Ash Finnegan, responsable de la transformation digitale chez Conga
En revanche, les pays européens analysés - le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Espagne, la France et l’Italie - seraient en retard sur les Etats-Unis et la Chine en matière de dépenses en logiciels d’IA. L’Allemagne figure toutefois en tête, avec un investissement prévisionnel de 2,4 milliards de dollars d’ici fin 2022, tandis que le Royaume-Uni et la France devraient dépenser respectivement 2,3 milliards et 1,4 milliards de dollars sur la même période.
Les dernières prévisions Forrester révèlent que l’IA a un grand potentiel et que les dirigeants prennent rapidement conscience des avantages qu’elle peut offrir à leurs organisations, de l’automatisation des opérations de revenus à une meilleure exploitation d’analyse des données pour guider leurs décisions. Ces statistiques attestent par ailleurs une nette démocratisation du recours à l’IA. Cependant, compte tenu de l’évolution continue des modèles économiques, les dirigeants doivent prendre en compte sa complexité et réfléchir soigneusement à la technologie qu’ils choisissent.
Le rapport met par ailleurs en exergue le retard de la France, et de l’Europe en général, face aux Etats-Unis et à la Chine, qui à eux deux représentent 72 % des dépenses du marché mondial. Un faible taux européen sans doute lié aux investissements massifs réalisés par les chefs d’entreprise lors de la pandémie pour faire face au nouvel ordre commercial. Ainsi, nombre d’entre eux ont précipité le recours aux technologies d’IA et accusent aujourd’hui le coût de ces dépenses. A l’avenir, les dirigeants devront être plus stratégiques dans leurs choix d’investissements, surtout s’ils cherchent à utiliser l’IA pour prendre des décisions éclairées ou apporter des changements stratégiques à leur entreprise.
Les technologies d’IA et d’automatisation ne sont pas auto-suffisantes, et leur intégration ne peut se faire de façon efficace sans que les dirigeants n’aient anticipé en priorité l’intégration des systèmes et la rationalisation des processus. Ainsi, avant toute chose, une prise de recul est indispensable afin d’analyser précisément la situation, quelle que soit la taille de la structure. Il est nécessaire de mener un audit approfondi, afin de comprendre où se situe l’entreprise en termes de maturité numérique. Ce n’est qu’à cette condition que les organisations peuvent avoir une image plus précise de la manière dont les données circulent entre les systèmes, les équipes et les différents services. A partir de là, les dirigeants sont en mesure d’identifier les axes d’amélioration parmi les différents systèmes et processus, et de maximiser les flux de données. L’IA peut, alors, apporter une réelle valeur ajoutée. »
Les dernières prévisions Forrester révèlent que l’IA a un grand potentiel et que les dirigeants prennent rapidement conscience des avantages qu’elle peut offrir à leurs organisations, de l’automatisation des opérations de revenus à une meilleure exploitation d’analyse des données pour guider leurs décisions. Ces statistiques attestent par ailleurs une nette démocratisation du recours à l’IA. Cependant, compte tenu de l’évolution continue des modèles économiques, les dirigeants doivent prendre en compte sa complexité et réfléchir soigneusement à la technologie qu’ils choisissent.
Le rapport met par ailleurs en exergue le retard de la France, et de l’Europe en général, face aux Etats-Unis et à la Chine, qui à eux deux représentent 72 % des dépenses du marché mondial. Un faible taux européen sans doute lié aux investissements massifs réalisés par les chefs d’entreprise lors de la pandémie pour faire face au nouvel ordre commercial. Ainsi, nombre d’entre eux ont précipité le recours aux technologies d’IA et accusent aujourd’hui le coût de ces dépenses. A l’avenir, les dirigeants devront être plus stratégiques dans leurs choix d’investissements, surtout s’ils cherchent à utiliser l’IA pour prendre des décisions éclairées ou apporter des changements stratégiques à leur entreprise.
Les technologies d’IA et d’automatisation ne sont pas auto-suffisantes, et leur intégration ne peut se faire de façon efficace sans que les dirigeants n’aient anticipé en priorité l’intégration des systèmes et la rationalisation des processus. Ainsi, avant toute chose, une prise de recul est indispensable afin d’analyser précisément la situation, quelle que soit la taille de la structure. Il est nécessaire de mener un audit approfondi, afin de comprendre où se situe l’entreprise en termes de maturité numérique. Ce n’est qu’à cette condition que les organisations peuvent avoir une image plus précise de la manière dont les données circulent entre les systèmes, les équipes et les différents services. A partir de là, les dirigeants sont en mesure d’identifier les axes d’amélioration parmi les différents systèmes et processus, et de maximiser les flux de données. L’IA peut, alors, apporter une réelle valeur ajoutée. »