Neo4j, leader des bases de données de graphes, revient sur l'utilisation de sa technologie par le Consortium International de Journalistes d'Investigation (ICIJ) qui a permis de mettre en lumière les FinCEN Files, le scandale qui éclabousse actuellement le secteur bancaire à l'échelle mondiale.
Dimanche 20 septembre, le Consortium International de Journalistes d'Investigation a dévoilé les résultats des FinCEN Files, une enquête menée par plus de 400 journalistes à travers le monde qui révèle le rôle des banques mondiales dans le blanchiment d'argent et la fraude fiscale à l'échelle industrielle.
En collaboration avec BuzzFeed News et 108 autres partenaires médias dans 88 pays, l'ICIJ a passé 16 mois à organiser et analyser les documents collectés.
Cette enquête a permis de révéler 2 000 milliards de dollars de fonds/transactions douteux, sur la période allant de 1999 à 2017 (18 ans). À titre de comparaison, à ce jour, les Panama Papers ont révélé 2 milliards de dollars d'évasion fiscale douteuse entre 1970 et 2016 (46 ans). L'ampleur de la fraude révélée par les FinCEN Files est donc 10 fois Iont nous voyons les résultats se développer dans l'actualité. L'ICIJ a utilisé la base de données de graphes Neo4j et l'outil de visualisation de son partenaire Linkurious, pour visualiser et explorer les 400 feuilles de calcul des FinCEN Files contenant des données sur 100 000 transactions. Ces outils faisaient partie des nombreux moyens permettant de reconstituer une image nuancée d'un système défaillant.
Avec Neo4j, l'ICIJ a pu construire un graphe de connaissances qui a rassemblé ces fichiers hétérogènes et disparates pour identifier les relations entre les données - en l'occurrence les sociétés écrans, les réseaux de blanchiment d'argent, les mandataires - au sein de ce système. Les bases de données de graphes sont un moyen unique de révéler et de permettre aux enquêteurs de suivre les mouvements d'argent des sociétés écrans contenus dans les données et d'identifier l'existence de fraude ou d'évasion fiscale.
Dimanche 20 septembre, le Consortium International de Journalistes d'Investigation a dévoilé les résultats des FinCEN Files, une enquête menée par plus de 400 journalistes à travers le monde qui révèle le rôle des banques mondiales dans le blanchiment d'argent et la fraude fiscale à l'échelle industrielle.
En collaboration avec BuzzFeed News et 108 autres partenaires médias dans 88 pays, l'ICIJ a passé 16 mois à organiser et analyser les documents collectés.
Cette enquête a permis de révéler 2 000 milliards de dollars de fonds/transactions douteux, sur la période allant de 1999 à 2017 (18 ans). À titre de comparaison, à ce jour, les Panama Papers ont révélé 2 milliards de dollars d'évasion fiscale douteuse entre 1970 et 2016 (46 ans). L'ampleur de la fraude révélée par les FinCEN Files est donc 10 fois Iont nous voyons les résultats se développer dans l'actualité. L'ICIJ a utilisé la base de données de graphes Neo4j et l'outil de visualisation de son partenaire Linkurious, pour visualiser et explorer les 400 feuilles de calcul des FinCEN Files contenant des données sur 100 000 transactions. Ces outils faisaient partie des nombreux moyens permettant de reconstituer une image nuancée d'un système défaillant.
Avec Neo4j, l'ICIJ a pu construire un graphe de connaissances qui a rassemblé ces fichiers hétérogènes et disparates pour identifier les relations entre les données - en l'occurrence les sociétés écrans, les réseaux de blanchiment d'argent, les mandataires - au sein de ce système. Les bases de données de graphes sont un moyen unique de révéler et de permettre aux enquêteurs de suivre les mouvements d'argent des sociétés écrans contenus dans les données et d'identifier l'existence de fraude ou d'évasion fiscale.
Autres articles
-
Neo4j dépasse les 200 millions de dollars de chiffre d’affaires et accélère son leadership dans le domaine de la GenAI grâce à sa technologie de graphes
-
Neo4j transforme son portefeuille de bases de données cloud pour accélérer l'adoption des graphes et de l’IA générative en entreprise
-
Podcast : La donnée sous tous les angles, avec Philippe Charpentier, CTO de NetApp France
-
Podcast : Données CSRD et ESG avec Nicolas Letavernier Workiva
-
Podcast : Ethique et responsabilité de l'IA, et si la clef venait des graphes de connaissance