« Les tout derniers développements dans le domaine de l'IA devraient avoir pour effet une assistance toujours meilleure des robots sur le poste de travail »
« Les tout derniers développements dans le domaine de l'IA devraient avoir pour effet une assistance toujours meilleure des robots sur le poste de travail », déclare Junji Tsuda, président de la Fédération internationale de robotique. « À l'avenir, les machines ne feront pas qu'exécuter des ordres pour lesquels elles sont programmées. Elles seront également capables de comprendre les questions des collègues humains, d'y répondre et de réagir à leurs gestes. Dans une seconde étape il s'agira d'anticiper les étapes de travail d'un humain afin de reconnaître les obstacles au préalable et de les supprimer. »
Les innovations dans l'IA visant l'étroite interaction entre l'homme et la machine doivent satisfaire à de strictes exigences en matière de sécurité. C'est pourquoi leur lancement sur le marché requerra plus de temps qu'il n'en faut pour les applications logicielles dans le domaine de l'IA qui, elles, peuvent être testées et adaptées dans une configuration simulée live. Les salariés ont une grande confiance dans la protection publique : 72 pour-cent d'entre eux misent sur le fait que des lois contrôlent rigoureusement l'IA.
D'après environ 54 pour-cent des personnes interrogées, l'utilisation de machines qui, dotées d'une IA, sont capables de traiter des tâches de manière autonome, vont enrichir le poste de travail. Pour 66 pour-cent des salariés, « l'intelligence artificielle » est toutefois un concept trompeur car une machine ne peut pas apprendre intelligemment ou agir de façon autonome comme le fait un être humain.
« Les tout derniers développements dans le domaine de l'IA devraient avoir pour effet une assistance toujours meilleure des robots sur le poste de travail », déclare Junji Tsuda, président de la Fédération internationale de robotique. « À l'avenir, les machines ne feront pas qu'exécuter des ordres pour lesquels elles sont programmées. Elles seront également capables de comprendre les questions des collègues humains, d'y répondre et de réagir à leurs gestes. Dans une seconde étape il s'agira d'anticiper les étapes de travail d'un humain afin de reconnaître les obstacles au préalable et de les supprimer. »
Les innovations dans l'IA visant l'étroite interaction entre l'homme et la machine doivent satisfaire à de strictes exigences en matière de sécurité. C'est pourquoi leur lancement sur le marché requerra plus de temps qu'il n'en faut pour les applications logicielles dans le domaine de l'IA qui, elles, peuvent être testées et adaptées dans une configuration simulée live. Les salariés ont une grande confiance dans la protection publique : 72 pour-cent d'entre eux misent sur le fait que des lois contrôlent rigoureusement l'IA.
D'après environ 54 pour-cent des personnes interrogées, l'utilisation de machines qui, dotées d'une IA, sont capables de traiter des tâches de manière autonome, vont enrichir le poste de travail. Pour 66 pour-cent des salariés, « l'intelligence artificielle » est toutefois un concept trompeur car une machine ne peut pas apprendre intelligemment ou agir de façon autonome comme le fait un être humain.