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Neo4j, leader du marché des données connectées, annonce que le Consortium International de Journalistes d'Investigation (ICIJ) a utilisé sa technologie afin de faire toute la lumière sur les Paradise Papers, le scandale qui éclabousse l'élite mondiale et de nombreuses personnalités.
A l'appui des révélations de l'ICIJ, ce sont 13,5 millions de documents financiers, provenant notamment d'un cabinet international d'avocats basé aux Bermudes, Appleby. On parle dans cette affaire de l'évasion fiscale de plus de 350 milliards de dollars, qui implique des personnalités telles que 2 membres du gouvernement de Donald Trump, la Reine d'Angleterre, le champion de F1 Lewis Hamilton, le co-fondateur de Microsoft, le fondateur d'eBay, des rockstars comme Bono ou Madonna. Sont également impliquées des entreprises comme Apple, Nike, Uber, ou encore Glencore. Les 1,4 Téraoctets de données qui composent le dossier ont été obtenues par le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung et partagées avec l'ICIJ, basé à Washington, qui est un réseau d'équipes d'investigations indépendantes internationales qui collabore avec plus d'une centaine de médias de tous les pays.
La pierre angulaire des nombreux scoops révélés par l'ICIJ, à l'image des Panama Papers n'est autre que Neo4j. C'est en fait cette technologie de base de données de graphes, utilisée avec la plateforme de visualisation Linkurious, qui a été utilisée pour organiser et permettre l'accès à ces données étroitement connectées.
La raison est simple : les bases de données de graphes excellent de deux manières. D'abord par leur capacité à gérer ces données hautement connectées, puis en permettant de répondre à des requêtes très complexes. Au lieu d'utiliser des « tables » comme le font les bases de données relationnelles, les bases de données comme Neo4j s'appuient sur la théorie des graphes et fonctionnent avec des structures spéciales comprenant des nœuds, des relations et des propriétés permettant de définir, d'identifier et de stocker les données. C'est ce qui assure à ces outils de hautes performances en termes d'analyse des relations et d'interconnexion entre les données et qui a simplifié la tâche des journalistes qui ont pu « suivre l'argent » de manière plus aisée que jamais !
à jour le système des activités offshore dans des paradis fiscaux.
Selon Emil Eifrem, co-fondateur et PDG de Neo4j, « Quoi que les « Paradise Papers » dévoilent, une chose est sûre, c'est uniquement avec des outils de classe mondiale comme Neo4j et Linkurious qu'il est possible de permettre une investigation internationale aussi vaste sur des données aussi complexes, comme cela se produit désormais dans notre ère de l'Information ».
« Les bases de données de graphes sont les seules solutions viables lorsqu'il s'agit de donner du sens à des térabits de données connectées entre elles comme nous les produisons de nos jours. Elles sont aussi essentielles pour les agences internationales, les gouvernements, les services financiers et les spécialistes de la sécurité à la recherche de la découverte de la vérité ».
A l'appui des révélations de l'ICIJ, ce sont 13,5 millions de documents financiers, provenant notamment d'un cabinet international d'avocats basé aux Bermudes, Appleby. On parle dans cette affaire de l'évasion fiscale de plus de 350 milliards de dollars, qui implique des personnalités telles que 2 membres du gouvernement de Donald Trump, la Reine d'Angleterre, le champion de F1 Lewis Hamilton, le co-fondateur de Microsoft, le fondateur d'eBay, des rockstars comme Bono ou Madonna. Sont également impliquées des entreprises comme Apple, Nike, Uber, ou encore Glencore. Les 1,4 Téraoctets de données qui composent le dossier ont été obtenues par le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung et partagées avec l'ICIJ, basé à Washington, qui est un réseau d'équipes d'investigations indépendantes internationales qui collabore avec plus d'une centaine de médias de tous les pays.
La pierre angulaire des nombreux scoops révélés par l'ICIJ, à l'image des Panama Papers n'est autre que Neo4j. C'est en fait cette technologie de base de données de graphes, utilisée avec la plateforme de visualisation Linkurious, qui a été utilisée pour organiser et permettre l'accès à ces données étroitement connectées.
La raison est simple : les bases de données de graphes excellent de deux manières. D'abord par leur capacité à gérer ces données hautement connectées, puis en permettant de répondre à des requêtes très complexes. Au lieu d'utiliser des « tables » comme le font les bases de données relationnelles, les bases de données comme Neo4j s'appuient sur la théorie des graphes et fonctionnent avec des structures spéciales comprenant des nœuds, des relations et des propriétés permettant de définir, d'identifier et de stocker les données. C'est ce qui assure à ces outils de hautes performances en termes d'analyse des relations et d'interconnexion entre les données et qui a simplifié la tâche des journalistes qui ont pu « suivre l'argent » de manière plus aisée que jamais !
à jour le système des activités offshore dans des paradis fiscaux.
Selon Emil Eifrem, co-fondateur et PDG de Neo4j, « Quoi que les « Paradise Papers » dévoilent, une chose est sûre, c'est uniquement avec des outils de classe mondiale comme Neo4j et Linkurious qu'il est possible de permettre une investigation internationale aussi vaste sur des données aussi complexes, comme cela se produit désormais dans notre ère de l'Information ».
« Les bases de données de graphes sont les seules solutions viables lorsqu'il s'agit de donner du sens à des térabits de données connectées entre elles comme nous les produisons de nos jours. Elles sont aussi essentielles pour les agences internationales, les gouvernements, les services financiers et les spécialistes de la sécurité à la recherche de la découverte de la vérité ».
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