Le baromètre Decideo 2005 dont les résultats viennent d’être révélés, s’est pour la première fois intéressé au phénomène de l’open source appliqué au monde du décisionnel. Parmi les nombreuses questions posées aux utilisateurs, intégrateurs et éditeurs professionnels de la Business Intelligence, figurait une question sur leur intérêt vis-à-vis du développement de nouvelles solutions décisionnelles basées sur le concept et le modèle économique de l’open source.
A une très large majorité, 80% des utilisateurs en entreprise se sont déclarés intéressés par le développement de ces nouvelles solutions, dont la moitié se déclarent même « très » intéressés. Ils ne sont que 4% à rejeter totalement ce modèle et ne pas être du tout intéressés par ce type de développement.
Du côté des SSII et intégrateurs, c’est encore plus marqué. Près de 87% des intégrateurs se disent intéressés par des solutions décisionnelles en open source. Ce taux en dit long sur les relations de « partenariat » mises en place entre les éditeurs et leurs intégrateurs. Il suffirait de quelques développements libres pour que ces accords ne signifient plus grand-chose !
Bien entendu, du côté des éditeurs de progiciels, la répartition est bien différente. Ils ne sont que 48% à se déclarer intéressés, dont moins de 20% à être « très » intéressés. Assez logiquement, 25% d’entre eux ne sont pas du tout intéressés.
Au-delà de l’analyse comportementale détaillée de ces chiffres, une certitude, les deux prochaines années verront le monde du décisionnel concerné par ces nouveaux modèles économiques. Editeurs, intégrateurs et utilisateurs devront s’y adapter.
A une très large majorité, 80% des utilisateurs en entreprise se sont déclarés intéressés par le développement de ces nouvelles solutions, dont la moitié se déclarent même « très » intéressés. Ils ne sont que 4% à rejeter totalement ce modèle et ne pas être du tout intéressés par ce type de développement.
Du côté des SSII et intégrateurs, c’est encore plus marqué. Près de 87% des intégrateurs se disent intéressés par des solutions décisionnelles en open source. Ce taux en dit long sur les relations de « partenariat » mises en place entre les éditeurs et leurs intégrateurs. Il suffirait de quelques développements libres pour que ces accords ne signifient plus grand-chose !
Bien entendu, du côté des éditeurs de progiciels, la répartition est bien différente. Ils ne sont que 48% à se déclarer intéressés, dont moins de 20% à être « très » intéressés. Assez logiquement, 25% d’entre eux ne sont pas du tout intéressés.
Au-delà de l’analyse comportementale détaillée de ces chiffres, une certitude, les deux prochaines années verront le monde du décisionnel concerné par ces nouveaux modèles économiques. Editeurs, intégrateurs et utilisateurs devront s’y adapter.