Le Ministère de l'Agriculture et de la Pêche déploie largement les technologies de Business Objects (NASDAQ: BOBJ ; Euronext Paris, code Sicovam : 12074), le leader mondial des fournisseurs de solutions de Business Intelligence (BI), auprès de ses directions départementales et de ses services déconcentrés, dans le cadre de la mise en oeuvre des directives LOLF (Loi Organique relative aux Lois de Finances).
Au sein du ministère de l'Agriculture et de la Pêche, le Secrétariat Général est responsable de l'allocation des moyens auprès des directions départementales et régionales du ministère, notamment les crédits de fonctionnement et la masse salariale (12 000 personnes). Avec l'arrivée de la LOLF, ces moyens sont désormais axés sur la notion de budgets prévisionnels et de projets annuels de performance. Mesurer l'efficacité des actions et des dépenses devient donc un impératif, tant au niveau de l'administration centrale que des services déconcentrés.
" La LOLF s'inscrit dans un souci d'efficacité de la dépense publique. Pour piloter la mise en oeuvre des politiques agricoles, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche a donc mis à disposition des directions départementales et des services déconcentrés, des outils simples et des indicateurs utiles sur le terrain. Pour faciliter la mission des directeurs qui devront gérer de nombreux BOP (budgets opérationnels de programme), nous avons sélectionné un nombre limité d'indicateurs pertinents. BusinessObjects Dashboard Manager et BusinessObjects Performance Manager assurent le calcul et une diffusion efficace de ces informations ", explique Jean-Philippe d'Issernio, Chef du bureau des services déconcentrés, Service de la Modernisation du Secrétariat Général du ministère de l'Agriculture et de la Pêche.
Déjà largement déployé au sein du ministère de l'Agriculture et de la Pêche, notamment comme outil de requêtage sur la base de données nationale d'identification des bovins, sur les fichiers administratifs et sur la base de données « métiers », BusinessObjects s'est placé tout naturellement au coeur des problématiques LOLF.
Aujourd'hui, 250 indicateurs répartis en neuf grands domaines d'activité permettent un suivi très fin de la performance des services déconcentrés. Citons, à titre d'exemple, quelques indicateurs relatifs au programme Gestion durable de l'agriculture, de la pêche et développement durable : part des actifs ayant un emploi dans les zones rurales, taux de renouvellement des chefs d'exploitation, populations des communes rurales ayant bénéficié d'un soutien pour réaliser un projet d'eau potable, frais de gestion des aides, montant des aides versées... Autres exemples d'indicateurs liés au programme Valorisation des produits : coût de la mise en oeuvre de la PAC (Politique Agricole Commune) par rapport aux soutiens communautaires reçus, délai de versement des aides PAC aux exploitants, délai moyen de mobilisation des aides d'urgence dans le cas des calamités agricoles, part des superficies cultivées en agriculture biologique, présence des entreprises françaises sur les salons agroalimentaires internationaux...
Ces mêmes indicateurs existent sous forme agrégée à l'intention des directeurs départementaux qui assurent le pilotage par objectifs de plusieurs BOP (budget opérationnel de programme), ainsi que des préfets. « Dans la mesure de la performance, il n'y a pas que l'aspect budgétaire. Les indicateurs d'activité, de contexte, de qualité... doivent également être pris en compte » souligne Jean-Philippe d'Issernio. Avec BusinessObjects Dashboard Manager pour les indicateurs de performance, et bientôt BusinessObjects Performance Manager pour le pilotage par objectifs, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche est en mesure de justifier précisément ses crédits et de présenter une analyse fine du coût de ses actions en fonction de ses différents programmes et missions.
Au sein du ministère de l'Agriculture et de la Pêche, le Secrétariat Général est responsable de l'allocation des moyens auprès des directions départementales et régionales du ministère, notamment les crédits de fonctionnement et la masse salariale (12 000 personnes). Avec l'arrivée de la LOLF, ces moyens sont désormais axés sur la notion de budgets prévisionnels et de projets annuels de performance. Mesurer l'efficacité des actions et des dépenses devient donc un impératif, tant au niveau de l'administration centrale que des services déconcentrés.
" La LOLF s'inscrit dans un souci d'efficacité de la dépense publique. Pour piloter la mise en oeuvre des politiques agricoles, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche a donc mis à disposition des directions départementales et des services déconcentrés, des outils simples et des indicateurs utiles sur le terrain. Pour faciliter la mission des directeurs qui devront gérer de nombreux BOP (budgets opérationnels de programme), nous avons sélectionné un nombre limité d'indicateurs pertinents. BusinessObjects Dashboard Manager et BusinessObjects Performance Manager assurent le calcul et une diffusion efficace de ces informations ", explique Jean-Philippe d'Issernio, Chef du bureau des services déconcentrés, Service de la Modernisation du Secrétariat Général du ministère de l'Agriculture et de la Pêche.
Déjà largement déployé au sein du ministère de l'Agriculture et de la Pêche, notamment comme outil de requêtage sur la base de données nationale d'identification des bovins, sur les fichiers administratifs et sur la base de données « métiers », BusinessObjects s'est placé tout naturellement au coeur des problématiques LOLF.
Aujourd'hui, 250 indicateurs répartis en neuf grands domaines d'activité permettent un suivi très fin de la performance des services déconcentrés. Citons, à titre d'exemple, quelques indicateurs relatifs au programme Gestion durable de l'agriculture, de la pêche et développement durable : part des actifs ayant un emploi dans les zones rurales, taux de renouvellement des chefs d'exploitation, populations des communes rurales ayant bénéficié d'un soutien pour réaliser un projet d'eau potable, frais de gestion des aides, montant des aides versées... Autres exemples d'indicateurs liés au programme Valorisation des produits : coût de la mise en oeuvre de la PAC (Politique Agricole Commune) par rapport aux soutiens communautaires reçus, délai de versement des aides PAC aux exploitants, délai moyen de mobilisation des aides d'urgence dans le cas des calamités agricoles, part des superficies cultivées en agriculture biologique, présence des entreprises françaises sur les salons agroalimentaires internationaux...
Ces mêmes indicateurs existent sous forme agrégée à l'intention des directeurs départementaux qui assurent le pilotage par objectifs de plusieurs BOP (budget opérationnel de programme), ainsi que des préfets. « Dans la mesure de la performance, il n'y a pas que l'aspect budgétaire. Les indicateurs d'activité, de contexte, de qualité... doivent également être pris en compte » souligne Jean-Philippe d'Issernio. Avec BusinessObjects Dashboard Manager pour les indicateurs de performance, et bientôt BusinessObjects Performance Manager pour le pilotage par objectifs, le ministère de l'Agriculture et de la Pêche est en mesure de justifier précisément ses crédits et de présenter une analyse fine du coût de ses actions en fonction de ses différents programmes et missions.