Il y a un peu plus d’un an, Yellowfin annonçait son module de mise en récit des données (Data Storytelling). Cette fonction est maintenant disponible sur iPad, permettant ainsi de découvrir l’histoire de ses données en restant mobile. Il ne s’agit pas encore de la possibilité de créer ses propres « storyboards » sur l’iPad, mais de consulter le catalogue des présentations développées dans l’entreprise.
La valeur ajoutée combinée de la mise en récit et de la visualisation graphique a été soulignée largement ces douze derniers mois. Les premiers outils disponibles sur le marché s’appuyaient sur Flash, une technologie très programmable, très graphique, mais qui a subi un coup d’arrêt avec le refus de Steve Jobs d’ouvrir l’iPhone et l’iPad aux applications Flash.
Xcelsius, racheté par Business Objects, puis par SAP, faisait partie des premiers outils à permettre un peu de storytelling. Le créateur de Xcelsius, Santiago Becerra, renouvellera ensuite ce succès en créant Romabi. Mais c’est Yellowfin qui le premier osera se positionner clairement sur la « mise en récit des données », faisant le lien avec le succès de Powerpoint comme outil banalisé de support des « histoires d’entreprise ». Dès l’an dernier, Yellowfin expliquait son choix de recréer dans son outil les fonctions de base de Powerpoint pour éviter aux utilisateurs d’avoir à exporter leurs analyses en perdant le lien avec les données. La combinaison de « diapositives », avec des fonctions de navigation, de présentation de textes, d’images, et l’inclusion de rapports décisionnels qui restent interactifs et connectés aux données, y est plutôt bien réussie.
La popularité des tablettes, dont l’écran est plus adapté à la consultation de données détaillées qu’un téléphone intelligent, s’ajoute aux rumeurs de « disparition » progressive de certains PCs remplacés par des tablettes. Yellowfin continue donc à développer sa version mobile, nativement développée sur l’iPhone et l’iPad, et intègre sa fonction « Storyboard » à l’application iPad. Cette nouvelle version est également mise à jour pour la dernière version de IOS7, et ses évolutions graphiques. Elle remplace la version précédente qui datait de novembre 2011, et peut être téléchargée gratuitement sur l’App Store. Elle nécessite pour fonctionner un compte utilisateur Yellowfin afin de récupérer ses données.
« Avec l’ajout de la fonction Storyboard à Yellowfin, les utilisateurs sont maintenant en mesure d’intégrer leurs rapports interactifs à une application de présentation, leur permettant de partager et d’accéder à leurs données à partir de n’importe quel support », explique Glen Rabie, CEO de Yellowfin. Autre point fort de Yellowfin la collaboration autour des données, transverse quelque soit le terminal de connexion utilisé. Cette collaboration prend elle-aussi tout son sens dans l’application iPad. C’est en situation de mobilité que les utilisations ressentent le plus le besoin de collaborer, noter, commenter, partager leurs données.
La valeur ajoutée combinée de la mise en récit et de la visualisation graphique a été soulignée largement ces douze derniers mois. Les premiers outils disponibles sur le marché s’appuyaient sur Flash, une technologie très programmable, très graphique, mais qui a subi un coup d’arrêt avec le refus de Steve Jobs d’ouvrir l’iPhone et l’iPad aux applications Flash.
Xcelsius, racheté par Business Objects, puis par SAP, faisait partie des premiers outils à permettre un peu de storytelling. Le créateur de Xcelsius, Santiago Becerra, renouvellera ensuite ce succès en créant Romabi. Mais c’est Yellowfin qui le premier osera se positionner clairement sur la « mise en récit des données », faisant le lien avec le succès de Powerpoint comme outil banalisé de support des « histoires d’entreprise ». Dès l’an dernier, Yellowfin expliquait son choix de recréer dans son outil les fonctions de base de Powerpoint pour éviter aux utilisateurs d’avoir à exporter leurs analyses en perdant le lien avec les données. La combinaison de « diapositives », avec des fonctions de navigation, de présentation de textes, d’images, et l’inclusion de rapports décisionnels qui restent interactifs et connectés aux données, y est plutôt bien réussie.
La popularité des tablettes, dont l’écran est plus adapté à la consultation de données détaillées qu’un téléphone intelligent, s’ajoute aux rumeurs de « disparition » progressive de certains PCs remplacés par des tablettes. Yellowfin continue donc à développer sa version mobile, nativement développée sur l’iPhone et l’iPad, et intègre sa fonction « Storyboard » à l’application iPad. Cette nouvelle version est également mise à jour pour la dernière version de IOS7, et ses évolutions graphiques. Elle remplace la version précédente qui datait de novembre 2011, et peut être téléchargée gratuitement sur l’App Store. Elle nécessite pour fonctionner un compte utilisateur Yellowfin afin de récupérer ses données.
« Avec l’ajout de la fonction Storyboard à Yellowfin, les utilisateurs sont maintenant en mesure d’intégrer leurs rapports interactifs à une application de présentation, leur permettant de partager et d’accéder à leurs données à partir de n’importe quel support », explique Glen Rabie, CEO de Yellowfin. Autre point fort de Yellowfin la collaboration autour des données, transverse quelque soit le terminal de connexion utilisé. Cette collaboration prend elle-aussi tout son sens dans l’application iPad. C’est en situation de mobilité que les utilisations ressentent le plus le besoin de collaborer, noter, commenter, partager leurs données.