Chris LYNCH
Il avait conduit les opérations d'acquisition de Vertica par HP pour plus de 350 millions de dollars, il y a environ un an. D'après le site SiliconANGLE, il aurait annoncé en février à ses équipes son départ de chez HP.
Le fondateur de Vertica, Mike STONEBREAKER, n'était pas reconnu pour ses compétences de développeur commercial et de gestionnaire. Ingénieur de génie, il avait déjà beaucoup d'avance dans les années 90 lorsqu'il revendait Illustra à Informix et imaginait les bases de données non-structurées, accompagnées des outils de recherche ad-hoc. Mais Chris LYNCH avait des talents d'entrepreneur reconnus. Son départ est maintenant effectif comme il l'annonce lui-même sur sa page LinkedIn.
Derrière un choix personnel, on trouve certainement des raisons plus professionnelles, liées à l'évolution de Vertica au sein de HP. Vertica est maintenant intégré à la division Information Management, essentiellement issue du rachat de Autonomy. Et la stratégie de HP en matière de Business Intelligence manque toujours autant de clarté. Sans doute Chris LYNCH ne se sentait-il plus à sa place dans cet ensemble, lui qui explique aujourd'hui vouloir conseiller des start-up dans le domaine du "big data".
Le fondateur de Vertica, Mike STONEBREAKER, n'était pas reconnu pour ses compétences de développeur commercial et de gestionnaire. Ingénieur de génie, il avait déjà beaucoup d'avance dans les années 90 lorsqu'il revendait Illustra à Informix et imaginait les bases de données non-structurées, accompagnées des outils de recherche ad-hoc. Mais Chris LYNCH avait des talents d'entrepreneur reconnus. Son départ est maintenant effectif comme il l'annonce lui-même sur sa page LinkedIn.
Derrière un choix personnel, on trouve certainement des raisons plus professionnelles, liées à l'évolution de Vertica au sein de HP. Vertica est maintenant intégré à la division Information Management, essentiellement issue du rachat de Autonomy. Et la stratégie de HP en matière de Business Intelligence manque toujours autant de clarté. Sans doute Chris LYNCH ne se sentait-il plus à sa place dans cet ensemble, lui qui explique aujourd'hui vouloir conseiller des start-up dans le domaine du "big data".