'été 2011, ils avaient pâti des conditions météorologiques puisque leurs ventes avaient chuté de 0,6%.
· Les bonnes conditions climatiques de cet été ont permis une inversion du signe de la croissance en volume des produits de grande consommation dans les hyper et supermarchés. En effet, sans l'effet moteur de la météo, le volume de vente des produits de grande consommation en HS+SM aurait connu un recul de 0,4%, or la croissance volume PGC en HM+SM enregistrée sur la période est de +0,3%.
· Ce sont les boissons rafraîchissantes sans alcool et les eaux (+4,1%), les bières et cidres (+3%) et les glaces (+2,6%) qui ont le plus bénéficié de ce contexte météorologique favorable, contrairement à l'épicerie (-0,1%), aux surgelés salés (-1%) et à la crémerie (-0,1%).
Une météo inversée par rapport à 2011, des scénarios de vente imprévisibles sans Business Intelligence Climatique
Pas de printemps 2012 après un magnifique avril-mai 2011, un bel été 2012 après un été médiocre en 2011, autant d'éléments changeants qui impactent le comportement d'achat des consommateurs et rendent les prévisions difficiles.
Les conditions météorologiques sont un facteur de variation d'activité aussi significatif que la hausse des prix ou l'évolution du pouvoir d'achat. Partant du constat que la météo ne se reproduit pas tous les ans de façon identique, il devient impossible pour les industriels de prévoir leurs ventes en se basant sur des scénarios passés. Mesurer de façon précise l'impact de la météo sur la vente de leurs produits ou services, permet aux industriels de gagner en performance et de maintenir leur qualité de service. Quant aux enseignes de distribution, elles peuvent augmenter leur chiffre d'affaires et fidéliser une clientèle volatile en approvisionnant les rayons avec les bons produits au bon moment.
*par rapport à la même période de l'année passée
CLIMPACT, leader européen de la Business Intelligence Climatique, et SymphonyIRI ont analysé l'impact de la météo sur la vente des produits de grande consommation durant l'été 2012.
CLIMPACT et SymphonyIRI livrent les principales tendances:
· Cet été, la météo a très nettement profité à la vente des produits de grande consommation en générant une croissance du volume de leurs ventes de +0,7% ; pour rappel, durant l'été 2011, ils avaient pâti des conditions météorologiques puisque leurs ventes avaient chuté de 0,6%.
· Les bonnes conditions climatiques de cet été ont permis une inversion du signe de la croissance en volume des produits de grande consommation dans les hyper et supermarchés. En effet, sans l'effet moteur de la météo, le volume de vente des produits de grande consommation en HS+SM aurait connu un recul de 0,4%, or la croissance volume PGC en HM+SM enregistrée sur la période est de +0,3%.
· Ce sont les boissons rafraîchissantes sans alcool et les eaux (+4,1%), les bières et cidres (+3%) et les glaces (+2,6%) qui ont le plus bénéficié de ce contexte météorologique favorable, contrairement à l'épicerie (-0,1%), aux surgelés salés (-1%) et à la crémerie (-0,1%).
Une météo inversée par rapport à 2011, des scénarios de vente imprévisibles sans Business Intelligence Climatique
Pas de printemps 2012 après un magnifique avril-mai 2011, un bel été 2012 après un été médiocre en 2011, autant d'éléments changeants qui impactent le comportement d'achat des consommateurs et rendent les prévisions difficiles.
Les conditions météorologiques sont un facteur de variation d'activité aussi significatif que la hausse des prix ou l'évolution du pouvoir d'achat. Partant du constat que la météo ne se reproduit pas tous les ans de façon identique, il devient impossible pour les industriels de prévoir leurs ventes en se basant sur des scénarios passés. Mesurer de façon précise l'impact de la météo sur la vente de leurs produits ou services, permet aux industriels de gagner en performance et de maintenir leur qualité de service. Quant aux enseignes de distribution, elles peuvent augmenter leur chiffre d'affaires et fidéliser une clientèle volatile en approvisionnant les rayons avec les bons produits au bon moment.
*par rapport à la même période de l'année passée