Trois évolutions fonctionnelles pourront avoir un impact sur nos applications décisionnelles.
L'écran "Retina Display". Il est d'ailleurs mis en avant comme évolution principale par Apple qui le qualifie de "résolutionnaire". Il affiche 3,1 millions de pixels avec une résolution de 2048 x 1536, soit 33 % de plus qu'un écran de télévision HD. La saturation des couleurs serait, selon Apple, supérieure de 44 % ce que proposait l'iPad 2.
Les éditeurs de solutions de visualisation de données comme Yellowfin, QlikView, Tableau, Roambi, Microstrategy et ceux qui ne manqueront pas de s'y mettre, exploiteront sans doute cette résolution pour des restitutions encore plus détaillées, permettant des zooms encore plus précis et plus d'interactivité.
Tout comme Apple a redéveloppé ses propres logiciels iPhoto, iMovie, pour faire de l'iPad une véritable plateforme de création et pas simplement de restitution; il serait intéressant que les éditeurs de solutions décisionnelles fassent de même. Les applications iPad ne sont pas forcément limitées à la restitution. Le défi pour les éditeurs qui veulent investir ce support, est de développer leurs applications d'interrogation ad-hoc, de créations de rapports et de graphiques, directement sur le iPad. Aujourd'hui la plupart des applications de BI sur iPad se contentent de visualiser des présentations conçues sur un poste de travail traditionnel. En s'inspirant de ce que Apple a développé sur ses propres logiciels, les éditeurs de BI devraient être convaincus que l'iPad est devenu un segment à part entière des terminaux informatiques, et qu'ils peut être utilisé comme support de création. Peut-être les éditeurs BI, qui tous hésitent à développer des applications Mac, auront moins de scrupules à tenter de pénétrer sur un marché de plusieurs millions de tablettes en très forte croissance.
Il me semble donc plausible que 2012 voit apparaitre les premières véritables applications décisionnelles sur iPad capables de créer des visualisation complètes.
Autre fonction, l'arrivée d'un appareil photo de 5 millions de pixels au dos de l'iPad (le même que celui de l'iPhone 4). Ce sont les fonctions sociales qui utiliseront le mieux ce périphérique. Mais ces fonctions sociales peuvent également être professionnelles. La photographie d'un rayon dans lequel est mis en place une promotion; l'ouverture à f/2,4 permettra de prendre des photos d'intérieur même avec peu de lumière. Capable d'enregistrer des films en HD (1080p), il est possible d'imaginer là encore des interactions entre applications professionnelles et ces fonctions sociales.
Alors, quels éditeurs de solutions décisionnelles annonceront en premier une nouvelle version qui tirera profit des fonctions du nouvel iPad ? Et quel éditeur osera le premier considérer l'iPad comme une plateforme de création et fournira une application décisionnelle complète et autonome sur iPad ?
L'écran "Retina Display". Il est d'ailleurs mis en avant comme évolution principale par Apple qui le qualifie de "résolutionnaire". Il affiche 3,1 millions de pixels avec une résolution de 2048 x 1536, soit 33 % de plus qu'un écran de télévision HD. La saturation des couleurs serait, selon Apple, supérieure de 44 % ce que proposait l'iPad 2.
Les éditeurs de solutions de visualisation de données comme Yellowfin, QlikView, Tableau, Roambi, Microstrategy et ceux qui ne manqueront pas de s'y mettre, exploiteront sans doute cette résolution pour des restitutions encore plus détaillées, permettant des zooms encore plus précis et plus d'interactivité.
Tout comme Apple a redéveloppé ses propres logiciels iPhoto, iMovie, pour faire de l'iPad une véritable plateforme de création et pas simplement de restitution; il serait intéressant que les éditeurs de solutions décisionnelles fassent de même. Les applications iPad ne sont pas forcément limitées à la restitution. Le défi pour les éditeurs qui veulent investir ce support, est de développer leurs applications d'interrogation ad-hoc, de créations de rapports et de graphiques, directement sur le iPad. Aujourd'hui la plupart des applications de BI sur iPad se contentent de visualiser des présentations conçues sur un poste de travail traditionnel. En s'inspirant de ce que Apple a développé sur ses propres logiciels, les éditeurs de BI devraient être convaincus que l'iPad est devenu un segment à part entière des terminaux informatiques, et qu'ils peut être utilisé comme support de création. Peut-être les éditeurs BI, qui tous hésitent à développer des applications Mac, auront moins de scrupules à tenter de pénétrer sur un marché de plusieurs millions de tablettes en très forte croissance.
Il me semble donc plausible que 2012 voit apparaitre les premières véritables applications décisionnelles sur iPad capables de créer des visualisation complètes.
Autre fonction, l'arrivée d'un appareil photo de 5 millions de pixels au dos de l'iPad (le même que celui de l'iPhone 4). Ce sont les fonctions sociales qui utiliseront le mieux ce périphérique. Mais ces fonctions sociales peuvent également être professionnelles. La photographie d'un rayon dans lequel est mis en place une promotion; l'ouverture à f/2,4 permettra de prendre des photos d'intérieur même avec peu de lumière. Capable d'enregistrer des films en HD (1080p), il est possible d'imaginer là encore des interactions entre applications professionnelles et ces fonctions sociales.
Alors, quels éditeurs de solutions décisionnelles annonceront en premier une nouvelle version qui tirera profit des fonctions du nouvel iPad ? Et quel éditeur osera le premier considérer l'iPad comme une plateforme de création et fournira une application décisionnelle complète et autonome sur iPad ?