A DURBAN, l'absence de décision sur une réduction supplémentaire des émissions de gaz à effet de serre exacerbe la nécessité de se préparer à subir les effets de plus en plus extrêmes du changement climatiques. Soucieux d'aider les investisseurs à comprendre et évaluer les enjeux économiques liés au changement climatique, CA Cheuvreux a fait appel à CLIMPACT pour contribuer à la rédaction de rapports d'analyses des marchés météo-sensibles. Au travers de ces rapports, CA Cheuvreux analyse la vulnérabilité et identifie les besoins d'adaptation de différents secteurs d'activité sensibles au climat. CA Cheuvreux, leader européen sur le marché des actions et classé premier sur la recherche dite ESG (Environnementale, Sociale, Gouvernance) est pionnier sur l'intégration des enjeux de développement durable - et notamment climatiques - au cœur de l'analyse financière.
Les indicateurs purement financiers ne suffisent plus, selon CA Cheuvreux, pour évaluer la performance des sociétés et pour identifier les risques et opportunités de marché ; en témoigne, l'intérêt croissant des analystes financiers et des investisseurs pour la problématique du climat et de son impact économique à court et long terme. Tandis que les états peinent à trouver un consensus sur les actions d'atténuation d'émissions de Co2 à Durban, il serait déjà trop tard pour contenir le réchauffement climatique dans les limites des 2°C. Or, selon le Département Américain du Commerce, 70% de l'économie seraient « météo-sensibles : la grande consommation, la distribution, l'agriculture, le transport, l'assurance, l'industrie, les services, l'énergie, le textile, le tourisme, les loisirs, la santé... sont sensibles aux aléas météorologiques.
Un constat que ne peuvent plus ignorer les investisseurs dans la sélection de leurs valeurs. Les entreprises qui ont anticipé l'impact du climat sur leurs activités, adoptent dès à présent une stratégie d'adaptation au changement climatique. Pour les entreprises, le changement climatique constitue une menace sur leur chiffre d'affaires ou une opportunité... à condition d'anticiper son impact. Le climat devient une variable stratégique au tableau de bord des entreprises et un levier de compétitivité.
Pourtant la prise de conscience des acteurs publics et privés des enjeux face à ces enjeux économiques commence à voir le jour. Une mutation s'opère, sous la pression des financiers ; la SEC, l'autorité de régulation des marchés boursiers américains, recommande par exemple aux entreprises sur la nécessité de communiquer à propos de l'impact du climat sur leur activité. EDF est ainsi le premier en France à avoir communiqué l'impact de la météo sur son chiffre d'affaire dans son dernier rapport annuel.
Les indicateurs purement financiers ne suffisent plus, selon CA Cheuvreux, pour évaluer la performance des sociétés et pour identifier les risques et opportunités de marché ; en témoigne, l'intérêt croissant des analystes financiers et des investisseurs pour la problématique du climat et de son impact économique à court et long terme. Tandis que les états peinent à trouver un consensus sur les actions d'atténuation d'émissions de Co2 à Durban, il serait déjà trop tard pour contenir le réchauffement climatique dans les limites des 2°C. Or, selon le Département Américain du Commerce, 70% de l'économie seraient « météo-sensibles : la grande consommation, la distribution, l'agriculture, le transport, l'assurance, l'industrie, les services, l'énergie, le textile, le tourisme, les loisirs, la santé... sont sensibles aux aléas météorologiques.
Un constat que ne peuvent plus ignorer les investisseurs dans la sélection de leurs valeurs. Les entreprises qui ont anticipé l'impact du climat sur leurs activités, adoptent dès à présent une stratégie d'adaptation au changement climatique. Pour les entreprises, le changement climatique constitue une menace sur leur chiffre d'affaires ou une opportunité... à condition d'anticiper son impact. Le climat devient une variable stratégique au tableau de bord des entreprises et un levier de compétitivité.
Pourtant la prise de conscience des acteurs publics et privés des enjeux face à ces enjeux économiques commence à voir le jour. Une mutation s'opère, sous la pression des financiers ; la SEC, l'autorité de régulation des marchés boursiers américains, recommande par exemple aux entreprises sur la nécessité de communiquer à propos de l'impact du climat sur leur activité. EDF est ainsi le premier en France à avoir communiqué l'impact de la météo sur son chiffre d'affaire dans son dernier rapport annuel.