Cartesis, premier éditeur mondial spécialisé dans les logiciels de Business Performance Management (BPM), et le cabinet d’études spécialisé Robert Frances Group annoncent les résultats de l’étude « Améliorer durablement la conformité grâce au Business Performance Management » qui définit 15 fonctionnalités essentielles du BPM pour la conformité[1]. A l’heure où les entreprises consacrent déjà d’importants budgets aux services de conseil en entreprises, l’étude leur propose de réorienter leurs priorités vers les technologies de Business Performance Management, à même de les doter de moyens de contrôle efficaces pour réussir durablement leurs opérations de reporting financier et de conformité réglementaire.
Les 15 fonctionnalités du BPM permettant de déboucher in fine sur une amélioration de la conformité sont les suivantes : contrôles financiers « intégrés » et exhaustifs, indicateurs de conformité à l’échelle mondiale, intégration des résultats financiers à l’évaluation des processus, auditabilité, accès sécurisés par fonction et groupe d’utilisateurs, validation automatisée des progiciels de reporting, possibilité de « zoomer » sur tous les niveaux d’informations, fonctionnalité de consolidation des données, transparence et traçabilité, automatisation des processus manuels, suivi des processus, réduction des délais de publication, modèle de données intégré, catégories de données, dimensions et diffusion au format d’échange de données financières XBRL (eXtensible Business Reporting Language).
« La conformité a un coût », déclare John Van Decker, Vice-Président Senior et Directeur d’Etudes chez Robert Frances Group. « De nombreuses entreprises se sont soumises à un audit SOX 404 et au final, estiment trop importantes les charges qu’engendre la préparation d’un tel audit et ce, en regard de l’insuffisance des améliorations observées et de la valeur ajoutée générée ».
Robert Frances Group révèle que les dépenses consacrées par les entreprises aux prestations de conseil représentent entre un et trois millions de dollars par milliard de chiffre d’affaires. Pourtant, beaucoup de ces mêmes entreprises ne sont pas parvenues à se doter de systèmes logiciels leur permettant de réduire les charges futures, induites par la conformité. Les entreprises bien avisées s’intéressent désormais aux frameworks technologiques, et plus particulièrement au BPM, qui leur permettront de maintenir durablement leur conformité tout en réduisant certaines des charges propres à la première année d’application des normes SOX ou IFRS.
« La technologie ne peut garantir la conformité à elle seule », déclare Didier Benchimol, CEO de Cartesis. « En revanche, elle peut apporter aux entreprises la visibilité, la transparence, les outils de contrôle, de communication, de gestion des risques et de prévention des fraudes dont elles ont besoin, à condition toutefois que le BPM soit complètement intégré à leurs processus métier. Idéalement, les entreprises devraient alimenter l’ensemble de leur gestion financière à partir d’un référentiel homogène, relié au BPM ».
L’objectif final du BPM est de faire le lien entre les indicateurs, la consolidation, la planification et la définition de la stratégie de reporting, l’élaboration budgétaire et la gestion prévisionnelle puis de réunir l’ensemble de ces éléments dans un cadre homogène. Un bon logiciel de BPM permet aux entreprises de garantir la fiabilité des informations financières qu’elles publient en facilitant l’accès aux résultats détaillés, en réduisant d’en moyenne 15 jours le temps nécessaire aux opérations de rapprochement, en s’intégrant harmonieusement au système de consolidation préféré de l’entreprise et en permettant le rapprochement au niveau des soldes comptables et de la facturation.
Pour consulter l’étude de Robert Frances Group, cliquer sur le lien suivant : http://www.cartesis.com/en/about/whitepapers/37/.
Les 15 fonctionnalités du BPM permettant de déboucher in fine sur une amélioration de la conformité sont les suivantes : contrôles financiers « intégrés » et exhaustifs, indicateurs de conformité à l’échelle mondiale, intégration des résultats financiers à l’évaluation des processus, auditabilité, accès sécurisés par fonction et groupe d’utilisateurs, validation automatisée des progiciels de reporting, possibilité de « zoomer » sur tous les niveaux d’informations, fonctionnalité de consolidation des données, transparence et traçabilité, automatisation des processus manuels, suivi des processus, réduction des délais de publication, modèle de données intégré, catégories de données, dimensions et diffusion au format d’échange de données financières XBRL (eXtensible Business Reporting Language).
« La conformité a un coût », déclare John Van Decker, Vice-Président Senior et Directeur d’Etudes chez Robert Frances Group. « De nombreuses entreprises se sont soumises à un audit SOX 404 et au final, estiment trop importantes les charges qu’engendre la préparation d’un tel audit et ce, en regard de l’insuffisance des améliorations observées et de la valeur ajoutée générée ».
Robert Frances Group révèle que les dépenses consacrées par les entreprises aux prestations de conseil représentent entre un et trois millions de dollars par milliard de chiffre d’affaires. Pourtant, beaucoup de ces mêmes entreprises ne sont pas parvenues à se doter de systèmes logiciels leur permettant de réduire les charges futures, induites par la conformité. Les entreprises bien avisées s’intéressent désormais aux frameworks technologiques, et plus particulièrement au BPM, qui leur permettront de maintenir durablement leur conformité tout en réduisant certaines des charges propres à la première année d’application des normes SOX ou IFRS.
« La technologie ne peut garantir la conformité à elle seule », déclare Didier Benchimol, CEO de Cartesis. « En revanche, elle peut apporter aux entreprises la visibilité, la transparence, les outils de contrôle, de communication, de gestion des risques et de prévention des fraudes dont elles ont besoin, à condition toutefois que le BPM soit complètement intégré à leurs processus métier. Idéalement, les entreprises devraient alimenter l’ensemble de leur gestion financière à partir d’un référentiel homogène, relié au BPM ».
L’objectif final du BPM est de faire le lien entre les indicateurs, la consolidation, la planification et la définition de la stratégie de reporting, l’élaboration budgétaire et la gestion prévisionnelle puis de réunir l’ensemble de ces éléments dans un cadre homogène. Un bon logiciel de BPM permet aux entreprises de garantir la fiabilité des informations financières qu’elles publient en facilitant l’accès aux résultats détaillés, en réduisant d’en moyenne 15 jours le temps nécessaire aux opérations de rapprochement, en s’intégrant harmonieusement au système de consolidation préféré de l’entreprise et en permettant le rapprochement au niveau des soldes comptables et de la facturation.
Pour consulter l’étude de Robert Frances Group, cliquer sur le lien suivant : http://www.cartesis.com/en/about/whitepapers/37/.
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