Qu’est ce qu’une organisation data-driven ?
C’est une organisation qui place les données au coeur du processus décisionnel, elle les rend visibles et accessibles par tous ses collaborateurs et utilise les nouvelles technologies pour les communiquer de façon simple. Amorcer cette transition c’est inscrire son entreprise dans l’ère de la Data, ce qui demande des efforts conséquents notamment dans l’utilisation des outils numériques. Il s’agit par exemple d’oser manipuler les chiffres lors de réunions importantes, y compris lorsqu’elles doivent être courtes. Ceux qui franchissent le pas constatent les effets à court et moyen terme et ne reviennent jamais en arrière.
Cinq mots d’ordre pour les entreprises qui ont adopté la culture de la donnée :
Accessibilité : Dans les organisations classiques, les personnes qui ont accès à des données précieuses sont réticentes à l’idée de partager le pouvoir. A l’inverse, les entreprises qui ont la culture de la donnée mettent l’accent sur la collaboration entre les services en décloisonnant l’information et en la libérant des silos qui empêchent les équipes de disposer des données dont elles ont besoin.
Pertinence : Les bonnes questions sont posées, les débats sont constructifs et les hypothèses et suppositions sont facilement vérifiées par les faits mais pour en arriver là, tout un travail doit être réalisé sur la définition d’indicateurs pertinents et d’outils adaptés aux besoins du métier. On ne se noie pas dans les chiffres: le travail de sélection des indicateurs que l’on considère est essentiel.
Précision : Le décideur n’hésite plus devant une baisse de performance ou un résultat éclatant, il sait trouver la raison de son observation dans ses données puis agit à la source pour y remédier ou l’amplifier.
Souplesse : La mise à jour et l’accès en temps réel aux variations de ses indicateurs de performance permet de réagir instantanément aux éventuels changements. Les équipes doivent donc faire preuve d’agilité pour tirer le maximum des données à leur disposition.
Efficacité : Les collaborateurs ont a leur disposition des interfaces qui collent à leurs désirs et à leur niveau de formation.
Mais n’oubliez pas l’intuition
Les entreprises ont parmi leurs équipes des éléments clés au flair infaillible. Ces personnes sont précieuses, elles ont une vision d’ensemble des enjeux du métier, ce qui permet de situer les données dans un contexte pour les interpréter et les interroger intelligemment.
Les entreprises les plus prospères ont compris l’importance de compléter l’intuition de leurs éléments clés par des outils data qui permettent de communiquer cette intuition à une population plus large et moins expérimentée. L’intuition et l’expérience sont essentielles à la transition vers la culture de la donnée car elles permettent de dégager des règles métier essentielles. Ces règles sont réinjectées dans les outils logiciels où elles sont indispensables pour que le résultat soit efficace.
Pour quels résultats?
Encourager ses équipes à avoir une approche centrée sur la donnée permet d’être plus performant.
Mais pour bénéficier pleinement de tous les avantages d’intégrer la data dans ses processus décisionnels, il faut éviter de noyer ses équipes sous des montagnes de données inutiles qui pourraient les paralyser. Une des solutions pour éviter de tomber dans ces travers est de mettre en place des outils de visualisation de données adaptés au métier. Ces outils ont l’avantage d’être accessibles aux populations les moins technophiles et de présenter l’essentiel en un clin d’oeil.
C’est une organisation qui place les données au coeur du processus décisionnel, elle les rend visibles et accessibles par tous ses collaborateurs et utilise les nouvelles technologies pour les communiquer de façon simple. Amorcer cette transition c’est inscrire son entreprise dans l’ère de la Data, ce qui demande des efforts conséquents notamment dans l’utilisation des outils numériques. Il s’agit par exemple d’oser manipuler les chiffres lors de réunions importantes, y compris lorsqu’elles doivent être courtes. Ceux qui franchissent le pas constatent les effets à court et moyen terme et ne reviennent jamais en arrière.
Cinq mots d’ordre pour les entreprises qui ont adopté la culture de la donnée :
Accessibilité : Dans les organisations classiques, les personnes qui ont accès à des données précieuses sont réticentes à l’idée de partager le pouvoir. A l’inverse, les entreprises qui ont la culture de la donnée mettent l’accent sur la collaboration entre les services en décloisonnant l’information et en la libérant des silos qui empêchent les équipes de disposer des données dont elles ont besoin.
Pertinence : Les bonnes questions sont posées, les débats sont constructifs et les hypothèses et suppositions sont facilement vérifiées par les faits mais pour en arriver là, tout un travail doit être réalisé sur la définition d’indicateurs pertinents et d’outils adaptés aux besoins du métier. On ne se noie pas dans les chiffres: le travail de sélection des indicateurs que l’on considère est essentiel.
Précision : Le décideur n’hésite plus devant une baisse de performance ou un résultat éclatant, il sait trouver la raison de son observation dans ses données puis agit à la source pour y remédier ou l’amplifier.
Souplesse : La mise à jour et l’accès en temps réel aux variations de ses indicateurs de performance permet de réagir instantanément aux éventuels changements. Les équipes doivent donc faire preuve d’agilité pour tirer le maximum des données à leur disposition.
Efficacité : Les collaborateurs ont a leur disposition des interfaces qui collent à leurs désirs et à leur niveau de formation.
Mais n’oubliez pas l’intuition
Les entreprises ont parmi leurs équipes des éléments clés au flair infaillible. Ces personnes sont précieuses, elles ont une vision d’ensemble des enjeux du métier, ce qui permet de situer les données dans un contexte pour les interpréter et les interroger intelligemment.
Les entreprises les plus prospères ont compris l’importance de compléter l’intuition de leurs éléments clés par des outils data qui permettent de communiquer cette intuition à une population plus large et moins expérimentée. L’intuition et l’expérience sont essentielles à la transition vers la culture de la donnée car elles permettent de dégager des règles métier essentielles. Ces règles sont réinjectées dans les outils logiciels où elles sont indispensables pour que le résultat soit efficace.
Pour quels résultats?
Encourager ses équipes à avoir une approche centrée sur la donnée permet d’être plus performant.
Mais pour bénéficier pleinement de tous les avantages d’intégrer la data dans ses processus décisionnels, il faut éviter de noyer ses équipes sous des montagnes de données inutiles qui pourraient les paralyser. Une des solutions pour éviter de tomber dans ces travers est de mettre en place des outils de visualisation de données adaptés au métier. Ces outils ont l’avantage d’être accessibles aux populations les moins technophiles et de présenter l’essentiel en un clin d’oeil.