Keyrus, spécialiste international du conseil et de l’intégration de Systèmes d’Information Décisionnels, annonce avoir accompagné la société IMERYS Terre Cuite dans la résolution des problèmes de disponibilité de son environnement décisionnel en déployant l’option de partitionnement Oracle au niveau de son infocentre.
En réduisant de 90% le temps de chargement du datawarehouse et des datamarts, cette option maximise le temps pour l’utilisation de la solution décisionnelle, avec pour premier bénéficiaire le département comptabilité-finance, mais aussi par extension, d’autres services d’IMERYS Terre Cuite : service clients, branches d’activité industrie, départements qualité, commerce et ressources humaines.
Grâce à ce choix, IMERYS Terre Cuite peut aujourd’hui continuer à étendre l’utilisation de son système décisionnel à un plus grand nombre de domaines et de collaborateurs et faire face à une forte montée en charge sans perte de performance, ni de disponibilité.
Une solution « victime » de son succès
C’est en 2001 que Keyrus démarre, pour le compte d’IMERYS Terre Cuite, un projet de mise en place d’un univers décisionnel dédié en premier lieu au contrôle de gestion et à la gestion financière de l’entreprise. S’appuyant sur une base de données Oracle, l’ETL Datastage (IBM) et les outils de restitution Business Objects, cette solution a pour premier objectif à l’époque d’accélérer les clôtures mensuelles et de faciliter le suivi et le pilotage financier du groupe.
« La solution ayant tenu ses promesses au niveau comptable et financier, nous en avons fait la promotion auprès des autres métiers », explique Sylvain Moreau, Directeur des Systèmes d’Information de l’entreprise. « Mais progressivement, du fait de la multiplication du nombre de clients et de la forte augmentation de la volumétrie, les temps de traitement sont devenus supérieurs au temps de disponibilité pour les utilisateurs. Ainsi, en période de clôture, les équipes financières avaient au mieux des fenêtres de 10 minutes pour travailler entre deux chargements ! Il était impossible de continuer ainsi. »
Comprendre et remédier au manque de performance
Début 2008, afin de résoudre ce problème, la Direction des Systèmes d’Information demande à Keyrus d’analyser la performance des temps de traitement et de proposer des pistes d’amélioration. « Il y avait des améliorations possibles au niveau de la programmation des traitements. Mais c’est vraiment l’alimentation de l’infocentre – de 2h à 2h30 deux fois par jour, et quatre à cinq fois par jour en fin de mois – qui pénalisait les utilisateurs », précise Romain Ferraton, expert Oracle chez Keyrus. « En permettant de découper les tables volumineuses et de paralléliser les tâches, le partitionnement de la base de données apportait une solution durable, mais en raison de l’investissement que représente l’installation de cette option, la DSI se devait de démontrer à la direction générale du groupe la pertinence du concept et son retour sur investissement. »
Une maquette démontrant la valeur du partitionnement
A cette fin, Keyrus crée sur le premier semestre 2008 une réplique de l’environnement de production sur un serveur plus puissant en conservant les traitements existants. Ce changement de serveur se traduit par un gain de 29% sur les temps de traitement, un progrès significatif mais encore insuffisant. On installe alors sur ce même serveur le partitionnement des tables avec une nouvelle mesure des temps théoriques, traitement par traitement, en mode séquentiel et en mode parallèle. « En parallélisant l’ensemble des traitements, les temps tombaient à 15 minutes au lieu de 2h00 en moyenne auparavant » souligne Sylvain Moreau. « Le temps gagné justifiait à lui seul l’investissement et la maquette réalisée par Keyrus avec des données et des volumétries réelles démontrait que l’acquisition des licences serait rentabilisée très rapidement après la mise en production. »
Un nouveau souffle pour le système décisionnel
Le gain de performance lié au déploiement de l’option de partitionnement est enfin confirmé par les tests réalisés en juin 2008 en mode opérationnel. On peut conclure alors que le déploiement de cette option a changé la vie des utilisateurs métiers, sans apporter de modification aux applications qu’ils avaient l’habitude d’utiliser. « Elle a aussi redonné du souffle à notre système décisionnel, sans nous obliger à investir dans des serveurs toujours plus puissants pour supporter l’augmentation de la charge », ajoute Sylvain Moreau.
Aujourd’hui, la DSI continue d’améliorer la performance globale du système en optimisant les traitements eux-mêmes. La refonte d’une dizaine d’entre eux vient de permettre de faire tomber le temps de chargement à 10 minutes en période de clôture. « Dans ce projet comme dans les précédents, Keyrus a su trouver les bonnes compétences pour nous accompagner. Le succès de ce déploiement doit beaucoup à l’expertise des consultants de Keyrus, à leur connaissance de notre environnement et de nos problématiques métiers, mais aussi et surtout au climat de confiance dans lequel nos équipes collaborent », conclut Sylvain Moreau.
En réduisant de 90% le temps de chargement du datawarehouse et des datamarts, cette option maximise le temps pour l’utilisation de la solution décisionnelle, avec pour premier bénéficiaire le département comptabilité-finance, mais aussi par extension, d’autres services d’IMERYS Terre Cuite : service clients, branches d’activité industrie, départements qualité, commerce et ressources humaines.
Grâce à ce choix, IMERYS Terre Cuite peut aujourd’hui continuer à étendre l’utilisation de son système décisionnel à un plus grand nombre de domaines et de collaborateurs et faire face à une forte montée en charge sans perte de performance, ni de disponibilité.
Une solution « victime » de son succès
C’est en 2001 que Keyrus démarre, pour le compte d’IMERYS Terre Cuite, un projet de mise en place d’un univers décisionnel dédié en premier lieu au contrôle de gestion et à la gestion financière de l’entreprise. S’appuyant sur une base de données Oracle, l’ETL Datastage (IBM) et les outils de restitution Business Objects, cette solution a pour premier objectif à l’époque d’accélérer les clôtures mensuelles et de faciliter le suivi et le pilotage financier du groupe.
« La solution ayant tenu ses promesses au niveau comptable et financier, nous en avons fait la promotion auprès des autres métiers », explique Sylvain Moreau, Directeur des Systèmes d’Information de l’entreprise. « Mais progressivement, du fait de la multiplication du nombre de clients et de la forte augmentation de la volumétrie, les temps de traitement sont devenus supérieurs au temps de disponibilité pour les utilisateurs. Ainsi, en période de clôture, les équipes financières avaient au mieux des fenêtres de 10 minutes pour travailler entre deux chargements ! Il était impossible de continuer ainsi. »
Comprendre et remédier au manque de performance
Début 2008, afin de résoudre ce problème, la Direction des Systèmes d’Information demande à Keyrus d’analyser la performance des temps de traitement et de proposer des pistes d’amélioration. « Il y avait des améliorations possibles au niveau de la programmation des traitements. Mais c’est vraiment l’alimentation de l’infocentre – de 2h à 2h30 deux fois par jour, et quatre à cinq fois par jour en fin de mois – qui pénalisait les utilisateurs », précise Romain Ferraton, expert Oracle chez Keyrus. « En permettant de découper les tables volumineuses et de paralléliser les tâches, le partitionnement de la base de données apportait une solution durable, mais en raison de l’investissement que représente l’installation de cette option, la DSI se devait de démontrer à la direction générale du groupe la pertinence du concept et son retour sur investissement. »
Une maquette démontrant la valeur du partitionnement
A cette fin, Keyrus crée sur le premier semestre 2008 une réplique de l’environnement de production sur un serveur plus puissant en conservant les traitements existants. Ce changement de serveur se traduit par un gain de 29% sur les temps de traitement, un progrès significatif mais encore insuffisant. On installe alors sur ce même serveur le partitionnement des tables avec une nouvelle mesure des temps théoriques, traitement par traitement, en mode séquentiel et en mode parallèle. « En parallélisant l’ensemble des traitements, les temps tombaient à 15 minutes au lieu de 2h00 en moyenne auparavant » souligne Sylvain Moreau. « Le temps gagné justifiait à lui seul l’investissement et la maquette réalisée par Keyrus avec des données et des volumétries réelles démontrait que l’acquisition des licences serait rentabilisée très rapidement après la mise en production. »
Un nouveau souffle pour le système décisionnel
Le gain de performance lié au déploiement de l’option de partitionnement est enfin confirmé par les tests réalisés en juin 2008 en mode opérationnel. On peut conclure alors que le déploiement de cette option a changé la vie des utilisateurs métiers, sans apporter de modification aux applications qu’ils avaient l’habitude d’utiliser. « Elle a aussi redonné du souffle à notre système décisionnel, sans nous obliger à investir dans des serveurs toujours plus puissants pour supporter l’augmentation de la charge », ajoute Sylvain Moreau.
Aujourd’hui, la DSI continue d’améliorer la performance globale du système en optimisant les traitements eux-mêmes. La refonte d’une dizaine d’entre eux vient de permettre de faire tomber le temps de chargement à 10 minutes en période de clôture. « Dans ce projet comme dans les précédents, Keyrus a su trouver les bonnes compétences pour nous accompagner. Le succès de ce déploiement doit beaucoup à l’expertise des consultants de Keyrus, à leur connaissance de notre environnement et de nos problématiques métiers, mais aussi et surtout au climat de confiance dans lequel nos équipes collaborent », conclut Sylvain Moreau.
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