Cette enquête, réalisée au 1er semestre 2020 auprès des organismes du secteur de l’assurance et de la banque, permet d’évaluer leur niveau d’avancement dans la mise en place de leurs processus de gouvernance et de qualité des données et leurs réflexions sur une convergence globale des dispositifs en matière de gestion de la donnée.
Les chiffres clés :
Si aujourd’hui plus de 85 % des assureurs estiment leur organisation mature au regard des exigences Solvabilité 2, ce sondage met en évidence des progrès encore nécessaires.
La majorité des interrogés assurent que leurs collaborateurs sont correctement sensibilisés sur le sujet de la gouvernance et de la qualité des données, notamment concernant les exigences « Solvabilité II » (environ 80 % des répondants).
Plus de 80 % d’entre eux estiment leur dictionnaire de données peu, voir moyennement efficace.
70 % des répondants utilisent toujours des outils bureautiques pour animer leurs dispositifs.
La tendance est actuellement à la nomination d’un responsable dédié et à l’établissement d’une fonction à part entière. Lorsque ce n’est pas le cas, 25 % déclarent que le sujet est souvent transféré vers des fonctions métiers ou supports.
Pour 30 % des répondants, l’un des facteurs qui pousse les organisations à investir dans la mise en place d’un dispositif de gouvernance et de qualité des données est la diminution des coûts de remédiation.
Si 25 % des répondants n’envisagent pas de chantier de convergence des dispositifs de qualité des données et de protection des données, plus de 37 % d’entre eux ont prévus de lancer ce chantier dans les 2 ans qui viennent.
Les chiffres clés :
Si aujourd’hui plus de 85 % des assureurs estiment leur organisation mature au regard des exigences Solvabilité 2, ce sondage met en évidence des progrès encore nécessaires.
La majorité des interrogés assurent que leurs collaborateurs sont correctement sensibilisés sur le sujet de la gouvernance et de la qualité des données, notamment concernant les exigences « Solvabilité II » (environ 80 % des répondants).
Plus de 80 % d’entre eux estiment leur dictionnaire de données peu, voir moyennement efficace.
70 % des répondants utilisent toujours des outils bureautiques pour animer leurs dispositifs.
La tendance est actuellement à la nomination d’un responsable dédié et à l’établissement d’une fonction à part entière. Lorsque ce n’est pas le cas, 25 % déclarent que le sujet est souvent transféré vers des fonctions métiers ou supports.
Pour 30 % des répondants, l’un des facteurs qui pousse les organisations à investir dans la mise en place d’un dispositif de gouvernance et de qualité des données est la diminution des coûts de remédiation.
Si 25 % des répondants n’envisagent pas de chantier de convergence des dispositifs de qualité des données et de protection des données, plus de 37 % d’entre eux ont prévus de lancer ce chantier dans les 2 ans qui viennent.