Les innovations technologiques, matérielles et logicielles, offrent en effet aujourd’hui la possibilité de les consulter au bon moment, dans le bon format, sur le bon support. À titre d’exemple, la mise au point du langage XML a permis une uniformisation des formats de données et un lissage des disparités matérielles et logicielles existant entre les plates-formes mobiles (terminaux) afin de rendre l’information accessible quel qu’en soit le support.
« Très vite, les utilisateurs se sont appropriés ces innovations ; très vite, ils en ont banalisé l’usage. Mais ce que révèlent avant tout ces évolutions, c’est une course en avant vers le “tout information” à laquelle les technologies les plus récentes contribuent activement », poursuit Renaud Finaz de Villaine.
1er signe de ce “tout information” : la recherche d’information par l’utilisateur via un moteur de recherche cède la place à la réception automatisée de ces informations par l’utilisateur via des systèmes de push. Phénomène concomitant : les informations qui étaient au départ accessibles sur un ordinateur connecté à Internet (abonnement à des newsletters personnalisées, abonnement à des flux RSS…), le sont désormais depuis les environnements WAP et i-Mode des téléphones mobiles.
2ème signe : les systèmes informatiques conquièrent aujourd’hui de nouveaux espaces et s’adaptent aux usages nés avec les derniers types de terminaux mobiles : abonnement à des alertes SMS pour les téléphones GSM, envoi d’emails consultables sur les Blackberry ou Pocket PC, QR Codes pour réceptionner des informations à partir d’éléments de l’environnement dans lequel on se trouve... Sans compter les nombreuses opportunités qui s’ouvrent lorsque ces mêmes terminaux se mettent à l’heure du Web 2.0 : Nokia a par exemple intégré dans ses nouveaux téléphones une solution permettant à l’utilisateur de mettre à jour son propre blog, quand des start-up offrent des solutions permettant d’identifier automatiquement l’objet d’une photo prise à partir d’un téléphone portable.
Ajoutons à cela la possibilité d’échanger des données entre terminaux mobiles grâce aux technologies Infrarouge et ondes radio (Bluetooth, Wibree, Wifi et NCF, protocole standard qui facilite l’interconnexion entre appareils électroniques grand public à partir de la lecture radiofréquence de puces électroniques passives).
Pour Renaud Finaz de Villaine, « nul ne le contestera : le temps de la convergence des terminaux et des informations est donc venu ! Bientôt l’utilisateur ne se demandera plus s’il peut et comment il peut accéder à une information, il la consultera naturellement sur les différents médias mis à sa disposition. »
De nouvelles dynamiques se mettent d’ores et déjà en place autour de cette omniprésence de l’information : la logique communautaire qui caractérise le Web 2.0 gagne le monde de la mobilité – l’acronyme Web Mobile 2.0 n’est pas loin. Qui ne s’est jamais dit qu’il serait intéressant d’avoir accès aux informations du Web (Wikipédia) lorsqu’il visite un monument historique ? Demain, nul doute que les informations circuleront d’utilisateur en utilisateur, selon la logique du peer to peer appliquée aux terminaux mobiles. De leur côté, les diffuseurs de contenus vont être amenés à compter parmi les acteurs clés de ce nouvel univers communicant.
Restera à l’utilisateur néanmoins la nécessité de se prémunir face au trop d’information. Le spam qui se propage à la vitesse grand V sur le Web arrivera très vite sur l’ensemble des terminaux mobiles. Il faudra à la fois que l’utilisateur s’appuie sur des filtres anti-spam pour mobiles pour bloquer les informations non désirées, et apprenne à mieux qualifier ses choix d’information.
« Cela n’ôte rien au fait que toute cette effervescence autour de la mobilité est annonciatrice d’un changement en profondeur dans l’utilisation des terminaux mobiles. L’appareil mobile va devenir de plus en plus présent et jouera le rôle d’un véritable assistant dans nos activités quotidiennes : pour trouver un film à l'affiche, le restaurant le plus proche, la disponibilité d’un parking ou encore les promotions effectuées dans un point de vente… Toutes les informations rendues accessibles, complétées ou agrémentées par l'image et la vidéo, seront consultables, exploitables, partageables n’importe où, à n’importe quel moment, et circuleront de plus en plus et de plus en plus vite. La relation de chacun à l’information recouvrera alors une nouvelle dimension… », conclut Renaud Finaz de Villaine.
« Très vite, les utilisateurs se sont appropriés ces innovations ; très vite, ils en ont banalisé l’usage. Mais ce que révèlent avant tout ces évolutions, c’est une course en avant vers le “tout information” à laquelle les technologies les plus récentes contribuent activement », poursuit Renaud Finaz de Villaine.
1er signe de ce “tout information” : la recherche d’information par l’utilisateur via un moteur de recherche cède la place à la réception automatisée de ces informations par l’utilisateur via des systèmes de push. Phénomène concomitant : les informations qui étaient au départ accessibles sur un ordinateur connecté à Internet (abonnement à des newsletters personnalisées, abonnement à des flux RSS…), le sont désormais depuis les environnements WAP et i-Mode des téléphones mobiles.
2ème signe : les systèmes informatiques conquièrent aujourd’hui de nouveaux espaces et s’adaptent aux usages nés avec les derniers types de terminaux mobiles : abonnement à des alertes SMS pour les téléphones GSM, envoi d’emails consultables sur les Blackberry ou Pocket PC, QR Codes pour réceptionner des informations à partir d’éléments de l’environnement dans lequel on se trouve... Sans compter les nombreuses opportunités qui s’ouvrent lorsque ces mêmes terminaux se mettent à l’heure du Web 2.0 : Nokia a par exemple intégré dans ses nouveaux téléphones une solution permettant à l’utilisateur de mettre à jour son propre blog, quand des start-up offrent des solutions permettant d’identifier automatiquement l’objet d’une photo prise à partir d’un téléphone portable.
Ajoutons à cela la possibilité d’échanger des données entre terminaux mobiles grâce aux technologies Infrarouge et ondes radio (Bluetooth, Wibree, Wifi et NCF, protocole standard qui facilite l’interconnexion entre appareils électroniques grand public à partir de la lecture radiofréquence de puces électroniques passives).
Pour Renaud Finaz de Villaine, « nul ne le contestera : le temps de la convergence des terminaux et des informations est donc venu ! Bientôt l’utilisateur ne se demandera plus s’il peut et comment il peut accéder à une information, il la consultera naturellement sur les différents médias mis à sa disposition. »
De nouvelles dynamiques se mettent d’ores et déjà en place autour de cette omniprésence de l’information : la logique communautaire qui caractérise le Web 2.0 gagne le monde de la mobilité – l’acronyme Web Mobile 2.0 n’est pas loin. Qui ne s’est jamais dit qu’il serait intéressant d’avoir accès aux informations du Web (Wikipédia) lorsqu’il visite un monument historique ? Demain, nul doute que les informations circuleront d’utilisateur en utilisateur, selon la logique du peer to peer appliquée aux terminaux mobiles. De leur côté, les diffuseurs de contenus vont être amenés à compter parmi les acteurs clés de ce nouvel univers communicant.
Restera à l’utilisateur néanmoins la nécessité de se prémunir face au trop d’information. Le spam qui se propage à la vitesse grand V sur le Web arrivera très vite sur l’ensemble des terminaux mobiles. Il faudra à la fois que l’utilisateur s’appuie sur des filtres anti-spam pour mobiles pour bloquer les informations non désirées, et apprenne à mieux qualifier ses choix d’information.
« Cela n’ôte rien au fait que toute cette effervescence autour de la mobilité est annonciatrice d’un changement en profondeur dans l’utilisation des terminaux mobiles. L’appareil mobile va devenir de plus en plus présent et jouera le rôle d’un véritable assistant dans nos activités quotidiennes : pour trouver un film à l'affiche, le restaurant le plus proche, la disponibilité d’un parking ou encore les promotions effectuées dans un point de vente… Toutes les informations rendues accessibles, complétées ou agrémentées par l'image et la vidéo, seront consultables, exploitables, partageables n’importe où, à n’importe quel moment, et circuleront de plus en plus et de plus en plus vite. La relation de chacun à l’information recouvrera alors une nouvelle dimension… », conclut Renaud Finaz de Villaine.