Cubus est une société allemande, créée en 1993, qui a pendant plusieurs années proposé ses services aux dirigeants financiers de son pays. N’ayant pas trouvé sur le marché les progiciels qui lui semblaient correspondre aux attentes de ses clients, elle a finalement choisi de développer sa propre solution de planification et de contrôle budgétaire. Uniquement présent en Allemagne jusqu’en 2004, Cubus a choisi d’étendre sa présence européenne en passant par le recrutement de distributeurs à valeur ajoutée. « Nous considérons que Core Consulting est le partenaire idéal pour notre société en France », explique Harald Matzke, directeur de Cubus. En effet, Cubus ne souhaite pas devenir un éditeur pur, mais conserver chez ses distributeurs une compétence métier basée sur de la prestation de services à valeur ajoutée.
La solution Cubus ne prétend pas avoir recréé le système idéal, mais au contraire s’appuie sur des briques logicielles du marché qu’elle complète. Ainsi la base de données peut être Hyperion Essbase ou Microsoft SQL Server. Mais on imagine que les relations avec Hyperion ne sont pas au beau fixe, étant donné que la solution Cubus est en concurrence directe avec les applications métiers de Hyperion.
« Les applications standards proposées par Hyperion étaient trop fermées. Le client a besoin de flexibilité dans ses projets », explique Harald Matzke. « Après plusieurs années de développement du décisionnel, les projets arrivent dans une phase de renouvellement ». Ainsi Alcatel Space aurait mis en concurrence les principales solutions du marché pour remplacer une application décisionnelle basée sur des développements Excel. Face à Hyperion et à d’autres éditeurs, seul Cubus aurait été jusqu’au bout de la maquette proposée par le client. Parmi les atouts de Cubus, sa capacité à stocker des données à chaque niveau d’agrégation de la base, pas simplement au niveau le plus détaillé. Cela correspond à la réalité de l’organisation des entreprises où le niveau de détail le plus fin n’est pas disponible partout. Par ailleurs Cubus permet l’écriture des données à chaque niveau du cube, ce qui reste compliqué avec la plupart des solutions décisionnelles, qui passent par des artifices pour y parvenir.
Le positionnement de Cubus conduit une fois de plus à se poser la question du progiciel versus le développement sur mesure, dans le domaine des applications décisionnelles. Les éditeurs de solutions applicatives considèrent que la majorité des projets ont en réalité un cahier des charges identique. Pour Cubus, la majorité des projets est atypique. « Notre solution globale, basée sur la fourniture d’un produit et des services associés est la solution idéale pour les projets atypiques », explique Yves Perrot, directeur de Core Consulting, partenaire de Cubus en France. Core Consulting est le premier distributeur de Cubus en France, mais Yves Perrot envisage rapidement l’extension du réseau en recrutant à son tour de nouveaux distributeurs. L’éditeur et son distributeur se donne entre douze et dix-huit mois pour atteindre les premiers résultats tangibles et signer plusieurs affaires importantes.
Dans un futur proche, Cubus envisage le développement de nouvelles solutions s’appuyant sur les mêmes technologies. L’éditeur va innover en combinant la gestion de projets stratégiques et le suivi opérationnel. Une forme de décisionnel appliqué à la gestion de projets que Cubus appelerait le PPM (Project Performance Management). Les sources de données seraient les outils de gestion de projets comme Microsoft Project.
La solution Cubus ne prétend pas avoir recréé le système idéal, mais au contraire s’appuie sur des briques logicielles du marché qu’elle complète. Ainsi la base de données peut être Hyperion Essbase ou Microsoft SQL Server. Mais on imagine que les relations avec Hyperion ne sont pas au beau fixe, étant donné que la solution Cubus est en concurrence directe avec les applications métiers de Hyperion.
« Les applications standards proposées par Hyperion étaient trop fermées. Le client a besoin de flexibilité dans ses projets », explique Harald Matzke. « Après plusieurs années de développement du décisionnel, les projets arrivent dans une phase de renouvellement ». Ainsi Alcatel Space aurait mis en concurrence les principales solutions du marché pour remplacer une application décisionnelle basée sur des développements Excel. Face à Hyperion et à d’autres éditeurs, seul Cubus aurait été jusqu’au bout de la maquette proposée par le client. Parmi les atouts de Cubus, sa capacité à stocker des données à chaque niveau d’agrégation de la base, pas simplement au niveau le plus détaillé. Cela correspond à la réalité de l’organisation des entreprises où le niveau de détail le plus fin n’est pas disponible partout. Par ailleurs Cubus permet l’écriture des données à chaque niveau du cube, ce qui reste compliqué avec la plupart des solutions décisionnelles, qui passent par des artifices pour y parvenir.
Le positionnement de Cubus conduit une fois de plus à se poser la question du progiciel versus le développement sur mesure, dans le domaine des applications décisionnelles. Les éditeurs de solutions applicatives considèrent que la majorité des projets ont en réalité un cahier des charges identique. Pour Cubus, la majorité des projets est atypique. « Notre solution globale, basée sur la fourniture d’un produit et des services associés est la solution idéale pour les projets atypiques », explique Yves Perrot, directeur de Core Consulting, partenaire de Cubus en France. Core Consulting est le premier distributeur de Cubus en France, mais Yves Perrot envisage rapidement l’extension du réseau en recrutant à son tour de nouveaux distributeurs. L’éditeur et son distributeur se donne entre douze et dix-huit mois pour atteindre les premiers résultats tangibles et signer plusieurs affaires importantes.
Dans un futur proche, Cubus envisage le développement de nouvelles solutions s’appuyant sur les mêmes technologies. L’éditeur va innover en combinant la gestion de projets stratégiques et le suivi opérationnel. Une forme de décisionnel appliqué à la gestion de projets que Cubus appelerait le PPM (Project Performance Management). Les sources de données seraient les outils de gestion de projets comme Microsoft Project.