Hyperion et IBM devraient annoncer aujourd’hui la fin de la commercialisation de IBM DB2 OLAP Server, qui est en réalité la version IBM de Hyperion Essbase. A partir d’aujourd’hui, IBM ne commercialisera plus cette solution auprès de nouveaux clients. Et les clients existants devraient se voir proposer des solutions de migration vers les versions Hyperion de Essbase, pendant les prochaines années.
La rupture de cet accord OEM ouvre à IBM de nouvelles perspectives. Mettant en avant sa suite globale de gestion des données de l’entreprise, IBM pourrait être intéressé à re-développer son offre décisionnelle, soit en mettant à niveau des briques logicielles déjà dans le portefeuille de IBM (issues d’acquisitions comme Informix, RedBrick…), soit en développant de nouvelles fonctions autour de DB2, soit en acquérant un éditeur du marché.
IBM peut aussi considérer que le décisionnel ne figure pas parmi ses objectifs majeurs et laisser ce domaine à ses partenaires.
IBM et Hyperion annonceront d’ailleurs également la poursuite de leur partenariat technologique et commercial. Les deux éditeurs continueront de revendre les solutions de l’autre, de développer ensemble des outils verticaux pour le secteur banques/assurances, et de vérifier la compatibilité ascendante de leurs technologies. Parmi les principaux utilisateurs de Essbase « powered by IBM », on compte IBM pour ses propres besoins, mais également l’Etat de Californie, ou Bank of America.
La rupture de cet accord OEM ouvre à IBM de nouvelles perspectives. Mettant en avant sa suite globale de gestion des données de l’entreprise, IBM pourrait être intéressé à re-développer son offre décisionnelle, soit en mettant à niveau des briques logicielles déjà dans le portefeuille de IBM (issues d’acquisitions comme Informix, RedBrick…), soit en développant de nouvelles fonctions autour de DB2, soit en acquérant un éditeur du marché.
IBM peut aussi considérer que le décisionnel ne figure pas parmi ses objectifs majeurs et laisser ce domaine à ses partenaires.
IBM et Hyperion annonceront d’ailleurs également la poursuite de leur partenariat technologique et commercial. Les deux éditeurs continueront de revendre les solutions de l’autre, de développer ensemble des outils verticaux pour le secteur banques/assurances, et de vérifier la compatibilité ascendante de leurs technologies. Parmi les principaux utilisateurs de Essbase « powered by IBM », on compte IBM pour ses propres besoins, mais également l’Etat de Californie, ou Bank of America.