Photo Maxime Agnelli / Unsplash
D’ici à 2030, on estime que ces innovations génèreront un volume d’informations sans précédent, ce qui devrait profondément transformer et bouleverser les activités des constructeurs à la lumière des chiffres suivants :
250 millions de véhicules électriques et 90 millions de voitures connectées produites
2000 milliards d’euros de recettes de recettes générées par les services liés à la mobilité
50 % la part de l’électronique et des logiciels dans la valeur des véhicules
1 Zo de données générées par l’industrie automobile
Cependant, pour assurer leur croissance dans cette nouvelle réalité, les entreprises doivent être capables d’exploiter et de monétiser efficacement cette avalanche de données, comme le montre le rapport de Frost et Sullivan commandé par Dell Technologies. Au sein d’une économie numérique où l’information est aussi précieuse que le pétrole, les acteurs du secteur ne peuvent plus se permettre d’ignorer la monétisation. Et pourtant, ils tendent à lui tourner le dos.
L’extrême prudence des acteurs de la mobilité à l’égard de la monétisation
Les principaux dirigeants de la mobilité sont certes conscients de cette nécessité : ils ont une vision claire de leur avenir et se montrent relativement confiants, malgré les nombreux défis auxquels ils sont confrontés. Ils sont également ouverts à l’adoption de nouvelles technologies visant à améliorer l’expérience client et les modèles économiques, ainsi qu’à développer de nouveaux produits ou services.
Pourtant, malgré cet optimisme, certains s’inquiètent de leur capacité à monétiser efficacement les volumes de données considérables attendus au cours des prochaines années. Selon cette enquête, les leaders de la mobilité (constructeurs automobiles, fournisseurs de services digitaux et fournisseurs de premier niveau) se montrent extrêmement prudents dans leurs initiatives visant à tirer parti des opportunités futures.
Un tel constat n’est pas surprenant, puisque que les modèles économiques de création de valeur basés sur les données nécessiteront des quantités considérables d’informations pour optimiser les activités d’ingénierie, de conception et de marketing. Mais à l’heure où le secteur monétise seulement 300 Mo de données automobiles, cette transformation requiert ainsi un changement complet de perspective.
Plaidoyer pour une approche centrée sur l’exploitation des données
Selon Frost & Sullivan, les entreprises qui souhaitent donner vie à cet écosystème digital, connecté et autonome doivent s’appuyer sur des plateformes logicielles. En s’inspirant d’acteurs technophiles, les constructeurs devront s’appuyer sur des infrastructures qui leur permettront de proposer du choix et d’évoluer au fil des changements, tout en garantissant la résilience de leur environnement IT et en limitant l’augmentation des coûts au fil de leur évolution. Pour y parvenir, ils pourront mettre en place une stratégie multi-Cloud, afin de déployer diverses solutions Cloud en fonction de leur charge de travail, uniquement lorsqu’ils en ont besoin.
En dépit de leurs craintes vis-à-vis de ces obstacles, de nombreux constructeurs sont idéalement positionnés pour tirer parti de ces données collectées. Leur enthousiasme et leur connaissance des défis de demain leur seront d’une grande aide. Réussir à l’ère du digital nécessite néanmoins de se positionner en tant que pionnier. Il faut adopter des technologies évolutives à l’infini, basées sur l’IA pour les développeurs, mais surtout s’assurer qu’elles sont compatibles avec les nouveaux modèles de monétisation à grande échelle.
Le rapport met également l’accent sur l’importance des partenariats entre les constructeurs et les spécialistes des données dans le cadre de l’exploitation de ces volumes d’information sans précédent. En ce sens, Dell Technologies propose une expertise inégalée à l’échelle d’un portefeuille de solutions intégré de bout en bout, avec par exemple Dell EMC, VMware et Pivotal. Ceci permet d’offrir une plateforme d’entreprise qui aide les acteurs du secteur automobile à relever leurs défis numériques, tout en assurant la gestion intelligente des données requises pour exploiter les parcs de véhicules connectés et autonomes, ainsi que les services.
La collecte, l’analyse et le stockage des données : pour quoi faire ?
Les leaders de la mobilité sont pleinement conscients que les fondamentaux de leur secteur évoluent. En effet, la convergence des systèmes autonomes, connectés et électriques, ainsi que les technologies de mobilité partagée modifient radicalement la façon dont les personnes et les biens se déplacent. Or, les données sont au centre de ce changement de paradigme ; c’est pourquoi la collecte, le traitement, l'analyse et le stockage de précieux actifs de données relèvent de nouveaux processus désormais incontournables pour l’industrie automobile, puisqu’ils permettront entre autres les avancées suivantes :
La rationalisation des processus de conception et de développement des produits, l’accélération des délais de commercialisation et la réduction des coûts
La commercialisation de véhicules autonomes interagissant en toute sécurité avec leur environnement (en ville et sur les autoroutes)
L’identification et la correction automatique de problèmes mécaniques ou électriques des véhicules
L’optimisation des services de covoiturage et de messagerie électronique, réduisant les coûts de transport personnel
Le développement d’une multitude de nouveaux services et capacités client
L’augmentation des revenus, basée sur la capacité de monétiser les bonnes données pour un écosystème de confiance avec des partenaires à la fois publics et privés
La mobilité connectée atteint donc un point d'inflexion : un avenir axé sur les données nécessite une approche de plate-forme. Sans cette mutation radicale, au cours des prochaines années, l’ensemble de l'écosystème automobile ne pourra pas survivre au passage de la mobilité industrielle à la mobilité connectée.
Les acteurs qui parviendront à cette transformation structurelle seront non seulement capables de concevoir de nouveaux véhicules, mais également de nouveaux services pour leurs clients. Grace à une vision de long terme et une feuille de route claire, ils bénéficieront en outre d’un ensemble d'experts et partenaires technologiques dédiés qui les aideront à créer une plate-forme « data-centered », gérant la complexité et l’immensité des données nécessaires au fonctionnement des flottes de véhicules et autres services autonomes.
250 millions de véhicules électriques et 90 millions de voitures connectées produites
2000 milliards d’euros de recettes de recettes générées par les services liés à la mobilité
50 % la part de l’électronique et des logiciels dans la valeur des véhicules
1 Zo de données générées par l’industrie automobile
Cependant, pour assurer leur croissance dans cette nouvelle réalité, les entreprises doivent être capables d’exploiter et de monétiser efficacement cette avalanche de données, comme le montre le rapport de Frost et Sullivan commandé par Dell Technologies. Au sein d’une économie numérique où l’information est aussi précieuse que le pétrole, les acteurs du secteur ne peuvent plus se permettre d’ignorer la monétisation. Et pourtant, ils tendent à lui tourner le dos.
L’extrême prudence des acteurs de la mobilité à l’égard de la monétisation
Les principaux dirigeants de la mobilité sont certes conscients de cette nécessité : ils ont une vision claire de leur avenir et se montrent relativement confiants, malgré les nombreux défis auxquels ils sont confrontés. Ils sont également ouverts à l’adoption de nouvelles technologies visant à améliorer l’expérience client et les modèles économiques, ainsi qu’à développer de nouveaux produits ou services.
Pourtant, malgré cet optimisme, certains s’inquiètent de leur capacité à monétiser efficacement les volumes de données considérables attendus au cours des prochaines années. Selon cette enquête, les leaders de la mobilité (constructeurs automobiles, fournisseurs de services digitaux et fournisseurs de premier niveau) se montrent extrêmement prudents dans leurs initiatives visant à tirer parti des opportunités futures.
Un tel constat n’est pas surprenant, puisque que les modèles économiques de création de valeur basés sur les données nécessiteront des quantités considérables d’informations pour optimiser les activités d’ingénierie, de conception et de marketing. Mais à l’heure où le secteur monétise seulement 300 Mo de données automobiles, cette transformation requiert ainsi un changement complet de perspective.
Plaidoyer pour une approche centrée sur l’exploitation des données
Selon Frost & Sullivan, les entreprises qui souhaitent donner vie à cet écosystème digital, connecté et autonome doivent s’appuyer sur des plateformes logicielles. En s’inspirant d’acteurs technophiles, les constructeurs devront s’appuyer sur des infrastructures qui leur permettront de proposer du choix et d’évoluer au fil des changements, tout en garantissant la résilience de leur environnement IT et en limitant l’augmentation des coûts au fil de leur évolution. Pour y parvenir, ils pourront mettre en place une stratégie multi-Cloud, afin de déployer diverses solutions Cloud en fonction de leur charge de travail, uniquement lorsqu’ils en ont besoin.
En dépit de leurs craintes vis-à-vis de ces obstacles, de nombreux constructeurs sont idéalement positionnés pour tirer parti de ces données collectées. Leur enthousiasme et leur connaissance des défis de demain leur seront d’une grande aide. Réussir à l’ère du digital nécessite néanmoins de se positionner en tant que pionnier. Il faut adopter des technologies évolutives à l’infini, basées sur l’IA pour les développeurs, mais surtout s’assurer qu’elles sont compatibles avec les nouveaux modèles de monétisation à grande échelle.
Le rapport met également l’accent sur l’importance des partenariats entre les constructeurs et les spécialistes des données dans le cadre de l’exploitation de ces volumes d’information sans précédent. En ce sens, Dell Technologies propose une expertise inégalée à l’échelle d’un portefeuille de solutions intégré de bout en bout, avec par exemple Dell EMC, VMware et Pivotal. Ceci permet d’offrir une plateforme d’entreprise qui aide les acteurs du secteur automobile à relever leurs défis numériques, tout en assurant la gestion intelligente des données requises pour exploiter les parcs de véhicules connectés et autonomes, ainsi que les services.
La collecte, l’analyse et le stockage des données : pour quoi faire ?
Les leaders de la mobilité sont pleinement conscients que les fondamentaux de leur secteur évoluent. En effet, la convergence des systèmes autonomes, connectés et électriques, ainsi que les technologies de mobilité partagée modifient radicalement la façon dont les personnes et les biens se déplacent. Or, les données sont au centre de ce changement de paradigme ; c’est pourquoi la collecte, le traitement, l'analyse et le stockage de précieux actifs de données relèvent de nouveaux processus désormais incontournables pour l’industrie automobile, puisqu’ils permettront entre autres les avancées suivantes :
La rationalisation des processus de conception et de développement des produits, l’accélération des délais de commercialisation et la réduction des coûts
La commercialisation de véhicules autonomes interagissant en toute sécurité avec leur environnement (en ville et sur les autoroutes)
L’identification et la correction automatique de problèmes mécaniques ou électriques des véhicules
L’optimisation des services de covoiturage et de messagerie électronique, réduisant les coûts de transport personnel
Le développement d’une multitude de nouveaux services et capacités client
L’augmentation des revenus, basée sur la capacité de monétiser les bonnes données pour un écosystème de confiance avec des partenaires à la fois publics et privés
La mobilité connectée atteint donc un point d'inflexion : un avenir axé sur les données nécessite une approche de plate-forme. Sans cette mutation radicale, au cours des prochaines années, l’ensemble de l'écosystème automobile ne pourra pas survivre au passage de la mobilité industrielle à la mobilité connectée.
Les acteurs qui parviendront à cette transformation structurelle seront non seulement capables de concevoir de nouveaux véhicules, mais également de nouveaux services pour leurs clients. Grace à une vision de long terme et une feuille de route claire, ils bénéficieront en outre d’un ensemble d'experts et partenaires technologiques dédiés qui les aideront à créer une plate-forme « data-centered », gérant la complexité et l’immensité des données nécessaires au fonctionnement des flottes de véhicules et autres services autonomes.