Cohesity, le leader du stockage secondaire hyperconvergé, annonce les résultats d'une étude mondiale qui valide un problème critique que rencontrent les entreprises du monde entier : la fragmentation massive des données. L’étude réalisée auprès de 900 décideurs IT seniors révèle qu’ils sont 87% dans le monde à penser que les données secondaires dans leur entreprise sont fragmentées en silos et qu’elles sont ou vont bientôt devenir impossibles à gérer sur le long terme, avec des conséquences potentiellement dévastatrices à la clé. En France, 92% des répondants partagent cet avis. Les sondés ont indiqué des préoccupations croissantes en terme de menaces compétitives, de risques de non-conformité, de pertes d’emploi, de baisse de moral et d’opportunités manquées d’accroître le chiffre d’affaires à hauteur de 10%.
La fragmentation massive des données renvoie à la prolifération croissante des données réparties en une myriade de lieux, de silos d’infrastructure et de systèmes d’administration, ce qui empêche les entreprises de les valoriser pleinement. L’étude commandée par Cohesity et menée par Vanson Bourne révèle que 92% des décideurs IT français croient qu’il est important, très important ou extrêmement important de résoudre les enjeux de la fragmentation massive des données. Pour cette étude, des salariés d’entreprises ont été interrogés aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Australie et au Japon, dans différents secteurs d’industrie, dont ceux des services financiers, de la santé, des sciences de la vie, des médias et des divertissements, de la technologie et du secteur public. Les entreprises du panel possèdent un chiffre d’affaires de 10,5 milliards de dollars en moyenne.
« Partout dans le monde, les responsables IT se confrontent à la fragmentation massive des données et à l’effet boule de neige que provoque ce défi d’importance lié à l’infrastructure », déclare Mohit Aron, CEO et fondateur de Cohesity. « Les silos de données créent des silos de calcul et d’administration si bien qu’il devient quasiment impossible pour les entreprises de régler ce problème sans cesse grandissant. Les données deviennent pénalisantes alors que ce devrait être un actif compétitif à exploiter. »
Qu’est-ce qui crée la fragmentation massive des données ?
Les conclusions de l’étude montrent que plusieurs aspects problématiques intensifient la fragmentation massive des données.
Les données sont massivement en silos : La fragmentation existe au sein et en dehors des silos. Ce problème est aggravé par le très grand nombre de produits isolés utilisés pour gérer les workloads secondaires, comme les sauvegardes, les partages de fichiers, le stockage en objet, les opérations de test et développement, et l’analytique.
32% des sondés français ont rapporté utiliser au moins six solutions différentes pour gérer l’ensemble de leurs opérations liées aux données secondaires. 8% des entreprises utilisent au moins 11 solutions.
Les copies de données se multiplient : Il existe des copies des mêmes données un peu partout car les produits isolés n’autorisent pas le partage ni la réutilisation des données.
65% des entreprises françaises possèdent entre 4 et 15 copies des mêmes données.
Les données sont réparties sur plusieurs sites : La propagation des données se fait sur site et dans le cloud, ce qui complique encore davantage l’administration.
En France, 83% des sondés stockent des données dans deux à cinq clouds publics dont 9% stockent les données dans au moins quatre clouds publics.
Parmi les entreprises françaises qui stockent des données dans le cloud public, 68% rapportent qu’elles font une copie alternative ou redondante des données, qu’elles stockent dans le même cloud public ou dans un autre cloud public, ce qui augmente le nombre de copies de données à superviser.
La fragmentation massive des données peut grandement perturber les équipes IT et peser sur les budgets déjà serrés. 61% des répondants au niveau mondial et 73% en France affirment que leurs équipes IT passent entre 10 et 50% de leur journée à gérer les données et applications secondaires de leur organisation. L’immense majorité des sondés français considère que ce temps va s’accroître , en moyenne de plus de 28%soit environ 16 semaines supplémentaires chaque année, en l’absence des bons outils. Et plus de la moitié de ceux qui estiment que les données secondaires de leur entreprise sont fragmentées craignent de devoir dépasser leur budget IT du fait de dépenses dans de la capacité de stockage inutile.
Préoccupations au sujet de la conformité, de la compétitivité et du bien-être des salariés
L’étude a aussi révélé des risques majeurs que la fragmentation massive des données pose aux entreprises.
Les risques de conformité et les enjeux de compétitivité :
A un moment où les réglementations de conformité (dont le RGPD) occupent les esprits des entreprises, 99% des sondés français se disent préoccupés par le niveau de visibilité que l’équipe IT a sur ses données secondaires tous sites confondus. Ce chiffre est un peu moins élevé dans d’autres pays avec 87% pour les Etats-Unis et 88% pour l’Allemagne. De ceux qui estiment en France que les données secondaires de leur entreprise sont fragmentées entre différents silos d’infrastructure :
47% estiment que ne pas traiter la question de la fragmentation massive des données créera un désavantage compétitif important pour leur entreprise.
52% déclarent que l’expérience client risque d’en souffrir car la fragmentation empêcherait leur entreprise de glaner des insights des données secondaires.
Bien-être des salariés :
Si l’IT doit gérer l’ensemble des données et applis secondaires de l’entreprise sans technologie adaptée :
42% des sondés français% craignent une forte rotation du personnel de l’équipe IT, et 35% déclarent qu’eux-mêmes ou un membre de leur équipe risque de démissionner
34% estiment que la culture au sein de l’équipe IT ferait une plongée du fait d’attentes hors de contrôle et du manque de préparation à la réussite de l’entreprise.
31% estiment que la satisfaction et le moral des salariés en souffriraient.
Le fait de régler la question de la fragmentation massive des données porterait de nombreux fruits
89% des décideurs IT seniors en France déclarent que si la moitié des ressources IT que leur entreprise dépense à gérer des données secondaires étaient redéployées vers des actions IT plus stratégiques, cela pourrait avoir un impact positif sur le chiffre d’affaires de l’entreprise en cinq ans.
Près de 24% des sondés estiment que cet ajustement des ressources IT pourrait augmenter les recettes d’au moins 6% en 5 ans. Et 6% pensent que le CA pourrait augmenter de 8 à 10%, voire plus.
Sachant que le CA moyen des entreprises interrogées dépasse 10 milliards de dollars, une augmentation de 8 à 10% se traduirait par l’équivalent de 800 millions à 1 milliard de dollars de nouvelles recettes.
La fragmentation massive des données renvoie à la prolifération croissante des données réparties en une myriade de lieux, de silos d’infrastructure et de systèmes d’administration, ce qui empêche les entreprises de les valoriser pleinement. L’étude commandée par Cohesity et menée par Vanson Bourne révèle que 92% des décideurs IT français croient qu’il est important, très important ou extrêmement important de résoudre les enjeux de la fragmentation massive des données. Pour cette étude, des salariés d’entreprises ont été interrogés aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Australie et au Japon, dans différents secteurs d’industrie, dont ceux des services financiers, de la santé, des sciences de la vie, des médias et des divertissements, de la technologie et du secteur public. Les entreprises du panel possèdent un chiffre d’affaires de 10,5 milliards de dollars en moyenne.
« Partout dans le monde, les responsables IT se confrontent à la fragmentation massive des données et à l’effet boule de neige que provoque ce défi d’importance lié à l’infrastructure », déclare Mohit Aron, CEO et fondateur de Cohesity. « Les silos de données créent des silos de calcul et d’administration si bien qu’il devient quasiment impossible pour les entreprises de régler ce problème sans cesse grandissant. Les données deviennent pénalisantes alors que ce devrait être un actif compétitif à exploiter. »
Qu’est-ce qui crée la fragmentation massive des données ?
Les conclusions de l’étude montrent que plusieurs aspects problématiques intensifient la fragmentation massive des données.
Les données sont massivement en silos : La fragmentation existe au sein et en dehors des silos. Ce problème est aggravé par le très grand nombre de produits isolés utilisés pour gérer les workloads secondaires, comme les sauvegardes, les partages de fichiers, le stockage en objet, les opérations de test et développement, et l’analytique.
32% des sondés français ont rapporté utiliser au moins six solutions différentes pour gérer l’ensemble de leurs opérations liées aux données secondaires. 8% des entreprises utilisent au moins 11 solutions.
Les copies de données se multiplient : Il existe des copies des mêmes données un peu partout car les produits isolés n’autorisent pas le partage ni la réutilisation des données.
65% des entreprises françaises possèdent entre 4 et 15 copies des mêmes données.
Les données sont réparties sur plusieurs sites : La propagation des données se fait sur site et dans le cloud, ce qui complique encore davantage l’administration.
En France, 83% des sondés stockent des données dans deux à cinq clouds publics dont 9% stockent les données dans au moins quatre clouds publics.
Parmi les entreprises françaises qui stockent des données dans le cloud public, 68% rapportent qu’elles font une copie alternative ou redondante des données, qu’elles stockent dans le même cloud public ou dans un autre cloud public, ce qui augmente le nombre de copies de données à superviser.
La fragmentation massive des données peut grandement perturber les équipes IT et peser sur les budgets déjà serrés. 61% des répondants au niveau mondial et 73% en France affirment que leurs équipes IT passent entre 10 et 50% de leur journée à gérer les données et applications secondaires de leur organisation. L’immense majorité des sondés français considère que ce temps va s’accroître , en moyenne de plus de 28%soit environ 16 semaines supplémentaires chaque année, en l’absence des bons outils. Et plus de la moitié de ceux qui estiment que les données secondaires de leur entreprise sont fragmentées craignent de devoir dépasser leur budget IT du fait de dépenses dans de la capacité de stockage inutile.
Préoccupations au sujet de la conformité, de la compétitivité et du bien-être des salariés
L’étude a aussi révélé des risques majeurs que la fragmentation massive des données pose aux entreprises.
Les risques de conformité et les enjeux de compétitivité :
A un moment où les réglementations de conformité (dont le RGPD) occupent les esprits des entreprises, 99% des sondés français se disent préoccupés par le niveau de visibilité que l’équipe IT a sur ses données secondaires tous sites confondus. Ce chiffre est un peu moins élevé dans d’autres pays avec 87% pour les Etats-Unis et 88% pour l’Allemagne. De ceux qui estiment en France que les données secondaires de leur entreprise sont fragmentées entre différents silos d’infrastructure :
47% estiment que ne pas traiter la question de la fragmentation massive des données créera un désavantage compétitif important pour leur entreprise.
52% déclarent que l’expérience client risque d’en souffrir car la fragmentation empêcherait leur entreprise de glaner des insights des données secondaires.
Bien-être des salariés :
Si l’IT doit gérer l’ensemble des données et applis secondaires de l’entreprise sans technologie adaptée :
42% des sondés français% craignent une forte rotation du personnel de l’équipe IT, et 35% déclarent qu’eux-mêmes ou un membre de leur équipe risque de démissionner
34% estiment que la culture au sein de l’équipe IT ferait une plongée du fait d’attentes hors de contrôle et du manque de préparation à la réussite de l’entreprise.
31% estiment que la satisfaction et le moral des salariés en souffriraient.
Le fait de régler la question de la fragmentation massive des données porterait de nombreux fruits
89% des décideurs IT seniors en France déclarent que si la moitié des ressources IT que leur entreprise dépense à gérer des données secondaires étaient redéployées vers des actions IT plus stratégiques, cela pourrait avoir un impact positif sur le chiffre d’affaires de l’entreprise en cinq ans.
Près de 24% des sondés estiment que cet ajustement des ressources IT pourrait augmenter les recettes d’au moins 6% en 5 ans. Et 6% pensent que le CA pourrait augmenter de 8 à 10%, voire plus.
Sachant que le CA moyen des entreprises interrogées dépasse 10 milliards de dollars, une augmentation de 8 à 10% se traduirait par l’équivalent de 800 millions à 1 milliard de dollars de nouvelles recettes.
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