Pour Didier Guyomarc’h, l’open source n’a pas encore pris place dans les systèmes d’information de gestion des entreprises : « ce type d'approche dans une très large majorité n'a, à ce jour, séduit que les utilisateurs d'applications en environnement non critique ».
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Pour Bertrand Diard bien évidemment, le futur est tout autre et il s’appuie sur une prédiction du Gartner : « 95% des plus grandes entreprises dans le monde auront une stratégie open source en 2008 ».
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Quelle conclusion tirer de ces deux tribunes ? Pas grand-chose, car chacun campe sur ses positions, en évitant l’affrontement. Le monde de l’informatique traditionnelle regarde de haut l’open source le cantonnant à quelques niches de développeurs chevelus. Le monde de l’open source professionnel veut éviter d’être à l’origine du conflit, persuadé qu’il a plus à y perdre qu’à y gagner, et préfère dresser un portrait gentillet d’un monde idéaliste où chacun a sa place et où il y a de la place pour chacun…
Je reste sceptique, car les budgets des entreprises ne sont pas extensibles et chaque choix d’un outil d’intégration est par définition le rejet des autres. Les éditeurs préfèrent laisser à leurs clients le choix des arguments, c'est finalement sain.
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Pour Bertrand Diard bien évidemment, le futur est tout autre et il s’appuie sur une prédiction du Gartner : « 95% des plus grandes entreprises dans le monde auront une stratégie open source en 2008 ».
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Quelle conclusion tirer de ces deux tribunes ? Pas grand-chose, car chacun campe sur ses positions, en évitant l’affrontement. Le monde de l’informatique traditionnelle regarde de haut l’open source le cantonnant à quelques niches de développeurs chevelus. Le monde de l’open source professionnel veut éviter d’être à l’origine du conflit, persuadé qu’il a plus à y perdre qu’à y gagner, et préfère dresser un portrait gentillet d’un monde idéaliste où chacun a sa place et où il y a de la place pour chacun…
Je reste sceptique, car les budgets des entreprises ne sont pas extensibles et chaque choix d’un outil d’intégration est par définition le rejet des autres. Les éditeurs préfèrent laisser à leurs clients le choix des arguments, c'est finalement sain.