Elias Biam, Directeur Europe du Sud, FalconStor
La protection de données traditionnelle est trop complexe
La sauvegarde traditionnelle peut coûter beaucoup d'argent aux organisations. Elle doit être prise en charge et nécessite un travail d'administration considérable. Il peut être courant pour les entreprises de déployer une gamme de solutions de protection de données pour les systèmes SAN/NAS, des outils de sauvegarde pour les serveurs physiques, pour la virtualisation, pour le cloud... etc. Cela crée un environnement complexe et onéreux à partir de solutions ponctuelles, avec de nombreux logiciels de sauvegarde et d'instantanés. La gestion de cet ensemble peut se révéler être un casse-tête administratif, et leur audit peut être coûteux.
Les entreprises ont du mal à comprendre les différents outils existants servant à récupérer leurs fichiers, leurs disques, leurs systèmes ou l'ensemble du site, chacun possédant sa propre interface de gestion et sa propre licence. Il est également très difficile d'arriver à la souplesse nécessaire aux entreprises en matière de protection des données, permettant de les stocker sur un serveur physique, sur un hôte virtuel ou dans le cloud. Les solutions de protection des données traditionnelles ont souvent une capacité limitée à les protéger, quelle que soit la plateforme sur laquelle elles sont exécutées.
La réponse pourrait être définie par logiciel
Alors comment les entreprises peuvent-elles décloisonner leur protection de données et introduire des fonctionnalités communes à l'ensemble de leur infrastructure ? Est-il possible de mettre en œuvre une seule et même plateforme capable de protéger l'ensemble de l'infrastructure, physique et virtuelle ? C'est là que le stockage défini par logiciel (SDS) peut faire toute la différence, en transformant le stockage en une couche homogène, abstraite et virtuelle.
Le SDS peut gérer tous les aspects du stockage grâce à une seule interface, et peut éliminer le besoin de solutions distinctes pour la protection des données, leur sauvegarde, leur réplication ou la récupération après sinistre. Les entreprises peuvent bénéficier de la centralisation de la surveillance proactive, de l'analyse et de la configuration sur des infrastructures de stockage hétérogènes, pour empêcher les problèmes. En créant une plateforme de stockage unique, le SDS peut réellement être utilisé également en tant que plateforme unique de protection des données. En réduisant l'infrastructure de la protection des données à une seule solution (pour tous les sites et toutes les plateformes), les entreprises sont en mesure de réduire les coûts et la complexité.
Le SDS permet aux entreprises de protéger leurs données à l'aide de politiques sur mesure, quel que soit l'emplacement de stockage des données : sur site, hors site ou dans le cloud. La méthodologie et l'abstraction communes que fournit le SDS permettent aux entreprises de migrer, protéger et récupérer leurs données là où elles en ont besoin. Cette technologie est par ailleurs beaucoup plus accessible, ce qui permet aux administrateurs de vérifier l'infrastructure de protection des données ou d'effectuer une récupération de données depuis différentes sources, comme un navigateur Internet, un smartphone ou une tablette.
Le test et la validation des mécanismes de protection des données, un domaine pour lequel de nombreux services informatiques manquent de temps, d'argent et de personnel, peuvent être automatisés sur une plateforme SDS, grâce aux tests de récupération planifiés.
Les avantages du SDS
L'adoption d'une approche SDS offre de nombreux avantages. Elle simplifie radicalement l'infrastructure de protection des données, ce qui permet de confirmer bien plus facilement leur protection, de dépanner l'infrastructure de sauvegarde en cas de problème et de récupérer les données, si nécessaire. Le SDS simplifie l'infrastructure de protection des données en éliminant le besoin de multiplier les solutions ; et en automatisant la récupération des données, il permet aux entreprises de réduire considérablement les coûts.
La reprise après sinistre connaît également une amélioration radicale, car les données peuvent être répliquées vers n'importe quel datacenter ou vers le cloud, ce qui permet aux entreprises de protéger plus facilement leurs informations. Les entreprises peuvent lancer leur récupération vers un matériel différent, opérer une conversion à la volée d'un environnement physique à un environnement virtuel, et même une conversion d'un environnement virtuel à un autre environnement virtuel. Les administrateurs peuvent tester leur plan de reprise après sinistre sans imposer aucun temps d'arrêt aux applications, et ainsi mieux se préparer à toute éventualité.
Cette possibilité est particulièrement importante pour les entreprises actuelles, sous le coup de menaces pernicieuses et omniprésentes comme celles du ransomware. Une récupération rapide des données d'un emplacement à un autre permet de contrecarrer efficacement la menace du ransomware.
Une protection des données universelle
Le SDS donne aux entreprises la possibilité de déployer une solution optimale : un système universel de protection des données, qui fonctionne sur l'ensemble de leur infrastructure, dont l'utilisation est simple, et dont la rentabilité est bien supérieure à celle d'une multitude d'autres solutions. Ce système fiable et universel garantit une bien meilleure résilience de l'infrastructure, et permet une récupération plus rapide en cas de sinistre.
Les entreprises peuvent également profiter de la versatilité et de la souplesse du SDS dès l'instant où elles commencent à déplacer leurs données vers le cloud. En libérant les données et leur protection des contraintes de l'approche traditionnelle, qui opère un cloisonnement baie par baie, site par site ou application par application, le SDS permet aux entreprises de se concentrer sur leurs activités plutôt que de perdre un temps et des ressources précieux à déterminer où sont stockées leurs données, et où les récupérer.
À l'heure où les menaces planant sur les entreprises et leurs données ne sont que trop réelles, la meilleure protection pourrait bien être virtuelle.
La sauvegarde traditionnelle peut coûter beaucoup d'argent aux organisations. Elle doit être prise en charge et nécessite un travail d'administration considérable. Il peut être courant pour les entreprises de déployer une gamme de solutions de protection de données pour les systèmes SAN/NAS, des outils de sauvegarde pour les serveurs physiques, pour la virtualisation, pour le cloud... etc. Cela crée un environnement complexe et onéreux à partir de solutions ponctuelles, avec de nombreux logiciels de sauvegarde et d'instantanés. La gestion de cet ensemble peut se révéler être un casse-tête administratif, et leur audit peut être coûteux.
Les entreprises ont du mal à comprendre les différents outils existants servant à récupérer leurs fichiers, leurs disques, leurs systèmes ou l'ensemble du site, chacun possédant sa propre interface de gestion et sa propre licence. Il est également très difficile d'arriver à la souplesse nécessaire aux entreprises en matière de protection des données, permettant de les stocker sur un serveur physique, sur un hôte virtuel ou dans le cloud. Les solutions de protection des données traditionnelles ont souvent une capacité limitée à les protéger, quelle que soit la plateforme sur laquelle elles sont exécutées.
La réponse pourrait être définie par logiciel
Alors comment les entreprises peuvent-elles décloisonner leur protection de données et introduire des fonctionnalités communes à l'ensemble de leur infrastructure ? Est-il possible de mettre en œuvre une seule et même plateforme capable de protéger l'ensemble de l'infrastructure, physique et virtuelle ? C'est là que le stockage défini par logiciel (SDS) peut faire toute la différence, en transformant le stockage en une couche homogène, abstraite et virtuelle.
Le SDS peut gérer tous les aspects du stockage grâce à une seule interface, et peut éliminer le besoin de solutions distinctes pour la protection des données, leur sauvegarde, leur réplication ou la récupération après sinistre. Les entreprises peuvent bénéficier de la centralisation de la surveillance proactive, de l'analyse et de la configuration sur des infrastructures de stockage hétérogènes, pour empêcher les problèmes. En créant une plateforme de stockage unique, le SDS peut réellement être utilisé également en tant que plateforme unique de protection des données. En réduisant l'infrastructure de la protection des données à une seule solution (pour tous les sites et toutes les plateformes), les entreprises sont en mesure de réduire les coûts et la complexité.
Le SDS permet aux entreprises de protéger leurs données à l'aide de politiques sur mesure, quel que soit l'emplacement de stockage des données : sur site, hors site ou dans le cloud. La méthodologie et l'abstraction communes que fournit le SDS permettent aux entreprises de migrer, protéger et récupérer leurs données là où elles en ont besoin. Cette technologie est par ailleurs beaucoup plus accessible, ce qui permet aux administrateurs de vérifier l'infrastructure de protection des données ou d'effectuer une récupération de données depuis différentes sources, comme un navigateur Internet, un smartphone ou une tablette.
Le test et la validation des mécanismes de protection des données, un domaine pour lequel de nombreux services informatiques manquent de temps, d'argent et de personnel, peuvent être automatisés sur une plateforme SDS, grâce aux tests de récupération planifiés.
Les avantages du SDS
L'adoption d'une approche SDS offre de nombreux avantages. Elle simplifie radicalement l'infrastructure de protection des données, ce qui permet de confirmer bien plus facilement leur protection, de dépanner l'infrastructure de sauvegarde en cas de problème et de récupérer les données, si nécessaire. Le SDS simplifie l'infrastructure de protection des données en éliminant le besoin de multiplier les solutions ; et en automatisant la récupération des données, il permet aux entreprises de réduire considérablement les coûts.
La reprise après sinistre connaît également une amélioration radicale, car les données peuvent être répliquées vers n'importe quel datacenter ou vers le cloud, ce qui permet aux entreprises de protéger plus facilement leurs informations. Les entreprises peuvent lancer leur récupération vers un matériel différent, opérer une conversion à la volée d'un environnement physique à un environnement virtuel, et même une conversion d'un environnement virtuel à un autre environnement virtuel. Les administrateurs peuvent tester leur plan de reprise après sinistre sans imposer aucun temps d'arrêt aux applications, et ainsi mieux se préparer à toute éventualité.
Cette possibilité est particulièrement importante pour les entreprises actuelles, sous le coup de menaces pernicieuses et omniprésentes comme celles du ransomware. Une récupération rapide des données d'un emplacement à un autre permet de contrecarrer efficacement la menace du ransomware.
Une protection des données universelle
Le SDS donne aux entreprises la possibilité de déployer une solution optimale : un système universel de protection des données, qui fonctionne sur l'ensemble de leur infrastructure, dont l'utilisation est simple, et dont la rentabilité est bien supérieure à celle d'une multitude d'autres solutions. Ce système fiable et universel garantit une bien meilleure résilience de l'infrastructure, et permet une récupération plus rapide en cas de sinistre.
Les entreprises peuvent également profiter de la versatilité et de la souplesse du SDS dès l'instant où elles commencent à déplacer leurs données vers le cloud. En libérant les données et leur protection des contraintes de l'approche traditionnelle, qui opère un cloisonnement baie par baie, site par site ou application par application, le SDS permet aux entreprises de se concentrer sur leurs activités plutôt que de perdre un temps et des ressources précieux à déterminer où sont stockées leurs données, et où les récupérer.
À l'heure où les menaces planant sur les entreprises et leurs données ne sont que trop réelles, la meilleure protection pourrait bien être virtuelle.