IBM continue de faire son marché dans le décisionnel et rachète cette fois Netezza en mettant la main au portefeuille pour 1,7 milliards de dollars, en totalité en cash.
La vente de Netezza n’est pas une surprise. Le marché s’y attendait. En revanche l’acquéreur n’était pas forcément dans le haut de la liste des potentiels. En effet, nous prendrons un malin plaisir à rechercher l’ensemble des déclarations de IBM ces dernières années, indiquant avec forces détails pourquoi Netezza n’était en rien un concurrent sérieux, et en quoi les offres IBM étaient bien plus solides et complètes que celles de la « startup ». On se demande donc pourquoi IBM est allé dépenser 1,7 milliards de dollars pour si peu…
La complémentarité était plus logique avec un SAP par exemple, qui s’intéresse depuis peu à la dimension « matériel », ou pour un Oracle qui peine avec sa solution assemblée qui lui impose de pactiser parfois avec ses coopétiteurs. La reprise de Netezza aurait apporté à l’un comme à l’autre une indépendance. Mais à ce prix, elle était certainement trop couteuse.
La vente de Netezza n’est pas une surprise. Le marché s’y attendait. En revanche l’acquéreur n’était pas forcément dans le haut de la liste des potentiels. En effet, nous prendrons un malin plaisir à rechercher l’ensemble des déclarations de IBM ces dernières années, indiquant avec forces détails pourquoi Netezza n’était en rien un concurrent sérieux, et en quoi les offres IBM étaient bien plus solides et complètes que celles de la « startup ». On se demande donc pourquoi IBM est allé dépenser 1,7 milliards de dollars pour si peu…
La complémentarité était plus logique avec un SAP par exemple, qui s’intéresse depuis peu à la dimension « matériel », ou pour un Oracle qui peine avec sa solution assemblée qui lui impose de pactiser parfois avec ses coopétiteurs. La reprise de Netezza aurait apporté à l’un comme à l’autre une indépendance. Mais à ce prix, elle était certainement trop couteuse.