Hewlett Packard Enterprise (HPE) annonce avoir obtenu un financement de recherche de la part du Département de l'Énergie afin de développer une architecture de référence pour un supercalculateur exascale qui permettra de déployer un large éventail d'applications de modélisation et de simulation, aujourd'hui impossibles à réaliser. Ce supercalculateur accélérera les découvertes dans les sciences, la médecine, la technologie, l'ingénierie et de nombreux autres domaines. Les applications scientifiques auront un impact sur presque tous les sujets de recherche, allant des mécanismes physiques produits lors d’explosions d'étoiles, jusqu’à la médecine de précision nécessaire pour combattre le cancer.
Pour délivrer des performances exascale à l’horizon 2022-2023, les machines de calcul haute performance (HPC) devront être 10 fois plus rapides et plus efficaces en énergie que les superordinateurs les plus rapides d'aujourd'hui. Cela nécessitera une recherche active sur les technologies qui amélioreront considérablement la puissance de traitement tout en réduisant d’un facteur 10 la consommation d'énergie et les besoins d’espace au sol. L’architecture de référence de HPE répondra à cet ensemble de défis, ainsi qu'à la capacité mémoire, à la capacité des fabriques et aux contraintes de bande passante des architectures HPC d'aujourd'hui, afin de fournir des performances de calcul exascales avec une faible latence.
Le concept de Memory-Driven Computing se situe au cœur de l’architecture de référence exascale de HPE. C’est une architecture qui met la mémoire, et pas le traitement, au centre de la plate-forme informatique afin d’obtenir un nouveau niveau de performances et des gains d'efficacité. L'architecture Memory-Driven Computing de HPE est constitué par un ensemble de technologies évolutives que les Hewlett Packard Labs ont développé avec le projet de recherche The Machine. Le 16 mai 2017, HPE a dévoilé le dernier prototype de ce projet, le plus grand ordinateur à mémoire unique au monde.
Pour délivrer des performances exascale à l’horizon 2022-2023, les machines de calcul haute performance (HPC) devront être 10 fois plus rapides et plus efficaces en énergie que les superordinateurs les plus rapides d'aujourd'hui. Cela nécessitera une recherche active sur les technologies qui amélioreront considérablement la puissance de traitement tout en réduisant d’un facteur 10 la consommation d'énergie et les besoins d’espace au sol. L’architecture de référence de HPE répondra à cet ensemble de défis, ainsi qu'à la capacité mémoire, à la capacité des fabriques et aux contraintes de bande passante des architectures HPC d'aujourd'hui, afin de fournir des performances de calcul exascales avec une faible latence.
Le concept de Memory-Driven Computing se situe au cœur de l’architecture de référence exascale de HPE. C’est une architecture qui met la mémoire, et pas le traitement, au centre de la plate-forme informatique afin d’obtenir un nouveau niveau de performances et des gains d'efficacité. L'architecture Memory-Driven Computing de HPE est constitué par un ensemble de technologies évolutives que les Hewlett Packard Labs ont développé avec le projet de recherche The Machine. Le 16 mai 2017, HPE a dévoilé le dernier prototype de ce projet, le plus grand ordinateur à mémoire unique au monde.