Bon, c’est moins grave que le titre dramatique ne pouvait le laisser supposer puisque c’est le Gartner qui l’annonce ;-)
Le marché du décisionnel aurait atteint selon l’analyste américain, le chiffre de 5,1 milliards de dollars en logiciel dans le monde entier. En mettant en oeuvre leur stratégie d’acquisition, les quatre acteurs majeurs que sont Oracle, SAP, IBM et Microsoft seraient passés en un an de 20 % à 66 % de parts de marché !
La meilleure croissance du marché en 2007 est attribuée à Oracle avec 105 % de croissance, suivi de Cognos (14,2%), SAS (13%) et Business Objects (7,9%).
Mais ce qui inquiète le Gartner, c’est le ralentissement brusque de la croissance de ce marché aux Etats-Unis. Alors que le marché des logiciels décisionnels a progressé de 13 % en 2007 au niveau mondial, cette croissance a largement épargné les Etats-Unis et le Canada où elle n’a atteint que 5 %. Elle était encore en 2006 de 16 % sur la même zone géographique.
Cette réduction brutale de croissance pourrait avoir un impact direct sur l’ensemble du marché, les budgets de recherche et développement tout comme ceux consacrés au marketing et au commercial risquent de se trouver amputés dans les autres régions. Certains éditeurs pourraient aussi choisir de manière extrême de se recentrer sur leur marché original nord-américain et fermer certaines filiales.
Le marché du décisionnel aurait atteint selon l’analyste américain, le chiffre de 5,1 milliards de dollars en logiciel dans le monde entier. En mettant en oeuvre leur stratégie d’acquisition, les quatre acteurs majeurs que sont Oracle, SAP, IBM et Microsoft seraient passés en un an de 20 % à 66 % de parts de marché !
La meilleure croissance du marché en 2007 est attribuée à Oracle avec 105 % de croissance, suivi de Cognos (14,2%), SAS (13%) et Business Objects (7,9%).
Mais ce qui inquiète le Gartner, c’est le ralentissement brusque de la croissance de ce marché aux Etats-Unis. Alors que le marché des logiciels décisionnels a progressé de 13 % en 2007 au niveau mondial, cette croissance a largement épargné les Etats-Unis et le Canada où elle n’a atteint que 5 %. Elle était encore en 2006 de 16 % sur la même zone géographique.
Cette réduction brutale de croissance pourrait avoir un impact direct sur l’ensemble du marché, les budgets de recherche et développement tout comme ceux consacrés au marketing et au commercial risquent de se trouver amputés dans les autres régions. Certains éditeurs pourraient aussi choisir de manière extrême de se recentrer sur leur marché original nord-américain et fermer certaines filiales.