Benoit CAYLA, Consultant avant-vente, Informatica France
Si l’on s’en réfère à la genèse du MDM il y avait tout d’abord deux grandes familles ou domaines d’applications aux référentiels : les clients (CDI) et les produits (PIM). Mais pourquoi deux familles distinctes me direz-vous ? Et bien tout simplement parce que d’une part toutes les entreprises gèrent des produits et des tiers (clients, fournisseurs, etc.) et que d’autres part il paraissait évident que gérer un domaine produit ne serait pas du tout la même chose que des données clients.
Pour mieux comprendre les différences entre ces deux types de solution MDM il faut dresser la liste des besoins spécifiques qu’elles requièrent.
En effet chaque typologie de domaine impose ses problématiques: un client par exemple est rarement stocké de manière unique dans un seul système. Bien souvent les informations de ce même client sont morcelées et disséminées dans le Système d’Informations (CRM, ERP, applications spécifiques, etc.) voire même à l’extérieur de l’entreprise. Récupérer toutes ces informations (du même client) implique donc de consolider des données disparates et bien souvent de mauvaise qualité. D’où la spécificité des solutions de type CDI (Customer Data Integration) qui ont pour particularité de fonctionner en mode hub (pour pouvoir intégrer automatiquement des données hétérogènes). Une autre spécificité de ce type de MDM est de nativement intégrer des fonctionnalités de qualité de données (standardisation, validation d’adresse, rapprochement en logique floue, etc.) afin de garantir au sein du référentiel que les données de ce client sont bel et bien complètes, conformes, cohérentes et exactes. Pour résumer les deux principales qualités d’un MDM de type CDI sont sa capacité de consolidation (mode Hub) d’une part sa faculté de garantir la qualité de données d’autre part.
Naturellement ces solutions de type CDI se sont naturellement orientée vers une « générisation » de leurs fonctionnalités, offrant ainsi la possibilité d’étendre le référentiel client vers d’autres types de données. Un client s’est donc vu rattaché à une ou plusieurs organisations internes … mais aussi à des informations produits (ses achats), des fournisseurs … En clair, le référentiel client ne se suffisait pas, et ne pouvait avoir de la valeur qu’au cœur d’un écosystème plus large. C’est partant de ce constat ou plutôt de ce besoin que sont nés les MDM de type Multi-domaine.
La force de ces solutions est donc directement liée à leur capacité de modélisation (pour s’adapter à tout type de besoin) d’une part mais aussi et surtout à leur capacité d’absorber et relier des sources hétérogènes (la qualité de données jouant encore une fois un rôle essentiel dans ce processus). On adressera par exemple avec Informatica Multi-domaine Hub des domaines clients, fournisseurs, organisations, employés, produits, mais aussi et pourquoi pas des domaines plus « exotiques » comme des biens, des contrats, etc.
Mais voilà, là où l’approche générique permet d’adresser tous types de domaines et donc de gérer n’importe quel type de donnée de référence, elle se heurte rapidement à des besoins plus métier et à des processus de gestion propres à chaque entreprise et activité.
C’est le cas des solutions de type PIM qui se sont donc rapidement verticalisées pour mieux adresser par exemple les acteurs de la Distribution mais aussi et bien souvent pour permettre la mise en place de site e-commerce totalement intégrés au SI. En effet un produit est et reste une notion « universelle ». Il est « rangé » dans une (ou plusieurs) structure ou nomenclature, possède plusieurs caractéristiques (taille, poids, couleur, etc.), possède des descriptions, des prix, des informations d’upsell/cross-sell, des caractéristiques dans plusieurs langues et bien sur des images et/ou documents multimédia associés. Bref, du point de vue structurel les variations liées à la façon de stocker un produit d’une entreprise à une autre restent faibles. Tout l’enjeu d’un référentiel produit ne se situe donc plus dans sa capacité de modéliser tel ou tel produit mais bien dans sa façon de le gérer du point de vue métier.
Informatica PIM (issu du rachat de la société Heiler) propose donc une approche résolument innovante avec une solution à la frontière du progiciel et du middleware dans le but de répondre de manière pragmatique à cet enjeu.
Résolument tournée vers les utilisateurs métier cette solution dispose de manière native les briques principales qui permettront de gérer la vie de données produits :
• Une interface métier de gouvernance de données produit (gestion des structures/nomenclatures, assortiments, attributs, processus, etc.).
• Un portail et une gestion native des fournisseurs afin que ces derniers puissent gérer de manière autonome leurs catalogues.
• Un DAM (Digital Asset Management) afin de gérer de manière extrêmement fine et personnalisée toutes les données non structurées (images, vidéos, pdf, etc.).
Pour mieux comprendre les différences entre ces deux types de solution MDM il faut dresser la liste des besoins spécifiques qu’elles requièrent.
En effet chaque typologie de domaine impose ses problématiques: un client par exemple est rarement stocké de manière unique dans un seul système. Bien souvent les informations de ce même client sont morcelées et disséminées dans le Système d’Informations (CRM, ERP, applications spécifiques, etc.) voire même à l’extérieur de l’entreprise. Récupérer toutes ces informations (du même client) implique donc de consolider des données disparates et bien souvent de mauvaise qualité. D’où la spécificité des solutions de type CDI (Customer Data Integration) qui ont pour particularité de fonctionner en mode hub (pour pouvoir intégrer automatiquement des données hétérogènes). Une autre spécificité de ce type de MDM est de nativement intégrer des fonctionnalités de qualité de données (standardisation, validation d’adresse, rapprochement en logique floue, etc.) afin de garantir au sein du référentiel que les données de ce client sont bel et bien complètes, conformes, cohérentes et exactes. Pour résumer les deux principales qualités d’un MDM de type CDI sont sa capacité de consolidation (mode Hub) d’une part sa faculté de garantir la qualité de données d’autre part.
Naturellement ces solutions de type CDI se sont naturellement orientée vers une « générisation » de leurs fonctionnalités, offrant ainsi la possibilité d’étendre le référentiel client vers d’autres types de données. Un client s’est donc vu rattaché à une ou plusieurs organisations internes … mais aussi à des informations produits (ses achats), des fournisseurs … En clair, le référentiel client ne se suffisait pas, et ne pouvait avoir de la valeur qu’au cœur d’un écosystème plus large. C’est partant de ce constat ou plutôt de ce besoin que sont nés les MDM de type Multi-domaine.
La force de ces solutions est donc directement liée à leur capacité de modélisation (pour s’adapter à tout type de besoin) d’une part mais aussi et surtout à leur capacité d’absorber et relier des sources hétérogènes (la qualité de données jouant encore une fois un rôle essentiel dans ce processus). On adressera par exemple avec Informatica Multi-domaine Hub des domaines clients, fournisseurs, organisations, employés, produits, mais aussi et pourquoi pas des domaines plus « exotiques » comme des biens, des contrats, etc.
Mais voilà, là où l’approche générique permet d’adresser tous types de domaines et donc de gérer n’importe quel type de donnée de référence, elle se heurte rapidement à des besoins plus métier et à des processus de gestion propres à chaque entreprise et activité.
C’est le cas des solutions de type PIM qui se sont donc rapidement verticalisées pour mieux adresser par exemple les acteurs de la Distribution mais aussi et bien souvent pour permettre la mise en place de site e-commerce totalement intégrés au SI. En effet un produit est et reste une notion « universelle ». Il est « rangé » dans une (ou plusieurs) structure ou nomenclature, possède plusieurs caractéristiques (taille, poids, couleur, etc.), possède des descriptions, des prix, des informations d’upsell/cross-sell, des caractéristiques dans plusieurs langues et bien sur des images et/ou documents multimédia associés. Bref, du point de vue structurel les variations liées à la façon de stocker un produit d’une entreprise à une autre restent faibles. Tout l’enjeu d’un référentiel produit ne se situe donc plus dans sa capacité de modéliser tel ou tel produit mais bien dans sa façon de le gérer du point de vue métier.
Informatica PIM (issu du rachat de la société Heiler) propose donc une approche résolument innovante avec une solution à la frontière du progiciel et du middleware dans le but de répondre de manière pragmatique à cet enjeu.
Résolument tournée vers les utilisateurs métier cette solution dispose de manière native les briques principales qui permettront de gérer la vie de données produits :
• Une interface métier de gouvernance de données produit (gestion des structures/nomenclatures, assortiments, attributs, processus, etc.).
• Un portail et une gestion native des fournisseurs afin que ces derniers puissent gérer de manière autonome leurs catalogues.
• Un DAM (Digital Asset Management) afin de gérer de manière extrêmement fine et personnalisée toutes les données non structurées (images, vidéos, pdf, etc.).
Prête à l’emploi cette solution se positionne aussi comme un accélérateur de gestion de données produit pour toute les initiatives e-commerce grâce notamment à ses possibilités de diffusion multicanal (catalogue, site e-commerce, mobile, Facebook, etc.).
Venez découvrir comment l’offre Informatica PIM complète et s’intègre naturellement à l’offre Informatica à l’Informatica Day Paris du Jeudi 10 octobre 2013 : http://fr.vip.informatica.com/content/Informatica-Day-Paris
Venez découvrir comment l’offre Informatica PIM complète et s’intègre naturellement à l’offre Informatica à l’Informatica Day Paris du Jeudi 10 octobre 2013 : http://fr.vip.informatica.com/content/Informatica-Day-Paris
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