BIME Analytics est une “vieille” solution; BIME est en effet un des tous premiers outils de BI en mode SaaS, la société a été créée en 2009, une éternité sur ce marché. Et l’éditeur avait à l’époque fait certains choix technologiques qui ne sont plus aujourd’hui d’actualité. L’éditeur avait initialement fait le choix de Adobe Flash pour l’expérience utilisateur graphique. Mais le rejet de Flash par l’environnement iOS et sa lourdeur, ont conduit à son abandon progressif, au profit de HTML5.
Si BIME était déjà HTML5 dans sa précédente version sur la partie restitution des tableaux de bord, il l’est maintenant en totalité, tout au long de la chaîne de conception - diffusion des graphiques et indicateurs.
C’est cette évolution graphique qui marquera tout l’abord l’utilisateur de la version 6. BIME a fait le choix d’un aspect graphique proche des dernières versions de Windows, de gros blocs de couleurs vives, assemblés cote à cote. Le rendu est efficace, simple à comprendre pour l’utilisateur, et donne un peu l’impression d’un grand jeu de Lego. Cela manque de finesse à première vue, mais le nombre de paramètrages des graphiques est impressionnant et les options semblent permettre de régler à peu près tout.
BIME Analytics V6 est compatible avec tous les navigateurs “Evergreen”, c’est à dire qui se mettent automatiquement à jour dans leur dernière version; et affiche correctement ses écrans adaptables à l’environnement de l’utilisateur (Responsive Design). Que l’on soit sur son ordinateur, sa tablette ou son téléphone, le format des données affichées s’adaptera à la taille de l’écran.
En revanche l’usage en mobilité ne sera possible qu’en mode connecté. On reste toujours dans le navigateur et le développement d’applications natives n’est pas prévu par BIME. “Nos clients sont en général des gens hyper-connectés”, explique Rachel Delacour, directrice général de BIME, pour justifier ce choix.
Si BIME était déjà HTML5 dans sa précédente version sur la partie restitution des tableaux de bord, il l’est maintenant en totalité, tout au long de la chaîne de conception - diffusion des graphiques et indicateurs.
C’est cette évolution graphique qui marquera tout l’abord l’utilisateur de la version 6. BIME a fait le choix d’un aspect graphique proche des dernières versions de Windows, de gros blocs de couleurs vives, assemblés cote à cote. Le rendu est efficace, simple à comprendre pour l’utilisateur, et donne un peu l’impression d’un grand jeu de Lego. Cela manque de finesse à première vue, mais le nombre de paramètrages des graphiques est impressionnant et les options semblent permettre de régler à peu près tout.
BIME Analytics V6 est compatible avec tous les navigateurs “Evergreen”, c’est à dire qui se mettent automatiquement à jour dans leur dernière version; et affiche correctement ses écrans adaptables à l’environnement de l’utilisateur (Responsive Design). Que l’on soit sur son ordinateur, sa tablette ou son téléphone, le format des données affichées s’adaptera à la taille de l’écran.
En revanche l’usage en mobilité ne sera possible qu’en mode connecté. On reste toujours dans le navigateur et le développement d’applications natives n’est pas prévu par BIME. “Nos clients sont en général des gens hyper-connectés”, explique Rachel Delacour, directrice général de BIME, pour justifier ce choix.
Mais revenons à l’intérieur du moteur de tableaux de bord. Parmi les nouveautés de la version 6, l’ajout de nouvelles sources de données. Au-delà des traditionnels fichiers plats, bases SQL, BIME Analytics propose de se connecter à de nombreux services web, au travers des API qu’ils fournissent : Salesforce.com, . On fait donc de l’alimentation “cloud to cloud”, ce qui évite de descendre les fichiers en local pour les remonter ensuite. Dans le domaine du Big Data, BIME Anlytics peut se connecter à HP Vertica, Vectorwise, SAP HANA, et bien sur Google Big Query. C’est ce partenariat avec Google dont Rachel Delacour est le plus fier. D’une part sous l’angle technologique, cela permet à BIME d’interroger plus d’un milliard de lignes en quelques secondes, mais c’est Big Query qui fait le travail… et aussi parce que Google fait la promotion du package BIME-Big Query en offrant un crédit de 500$ sur l’utilisation de Google Big Query aux clients de BIME Analytics.
Une fois les sources de données connectées et les requêtes créées, se pose la question du stockage des données agrégées. En effet, un service hébergé comme BIME Analytics n’a pas vocation à stocker les données, mais simplement à y accéder. Cependant, les allers-retours d’analyse conduisent à interroger plusieurs fois les mêmes données. Si rien n’était conservé, les temps de réponse seraient trop importants et les sources de données trop sollicitées. BIME propose donc un mécanisme de cache des données utilisées plusieurs fois. Ce cache peut être réalisé par la technologie “Déjà Vu” embarquée dans BIME Analytics (solution proposée en standard), ou stockées en mémoire dans la base BIME DB (facturée en plus).
Une fois les sources de données connectées et les requêtes créées, se pose la question du stockage des données agrégées. En effet, un service hébergé comme BIME Analytics n’a pas vocation à stocker les données, mais simplement à y accéder. Cependant, les allers-retours d’analyse conduisent à interroger plusieurs fois les mêmes données. Si rien n’était conservé, les temps de réponse seraient trop importants et les sources de données trop sollicitées. BIME propose donc un mécanisme de cache des données utilisées plusieurs fois. Ce cache peut être réalisé par la technologie “Déjà Vu” embarquée dans BIME Analytics (solution proposée en standard), ou stockées en mémoire dans la base BIME DB (facturée en plus).
Dernier point, BIME Analytics devient collaboratif. Ces fonctionnalités sont encore peu développées, mais il est possible de commenter les graphiques réalisés, en créant ainsi un réseau social des collaborateurs BI.
BIME profite de cette nouvelle version pour réévaluer le positionnement tarifaire de son offre. La version d’entrée de gamme disparait et le client a maintenant le choix entre la version “Plan de base” qui coûte 4560 euros ou 5880 $ par an, pour deux analystes et un nombre illimité de tableaux de bord, et la version “Big Data” qui inclut en plus l’accès à Big Query, Redshift, Vertica et Vectorwise et coûte 6360 euros ou 8280 $ par an toujours pour deux utilisateurs et un nombre illimité de tableaux de bord. Une version d’essai est disponible, avec toutes les fonctionnalités de la version Big Data, gratuitement pendant deux semaines.
BIME profite de cette nouvelle version pour réévaluer le positionnement tarifaire de son offre. La version d’entrée de gamme disparait et le client a maintenant le choix entre la version “Plan de base” qui coûte 4560 euros ou 5880 $ par an, pour deux analystes et un nombre illimité de tableaux de bord, et la version “Big Data” qui inclut en plus l’accès à Big Query, Redshift, Vertica et Vectorwise et coûte 6360 euros ou 8280 $ par an toujours pour deux utilisateurs et un nombre illimité de tableaux de bord. Une version d’essai est disponible, avec toutes les fonctionnalités de la version Big Data, gratuitement pendant deux semaines.