Prelytis, éditeur de LiveDashboard, une solution de BI en mode hébergé, annonce plus de 100 000 utilisateurs quotidiens, chez 300 clients dont ADP, MAIF ou LaSer Cofinoga.
Le groupe Access est présent dans l'édition de logiciels de gestion pour le marché anglais des entreprises moyennes; il emploie environ 400 personnes. Access réalise 32 millions d'euros de chiffre d'affaires (en 2011) et son plan stratégique prévoit le doublement de ce chiffre, pour atteindre l'objectif de 50 Millions de £ en 2014. Pour y parvenir, Access a lancé un programme d'acquisition, financé en partie par un investissement de 50 millions de £ apporté en 2011 par Lyceum Capital, à l'occasion la reprise de l'entreprise par ses dirigeants.
Pour Prelytis, l'objectif est de s'ouvrir à de nouveaux marchés et de passer à la vitesse supérieure. "En joignant nos forces à celles de Access, nous permettons aux milliers de clients de Access Group d'avoir accès à notre plateforme décisionnelle LiveDashBoard. Access et Prelytis sont parfaitement complémentaires, à la fois du point de vue de l'innovation, de la technologie, mais aussi des équipes. De plus c'est un véritable rachat de technologie. Access a longuement regardé et validé notre technologie", explique Alexandre Schneider, CEO de Prelytis.
Pour Access, l'objectif de ce rachat est à plusieurs facettes. L'éditeur acquiert tout d'abord une solution décisionnelle graphique, mobile et moderne. Il va pouvoir offrir aux utilisateurs de ses nombreux logiciels de gestion (comptabilité, trésorerie, gestion des stocks…) un outil d'aide à la décision, sans passer par des solutions externes.
Il met également un pied dans le monde SaaS, puisque Prelytis a investi dans une plateforme hébergé en complément de ses solutions traditionnelles à installer localement.
Et cela fait partie des objectifs de Access à moyen terme, de faire glisser une partie de son chiffre d'affaires vers des solutions en mode hébergé. Sans doute la marque Prelytis sera-t-elle prochainement remplacée par "Access" comme ce fut l'habitude de l'éditeur lors de ses précédentes acquisitions.
Prelytis va d'ailleurs devenir la division Business Intelligence du groupe Access.
Sur ce point Alexandre Schneider tient à rassurer les clients français actuels de Prelytis. La division R&D devrait rester en France, à Bordeaux. Et le développement commercial doit se poursuivre. Tout comme le développement des différentes offres, installées en local ou en mode hébergé car Alexandre Schneider croit à la complémentarité des deux architectures.
Pour Access c'est aussi le premier pas vers l'internationalisation. Pas question pour l'instant de vendre en France les solutions de gestion très spécifiques au marché anglais, mais pour les dirigeants du groupe il est important de commencer à franchir le "channel" et à s'implanter sur le continent. Et cette implantation internationale débutera donc par la France.
N'oublions pas que pour les fondateurs de Prelytis, c'est aussi une belle porte de sortie (même si le montant de l'acquisition reste confidentiel). Prelytis avait réalisé en 2011 un chiffre d'affaires de 787 500 euros et dégagée un confortable résultat net de 103 900 euros.
Le groupe Access est présent dans l'édition de logiciels de gestion pour le marché anglais des entreprises moyennes; il emploie environ 400 personnes. Access réalise 32 millions d'euros de chiffre d'affaires (en 2011) et son plan stratégique prévoit le doublement de ce chiffre, pour atteindre l'objectif de 50 Millions de £ en 2014. Pour y parvenir, Access a lancé un programme d'acquisition, financé en partie par un investissement de 50 millions de £ apporté en 2011 par Lyceum Capital, à l'occasion la reprise de l'entreprise par ses dirigeants.
Pour Prelytis, l'objectif est de s'ouvrir à de nouveaux marchés et de passer à la vitesse supérieure. "En joignant nos forces à celles de Access, nous permettons aux milliers de clients de Access Group d'avoir accès à notre plateforme décisionnelle LiveDashBoard. Access et Prelytis sont parfaitement complémentaires, à la fois du point de vue de l'innovation, de la technologie, mais aussi des équipes. De plus c'est un véritable rachat de technologie. Access a longuement regardé et validé notre technologie", explique Alexandre Schneider, CEO de Prelytis.
Pour Access, l'objectif de ce rachat est à plusieurs facettes. L'éditeur acquiert tout d'abord une solution décisionnelle graphique, mobile et moderne. Il va pouvoir offrir aux utilisateurs de ses nombreux logiciels de gestion (comptabilité, trésorerie, gestion des stocks…) un outil d'aide à la décision, sans passer par des solutions externes.
Il met également un pied dans le monde SaaS, puisque Prelytis a investi dans une plateforme hébergé en complément de ses solutions traditionnelles à installer localement.
Et cela fait partie des objectifs de Access à moyen terme, de faire glisser une partie de son chiffre d'affaires vers des solutions en mode hébergé. Sans doute la marque Prelytis sera-t-elle prochainement remplacée par "Access" comme ce fut l'habitude de l'éditeur lors de ses précédentes acquisitions.
Prelytis va d'ailleurs devenir la division Business Intelligence du groupe Access.
Sur ce point Alexandre Schneider tient à rassurer les clients français actuels de Prelytis. La division R&D devrait rester en France, à Bordeaux. Et le développement commercial doit se poursuivre. Tout comme le développement des différentes offres, installées en local ou en mode hébergé car Alexandre Schneider croit à la complémentarité des deux architectures.
Pour Access c'est aussi le premier pas vers l'internationalisation. Pas question pour l'instant de vendre en France les solutions de gestion très spécifiques au marché anglais, mais pour les dirigeants du groupe il est important de commencer à franchir le "channel" et à s'implanter sur le continent. Et cette implantation internationale débutera donc par la France.
N'oublions pas que pour les fondateurs de Prelytis, c'est aussi une belle porte de sortie (même si le montant de l'acquisition reste confidentiel). Prelytis avait réalisé en 2011 un chiffre d'affaires de 787 500 euros et dégagée un confortable résultat net de 103 900 euros.