Un nouveau rapport de Gigaom Research suggère que l’exploitation des métadonnées entourant les actifs informationnels les plus précieux et les plus sensibles des entreprises peut permettre une compréhension plus approfondie de leur propriété intellectuelle. L’analyse des données non structurées d’origine humaine (dont les courriers électroniques, feuilles de calcul, présentations et autres documents de valeur) permet aux entreprises d’améliorer la collaboration entre employés. De plus, les professionnels de la sécurité peuvent mieux identifier et limiter les violations occasionnelles et délibérées des politiques en place.
Le rapport Applying Big Data Analytics to Human-Generated Data (Appliquer les analyses de Big Data aux données d’origine humaine) évalue les possibilités et les défis associés à l’analyse des données d’origine humaine, et en examine l’adoption anticipée dans les cas pratiques de la gestion des risques et de la gouvernance. Le rapport, co-rédigé par Varonis, décrit également l’incidence potentielle de ces analyses dans d’autres contextes d’utilisation et secteurs d’activité.
« La plupart des entreprises ne parviennent pas à gérer adéquatement la création, l’utilisation et la diffusion de ces actifs essentiels, indique le rapport. En conséquence, soit elles génèrent des frictions dans les processus de collaboration en raison de contrôles d’accès trop stricts ou risquent de graves pertes de données en partageant les données de manière trop permissive. »
L’auteur principal, Paul Miller, analyste et fondateur de Gigaom Research et de The Cloud of Data, souligne qu’une grande partie de l’intérêt actuel pour les Big Data est dirigé vers l’analyse des données structurées ou l’extraction d’informations à partir d’interactions de réseaux sociaux et de journaux systèmes non ou peu structurés. Il affirme qu’il est possible d’appliquer des techniques similaires à la valorisation des données d’origine humaine dans lesquelles les travailleurs du savoir des entreprises investissent la grande majorité de leur temps et de leurs efforts.
Les solutions disponibles sur le marché du Big Data, y compris celles de Varonis, fournissent des moyens de contrôler les données d’origine humaine dans les différents environnements informatiques d’une entreprise. Elles permettent de protéger les actifs clés et de garantir que les obligations réglementaires sont remplies de manière économique et en temps opportun.
Alors que la gouvernance des données, les audits et diverses exigences réglementaires constituent généralement les motifs initiaux du déploiement de ces technologies, d’autres opportunités se présentent lorsque les systèmes et les procédures ont été mis en place. Toutefois, le rapport constate que la plupart des entreprises ne parviennent pas à gérer adéquatement la création, l’utilisation et la diffusion des actifs clés, manquant ainsi des occasions d’extraire une valeur supplémentaire de ces données.
« Comme le rapport l’affirme à juste titre, il existe une énorme opportunité pour les entreprises d’améliorer la collaboration en interne et de mieux sécuriser leurs actifs les plus précieux en introduisant l’analyse des Big Data d’origine humaine dans leur pratique », déclare David Gibson, vice-président de Varonis. Outre la valeur dérivée de l’exploitation des métadonnées pour une meilleure compréhension des données, en investissant dans ces solutions, les entreprises peuvent également maximiser leur productivité informatique. »
Le rapport entier est disponible en téléchargement : http://info.varonis.com/applying-big-data-analytics-to-human-generated-data
Le rapport Applying Big Data Analytics to Human-Generated Data (Appliquer les analyses de Big Data aux données d’origine humaine) évalue les possibilités et les défis associés à l’analyse des données d’origine humaine, et en examine l’adoption anticipée dans les cas pratiques de la gestion des risques et de la gouvernance. Le rapport, co-rédigé par Varonis, décrit également l’incidence potentielle de ces analyses dans d’autres contextes d’utilisation et secteurs d’activité.
« La plupart des entreprises ne parviennent pas à gérer adéquatement la création, l’utilisation et la diffusion de ces actifs essentiels, indique le rapport. En conséquence, soit elles génèrent des frictions dans les processus de collaboration en raison de contrôles d’accès trop stricts ou risquent de graves pertes de données en partageant les données de manière trop permissive. »
L’auteur principal, Paul Miller, analyste et fondateur de Gigaom Research et de The Cloud of Data, souligne qu’une grande partie de l’intérêt actuel pour les Big Data est dirigé vers l’analyse des données structurées ou l’extraction d’informations à partir d’interactions de réseaux sociaux et de journaux systèmes non ou peu structurés. Il affirme qu’il est possible d’appliquer des techniques similaires à la valorisation des données d’origine humaine dans lesquelles les travailleurs du savoir des entreprises investissent la grande majorité de leur temps et de leurs efforts.
Les solutions disponibles sur le marché du Big Data, y compris celles de Varonis, fournissent des moyens de contrôler les données d’origine humaine dans les différents environnements informatiques d’une entreprise. Elles permettent de protéger les actifs clés et de garantir que les obligations réglementaires sont remplies de manière économique et en temps opportun.
Alors que la gouvernance des données, les audits et diverses exigences réglementaires constituent généralement les motifs initiaux du déploiement de ces technologies, d’autres opportunités se présentent lorsque les systèmes et les procédures ont été mis en place. Toutefois, le rapport constate que la plupart des entreprises ne parviennent pas à gérer adéquatement la création, l’utilisation et la diffusion des actifs clés, manquant ainsi des occasions d’extraire une valeur supplémentaire de ces données.
« Comme le rapport l’affirme à juste titre, il existe une énorme opportunité pour les entreprises d’améliorer la collaboration en interne et de mieux sécuriser leurs actifs les plus précieux en introduisant l’analyse des Big Data d’origine humaine dans leur pratique », déclare David Gibson, vice-président de Varonis. Outre la valeur dérivée de l’exploitation des métadonnées pour une meilleure compréhension des données, en investissant dans ces solutions, les entreprises peuvent également maximiser leur productivité informatique. »
Le rapport entier est disponible en téléchargement : http://info.varonis.com/applying-big-data-analytics-to-human-generated-data