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A la conférence Teradata Partners 2016, on a parlé de stockage, un peu, et d’analytique, beaucoup.
Le stockage explose, Siemens collecte et analyse 300 milliards de données en provenance des capteurs des turbines à gaz de ses clients.
DHL classifie automatiquement les livraisons résidentielles et les livraisons d’affaires, pour minimiser les coûts de re-présentation.
La Banque ICBC en Argentine, nous parle du cimetière du reporting, et de comment elle a mis en place de véritables indicateurs analytique sur mobile ; et veut devenir une banque 100% digitale.
Secteur roi dans le domaine des capteurs, l’aéronautique. Boeing nous explique que chaque vol d’un 787 génère 15 Go de données, soit 59 millions de lignes. Faites le calcul, multipliez par 10 millions de vols… Une requête sur 100 vols prenait 217 heures en SQL, avant qu’ils ne passent à un système complètement remodelé, orienté Internet des Objets.
Le terme de « digitalisation » de l’entreprise fait parfois sourire en France, mais il est ici au cœur du processus qui vise à redonner à l’industrie américaine son avance. Car derrière ces technologies, c’est un enjeu macro-économique qui apparaît : faire revenir l’industrie aux Etats-Unis. Décentralisée en Chine, l’industrie de main d’œuvre pourrait revenir sur le sol américain au travers d’une migration technologique majeure. D’ici à ce que l’analytique s’invite dans la prochaine campagne présidentielle américaine, il n’y a qu’un pas !
Le stockage explose, Siemens collecte et analyse 300 milliards de données en provenance des capteurs des turbines à gaz de ses clients.
DHL classifie automatiquement les livraisons résidentielles et les livraisons d’affaires, pour minimiser les coûts de re-présentation.
La Banque ICBC en Argentine, nous parle du cimetière du reporting, et de comment elle a mis en place de véritables indicateurs analytique sur mobile ; et veut devenir une banque 100% digitale.
Secteur roi dans le domaine des capteurs, l’aéronautique. Boeing nous explique que chaque vol d’un 787 génère 15 Go de données, soit 59 millions de lignes. Faites le calcul, multipliez par 10 millions de vols… Une requête sur 100 vols prenait 217 heures en SQL, avant qu’ils ne passent à un système complètement remodelé, orienté Internet des Objets.
Le terme de « digitalisation » de l’entreprise fait parfois sourire en France, mais il est ici au cœur du processus qui vise à redonner à l’industrie américaine son avance. Car derrière ces technologies, c’est un enjeu macro-économique qui apparaît : faire revenir l’industrie aux Etats-Unis. Décentralisée en Chine, l’industrie de main d’œuvre pourrait revenir sur le sol américain au travers d’une migration technologique majeure. D’ici à ce que l’analytique s’invite dans la prochaine campagne présidentielle américaine, il n’y a qu’un pas !