Les comptes Twitter des invités génèrent des avatars imprimables en 3D
Le data art : rendre visible l’invisible des data
Le data art est une des formes d’art numérique les plus prometteuses. A travers cette nouvelle forme d’art, la création dépend de data connectées. Ces oeuvres possèdent donc un caractère “génératif”, c’est à dire que les images sont codées et produites à partir de code informatique (les data d’un utilisateur, d’une marque, d’un espace, etc). Le data art expose ainsi les liens qui existent entre les algorithmes et la création artistique et permet de rendre l’invisible visible.
Pour Abdel Bounane, Président et co-fondateur de Bright “ce type d’oeuvres numériques possèdent des potentiels illimités et représentent un réel changement de paradigme dans la façon dont une création (de communication, publicitaire) est envisagée : de dessinée et finie, elle devient codée, vivante et en lien avec l’activité d’une entreprise, d’un espace, d’une ville...”.
Le data art au service de la communication des marques
Le data art est un outil de communication puissant, qui permet de sublimer l'aura d'une marque, sur une matière première qui lui est totalement propre, la data, qui révèle le lien qu'elle a avec ses divers publics. Nombre de personnes présentes sur un lieu, taux de satisfaction, activité sur les réseaux sociaux, géolocalisation d’une flotte de véhicule... Pour la première fois, les données d’une marque sont traitées, analysées, et représentées de manière esthétique, pour communiquer en temps réel sur le patrimoine numérique d’une marque : ses data.
En un mot, le data art permet de raconter de nouvelles histoires, basée sur le patrimoine digital d’une entreprise, en temps réel et sur tous les outils de communication d’une marque. Ces créations peuvent en effet se décliner aussi bien dans un lieu que sur tous les outils digitaux : un site web, une appli, ou les réseaux sociaux… C’est pourquoi les marques font de plus en plus appel à Bright pour métamorphoser et poétiser leurs data en oeuvre d’art unique, personnalisée et infinie.
Quelques exemples de data art au service de la communication des marques
> Exprimer un message de paix universel pour l’UNESCO
Bright a récemment été sélectionné par l’UNESCO pour imaginer un moyen créatif permettant d’exprimer et de diffuser un message de paix universel. L’oeuvre, produite en collaboration avec un artiste numérique, sera dévoilée le 1er octobre 2016 afin de célébrer le 70ème anniversaire de la Commission Nationale Française (CNF) à l’UNESCO.
> Dévoiler une nouvelle identité à travers une expérience digitale originale et collaborative pour ERDF/ENEDIS
En faisant appel à Bright, ERDF a souhaité dévoiler son nouveau nom ENEDIS et sa nouvelle identité visuelle à travers un dispositif unique. Chacun a pu découvrir son “davatar”, sa créature unique générée à partir de son usage des réseaux sociaux. L’accumulation des créatures générées par les internautes a progressivement levé le voile sur la nouvelle identité d’ERDF.
> Data art sur 1000 écrans des abribus parisiens avec JCDecaux
Bright a été sélectionné par JCDecaux et la ville de Paris pour réaliser une exposition d’art numérique sur les nouveaux abribus connectés. Sur plus de 1000 abribus partout dans la ville, les parisiens auront l’occasion de découvrir une sélection d’art numérique alors qu’ils attendent le bus. Le “data art” sera à l’honneur avec de l’art généré à partir de données de la Ville de Paris, avec des designers interactifs tels que Louis Eveillard et les oeuvres de Vincent Broquaire.
> Une oeuvre de data art unique représentant la consommation énergétique des étudiants du Plateau de Saclay
Le promoteur Oceanis va utiliser la plateforme de Bright pour répresenter la consommation d’énergie des étudiants du campus “ECLA” sur le Plateau de Saclay, dont l’ouverture est prévue en 2018. Ici l’utilisation du data art encouragera les étudiants à adopter un comportement éco-responsable.
> Représenter en temps réel les conversations Twitter de +2200 musées participants à la Twitter Museum Week
“Museum Week” est une oeuvre d’art générative produite par Bright à l’occasion d’un événement réunissant plus de 2200 musées internationaux sur Twitter. Les données Twitter de chacun des musées (couleurs de la photo de profil, tweets…) ont généré les différents éléments de l’oeuvre en temps réel. Chaque musée possédant ainsi sa propre version de l’oeuvre, il existe donc plus de 2200 variations possibles de l’oeuvre. L’oeuvre, qui a été exposée pendant toute la durée de l’événement à la Cité de l’Architecture et du patrimoine, est aujourd’hui visible dans tous les abribus connectés de la ville de Paris, ainsi que sur internet à l’adresse http://artwork.museumweek2015.org/
> Les data du Nike Fuelband génèrent des créations visuelles dynamiques
"Crosslining" est une oeuvre de “data art” générée par les données de géo-localisation de coureurs portant les dernières chaussures FlyKnit de Nike. Pour ce projet, Bright a commissioné l’artiste Karsten Schmidt, dont le travail a été inspiré de l’esthétique des Nike FlyKnit. Karsten Schmidt a par ailleurs exposé au MoMA (New-York), au Victoria & Albert Museum (Londres) et à La Gaîté Lyrique (Paris).
> Les comptes Twitter des invités génèrent des avatars imprimables en 3D
Dans le cadre d’un événement organisé par Twitter France, Bright a produit “Doris Le Bot” une oeuvre de l’artiste Brendan Dawes. Lorsqu’une personne présente à l’événement envoyait un tweet à @dorislebot, un avatar était généré en temps réel à partir des différentes caractéristiques de son compte Twitter : le nombre d’années passées sur Twitter générait les couleurs, le nombre de favoris, la taille de l’avatar, etc. Après l’événement, une séléction de ces avatars a même été imprimée en 3D, rendant ainsi totalement réel ce qui n’était à la base qu'une donnée numérique.
> LVMH : de la data au motion design
Pour LVMH, les données des réseaux sociaux de la branche Luxe du Groupe ont été crystallisées dans une oeuvre générative de motion design imaginée par l’artiste Pierre Magnol.
Le data art est une des formes d’art numérique les plus prometteuses. A travers cette nouvelle forme d’art, la création dépend de data connectées. Ces oeuvres possèdent donc un caractère “génératif”, c’est à dire que les images sont codées et produites à partir de code informatique (les data d’un utilisateur, d’une marque, d’un espace, etc). Le data art expose ainsi les liens qui existent entre les algorithmes et la création artistique et permet de rendre l’invisible visible.
Pour Abdel Bounane, Président et co-fondateur de Bright “ce type d’oeuvres numériques possèdent des potentiels illimités et représentent un réel changement de paradigme dans la façon dont une création (de communication, publicitaire) est envisagée : de dessinée et finie, elle devient codée, vivante et en lien avec l’activité d’une entreprise, d’un espace, d’une ville...”.
Le data art au service de la communication des marques
Le data art est un outil de communication puissant, qui permet de sublimer l'aura d'une marque, sur une matière première qui lui est totalement propre, la data, qui révèle le lien qu'elle a avec ses divers publics. Nombre de personnes présentes sur un lieu, taux de satisfaction, activité sur les réseaux sociaux, géolocalisation d’une flotte de véhicule... Pour la première fois, les données d’une marque sont traitées, analysées, et représentées de manière esthétique, pour communiquer en temps réel sur le patrimoine numérique d’une marque : ses data.
En un mot, le data art permet de raconter de nouvelles histoires, basée sur le patrimoine digital d’une entreprise, en temps réel et sur tous les outils de communication d’une marque. Ces créations peuvent en effet se décliner aussi bien dans un lieu que sur tous les outils digitaux : un site web, une appli, ou les réseaux sociaux… C’est pourquoi les marques font de plus en plus appel à Bright pour métamorphoser et poétiser leurs data en oeuvre d’art unique, personnalisée et infinie.
Quelques exemples de data art au service de la communication des marques
> Exprimer un message de paix universel pour l’UNESCO
Bright a récemment été sélectionné par l’UNESCO pour imaginer un moyen créatif permettant d’exprimer et de diffuser un message de paix universel. L’oeuvre, produite en collaboration avec un artiste numérique, sera dévoilée le 1er octobre 2016 afin de célébrer le 70ème anniversaire de la Commission Nationale Française (CNF) à l’UNESCO.
> Dévoiler une nouvelle identité à travers une expérience digitale originale et collaborative pour ERDF/ENEDIS
En faisant appel à Bright, ERDF a souhaité dévoiler son nouveau nom ENEDIS et sa nouvelle identité visuelle à travers un dispositif unique. Chacun a pu découvrir son “davatar”, sa créature unique générée à partir de son usage des réseaux sociaux. L’accumulation des créatures générées par les internautes a progressivement levé le voile sur la nouvelle identité d’ERDF.
> Data art sur 1000 écrans des abribus parisiens avec JCDecaux
Bright a été sélectionné par JCDecaux et la ville de Paris pour réaliser une exposition d’art numérique sur les nouveaux abribus connectés. Sur plus de 1000 abribus partout dans la ville, les parisiens auront l’occasion de découvrir une sélection d’art numérique alors qu’ils attendent le bus. Le “data art” sera à l’honneur avec de l’art généré à partir de données de la Ville de Paris, avec des designers interactifs tels que Louis Eveillard et les oeuvres de Vincent Broquaire.
> Une oeuvre de data art unique représentant la consommation énergétique des étudiants du Plateau de Saclay
Le promoteur Oceanis va utiliser la plateforme de Bright pour répresenter la consommation d’énergie des étudiants du campus “ECLA” sur le Plateau de Saclay, dont l’ouverture est prévue en 2018. Ici l’utilisation du data art encouragera les étudiants à adopter un comportement éco-responsable.
> Représenter en temps réel les conversations Twitter de +2200 musées participants à la Twitter Museum Week
“Museum Week” est une oeuvre d’art générative produite par Bright à l’occasion d’un événement réunissant plus de 2200 musées internationaux sur Twitter. Les données Twitter de chacun des musées (couleurs de la photo de profil, tweets…) ont généré les différents éléments de l’oeuvre en temps réel. Chaque musée possédant ainsi sa propre version de l’oeuvre, il existe donc plus de 2200 variations possibles de l’oeuvre. L’oeuvre, qui a été exposée pendant toute la durée de l’événement à la Cité de l’Architecture et du patrimoine, est aujourd’hui visible dans tous les abribus connectés de la ville de Paris, ainsi que sur internet à l’adresse http://artwork.museumweek2015.org/
> Les data du Nike Fuelband génèrent des créations visuelles dynamiques
"Crosslining" est une oeuvre de “data art” générée par les données de géo-localisation de coureurs portant les dernières chaussures FlyKnit de Nike. Pour ce projet, Bright a commissioné l’artiste Karsten Schmidt, dont le travail a été inspiré de l’esthétique des Nike FlyKnit. Karsten Schmidt a par ailleurs exposé au MoMA (New-York), au Victoria & Albert Museum (Londres) et à La Gaîté Lyrique (Paris).
> Les comptes Twitter des invités génèrent des avatars imprimables en 3D
Dans le cadre d’un événement organisé par Twitter France, Bright a produit “Doris Le Bot” une oeuvre de l’artiste Brendan Dawes. Lorsqu’une personne présente à l’événement envoyait un tweet à @dorislebot, un avatar était généré en temps réel à partir des différentes caractéristiques de son compte Twitter : le nombre d’années passées sur Twitter générait les couleurs, le nombre de favoris, la taille de l’avatar, etc. Après l’événement, une séléction de ces avatars a même été imprimée en 3D, rendant ainsi totalement réel ce qui n’était à la base qu'une donnée numérique.
> LVMH : de la data au motion design
Pour LVMH, les données des réseaux sociaux de la branche Luxe du Groupe ont été crystallisées dans une oeuvre générative de motion design imaginée par l’artiste Pierre Magnol.