Au début du XXIe siècle, les chercheurs ont cherché… et ils ont trouvé, plusieurs années après, comment augmenter notre capacité cérébrale. Un instant, Luc Durand a cru qu’on allait lui implanter un nouveau cerveau, ce qu’il aurait refusé bien sur ! Mais non, la solution est beaucoup plus évidente, fournir à notre capacité cérébrale un assistant. Depuis quelques années, nous sommes en effet capables de construire des machines plus performantes, sur certains points, que l’Homme. En matière de mémoire par exemple, et en matière de recherche et de combinaison d’informations. Plus performantes, mais surtout plus fiables et plus rapides lorsqu’il s’agit de rechercher, croiser, analyser de l’information.
Différents cabinets d’étude indiquaient en 2015 que nous n’utilisions en réalité que 10 % de notre capacité cérébrale. Et du côté de l’entreprise, ce n’étaient que 17 ou 27 % (en fonction des analystes) des données qui étaient utilisées pour prendre des décisions. Il fallait donc faire quelque chose !
Vers 2020, les astres se sont alignés, et les recherches en matière d’informatique cognitive ont quitté les laboratoires universitaires et les départements R&D des grands industriels de l’informatique pour se transformer en recherche appliquée.
Du point de vue matériel tout d’abord, il fallait reproduire un fonctionnement similaire au cerveau dans l’évolution du microprocesseur. En 2011, IBM annonçait avoir franchi un pas important en reproduisant le fonctionnement des neurones et de synapses dans une puce appelée “neurosynaptique”. Il a fallu changer notre perception de ce qu’est un “ordinateur”. Depuis l’arrivée des circuits imprimés, l’ordinateur était plat; et les microprocesseurs, même gravés sur plusieurs couches, l’étaient aussi. Maintenant l’ordinateur, comme notre cerveau, est un volume, en 3D. Il se mesure même en décilitres.
Mais cette évolution matérielle, qui a permis à Luc Durand de disposer de son assistant cognitif, n’aurait pas atteint ses objectifs, si elle ne s’était accompagnée d’une révolution logicielle. Et cette évolution majeure s’est appuyée sur de nouveaux algorithmes. Maintenant l’assistant cognitif est en mesure d’accéder et d’intégrer dans ses conseils, 100 % des données de l’entreprise. Nous avons alors développé de nouveaux outils pour en tirer profit.
C’est en associant des idées, des concepts, des informations non linéaires, que la connaissance se laisse découvrir. Cette méthode d’association des données a été combinée à de nouveaux algorithmes prédictifs, et les résultats sont pour Luc Durand étonnants :
La prévision se fait maintenant en manipulant des milliards de données, mais en quelques secondes, et la variation des hypothèses ne nécessite pas d’attendre ensuite des heures, mais quelques secondes, le temps que l’intelligence augmentée fasse son travail.
Mais surtout, Luc Durand et ses équipes sont guidées dans leurs choix. Cette intelligence augmentée permet d’étudier plus d’hypothèses, de le mesurer et de sélectionner ensuite les meilleures. Élasticité des prix, optimisation des campagnes, décisions d’investissement, Luc Durand confie tout cela à son assistant cognitif, qui lui fournit les éléments précis pour décider. Et bien sur, tout le mécanisme d’intelligence augmentée est documenté. Personne ne voulait d’une boite noire insondable. Mais l’assistant cognitif fournit à la fois la réponse, et le chemin qui l’y a conduit. Il permet à l’entreprise de prendre les bonnes décisions, en “remontant” si nécessaire les associations pour comprendre ce qui a conduit l’intelligence augmentée à recommander tel ou tel choix.
Luc Durand part donc travailler en ce matin de 2025, son assistant cognitif sous le bras. Bien sur, tout cela est également disponible “en cloud”, et il peut se connecter à chaque instant à son intelligence augmentée, mais l’humain n’a pas tant changé que cela. Ce qu’il a physiquement sous la main le rassure encore. Car la seule inquiétude de Luc Durand aujourd’hui, c’est que son intelligence augmentée soit moins performante que celle de ses concurrents ! Mais comme elle s’améliore d’elle-même chaque jour, en s’appuyant sur des algorithmes de Machine Learning, Luc Durand est assez confiant, il s’assure de la faire travailler tous les jours :-)
Différents cabinets d’étude indiquaient en 2015 que nous n’utilisions en réalité que 10 % de notre capacité cérébrale. Et du côté de l’entreprise, ce n’étaient que 17 ou 27 % (en fonction des analystes) des données qui étaient utilisées pour prendre des décisions. Il fallait donc faire quelque chose !
Vers 2020, les astres se sont alignés, et les recherches en matière d’informatique cognitive ont quitté les laboratoires universitaires et les départements R&D des grands industriels de l’informatique pour se transformer en recherche appliquée.
Du point de vue matériel tout d’abord, il fallait reproduire un fonctionnement similaire au cerveau dans l’évolution du microprocesseur. En 2011, IBM annonçait avoir franchi un pas important en reproduisant le fonctionnement des neurones et de synapses dans une puce appelée “neurosynaptique”. Il a fallu changer notre perception de ce qu’est un “ordinateur”. Depuis l’arrivée des circuits imprimés, l’ordinateur était plat; et les microprocesseurs, même gravés sur plusieurs couches, l’étaient aussi. Maintenant l’ordinateur, comme notre cerveau, est un volume, en 3D. Il se mesure même en décilitres.
Mais cette évolution matérielle, qui a permis à Luc Durand de disposer de son assistant cognitif, n’aurait pas atteint ses objectifs, si elle ne s’était accompagnée d’une révolution logicielle. Et cette évolution majeure s’est appuyée sur de nouveaux algorithmes. Maintenant l’assistant cognitif est en mesure d’accéder et d’intégrer dans ses conseils, 100 % des données de l’entreprise. Nous avons alors développé de nouveaux outils pour en tirer profit.
C’est en associant des idées, des concepts, des informations non linéaires, que la connaissance se laisse découvrir. Cette méthode d’association des données a été combinée à de nouveaux algorithmes prédictifs, et les résultats sont pour Luc Durand étonnants :
La prévision se fait maintenant en manipulant des milliards de données, mais en quelques secondes, et la variation des hypothèses ne nécessite pas d’attendre ensuite des heures, mais quelques secondes, le temps que l’intelligence augmentée fasse son travail.
Mais surtout, Luc Durand et ses équipes sont guidées dans leurs choix. Cette intelligence augmentée permet d’étudier plus d’hypothèses, de le mesurer et de sélectionner ensuite les meilleures. Élasticité des prix, optimisation des campagnes, décisions d’investissement, Luc Durand confie tout cela à son assistant cognitif, qui lui fournit les éléments précis pour décider. Et bien sur, tout le mécanisme d’intelligence augmentée est documenté. Personne ne voulait d’une boite noire insondable. Mais l’assistant cognitif fournit à la fois la réponse, et le chemin qui l’y a conduit. Il permet à l’entreprise de prendre les bonnes décisions, en “remontant” si nécessaire les associations pour comprendre ce qui a conduit l’intelligence augmentée à recommander tel ou tel choix.
Luc Durand part donc travailler en ce matin de 2025, son assistant cognitif sous le bras. Bien sur, tout cela est également disponible “en cloud”, et il peut se connecter à chaque instant à son intelligence augmentée, mais l’humain n’a pas tant changé que cela. Ce qu’il a physiquement sous la main le rassure encore. Car la seule inquiétude de Luc Durand aujourd’hui, c’est que son intelligence augmentée soit moins performante que celle de ses concurrents ! Mais comme elle s’améliore d’elle-même chaque jour, en s’appuyant sur des algorithmes de Machine Learning, Luc Durand est assez confiant, il s’assure de la faire travailler tous les jours :-)