Après le rachat de Inéa dans le domaine de l’élaboration budgétaire, Cartesis poursuit ses acquisitions et vient de rendre public aujourd’hui le rachat de Advance Info Systems, un modeste éditeur canadien, conclu en fin de semaine dernière.
Pour l’éditeur connu dans le monde de la consolidation, il s’agit de rattraper rapidement l’avance prise par certains concurrents en matière d’intégration des trois piliers qui forment, selon Cartesis, le BPM (Business Performance Management). « Nos trois métiers sont la consolidation et le reporting, la planification budgétaire, et la diffusion des informations », explique Hubert d’Hondt, nouveau vice-président en charge des services pour le monde entier. « Le BPM est une nouvelle manière de parler de l’intégration de ces trois piliers au sein d’une offre robuste et cohérente, qui partage le même modèle de données ». Cartesis poursuit donc son chemin vers l’intégration ; déjà il y a quelques années, Cartesis unifiait le reporting et la consolidation. Elle joint maintenant à cette intégration, l’élaboration budgétaire, et la diffusion des tableaux de bord de pilotage.
Du point de vue fonctionnel, le marché de la consolidation a lui aussi beaucoup évolué. « La pure consolidation ne représente aujourd’hui parfois que 5 % de l’utilisation que font nos clients de nos solutions », explique Hubert d’Hondt. « Les reporting prennent de plus en plus d’importance. Il peut s’agir de reporting environnemental, sur les ventes, sur la qualité de la production… ». Le rachat de AIS n’est certainement pas stratégique, et la solution proposée par AIS, quoique très réussie du point de vue ergonomique, ne modifiera pas la couverture fonctionnelle de l’offre de Cartesis. Mais elle satisfera pleinement les contrôleurs de gestion, toujours fanatiques de l’utilisation d’Excel, et qui pourront ainsi conserver leur outil fétiche, tout en manipulant facile les données des applications Cartesis stockées sur SQL Server.
Décidemment, tout le monde s’intéresse aux applications de gestion de la performance financière : Cognos avec les rachats de Adaytum et Frango, Business Objects la semaine dernière avec le rachat de SRC Software, et aujourd’hui de nouveau Cartesis. Y a-t-il de la place pour tout le monde ?
Pour l’éditeur connu dans le monde de la consolidation, il s’agit de rattraper rapidement l’avance prise par certains concurrents en matière d’intégration des trois piliers qui forment, selon Cartesis, le BPM (Business Performance Management). « Nos trois métiers sont la consolidation et le reporting, la planification budgétaire, et la diffusion des informations », explique Hubert d’Hondt, nouveau vice-président en charge des services pour le monde entier. « Le BPM est une nouvelle manière de parler de l’intégration de ces trois piliers au sein d’une offre robuste et cohérente, qui partage le même modèle de données ». Cartesis poursuit donc son chemin vers l’intégration ; déjà il y a quelques années, Cartesis unifiait le reporting et la consolidation. Elle joint maintenant à cette intégration, l’élaboration budgétaire, et la diffusion des tableaux de bord de pilotage.
Du point de vue fonctionnel, le marché de la consolidation a lui aussi beaucoup évolué. « La pure consolidation ne représente aujourd’hui parfois que 5 % de l’utilisation que font nos clients de nos solutions », explique Hubert d’Hondt. « Les reporting prennent de plus en plus d’importance. Il peut s’agir de reporting environnemental, sur les ventes, sur la qualité de la production… ». Le rachat de AIS n’est certainement pas stratégique, et la solution proposée par AIS, quoique très réussie du point de vue ergonomique, ne modifiera pas la couverture fonctionnelle de l’offre de Cartesis. Mais elle satisfera pleinement les contrôleurs de gestion, toujours fanatiques de l’utilisation d’Excel, et qui pourront ainsi conserver leur outil fétiche, tout en manipulant facile les données des applications Cartesis stockées sur SQL Server.
Décidemment, tout le monde s’intéresse aux applications de gestion de la performance financière : Cognos avec les rachats de Adaytum et Frango, Business Objects la semaine dernière avec le rachat de SRC Software, et aujourd’hui de nouveau Cartesis. Y a-t-il de la place pour tout le monde ?
Cet article a été corrigé à la demande de Cartesis. Sa version originale comportait des informations que Cartesis a regretté ensuite avoir rendu publiques. Afin de ne pas envenimer la situation, nous avons choisi de supprimer le paragraphe en question, en nous inquiétant cependant qu'une société comme Cartesis confonde encore communication et information...