Kofax®, un des principaux fournisseurs de logiciels d'automatisation intelligente pour la transformation digitale, dévoile les résultats de la 3ème partie de son étude comparative sur l'automatisation intelligente, réalisée par Forrester Consulting. Alors que la pandémie mondiale pousse les organisations à accélérer la transformation numérique, les chefs d'entreprise doivent plus que jamais décider quels projets d'automatisation financer. Selon l'étude, l'automatisation de flux comprenant le traitement intelligent des documents, l'orchestration des processus et les systèmes connectés permet d'obtenir le meilleur retour sur investissement.
« Pour rester performantes et compétitives, les entreprises investissent massivement dans des plateformes d'automatisation « low code » pour transformer leurs opérations internes et les interactions clients », explique Chris Huff, directeur de la stratégie chez Kofax. « Pour bénéficier des avantages de l'automatisation, les entreprises qui tireront leur épingle du jeu, mettront l'accent sur les résultats et les expériences visant à augmenter les capacités organisationnelles, à stimuler l'efficacité opérationnelle, à faire monter en compétences leurs équipes et à améliorer l'expérience client».
Interrogés sur le classement des cas d'usage des technologies d'automatisation par ordre d'importance au sein de leur entreprise, les répondants ont cité ceux qui comportent le traitement intelligent des documents. Il s'agit des processus qui ingèrent, classifient et extraient des données non structurées à partir de documents et d'autres sources, et qui transforment ces informations en données exploitables pour un traitement ultérieur. Le top 3 des technologies qui, par définition, nécessitent le traitement intelligent des documents, sont (selon le classement communiqué par les dirigeants européens) :
L'automatisation robotisée des processus (RPA) :
· En termes de taux d'utilisation : En Allemagne, 68% de dirigeants ont déclaré utiliser la RPA, contre 60% au Royaume-Uni, 52% en France et 48% en Suède. Dans tous les pays sondés, on compte 61% d'entreprises utilisatrices de la RPA.
· Par ordre d'importance : la RPA se trouve en tête du classement en : Allemagne pour 50% des répondants, pour 34% au Royaume-Uni, 30% en France et en Suède 26%.
L'intelligence artificielle/Machine learning :
· En termes de taux d'utilisation : 48% de dirigeants allemandsrecourent à cette technologie, contre 46%dans les entreprises françaises. Au coude à coude sont les dirigeants britanniques avec 36% et leurs homologues suédois avec 34%. Dans tous les pays sondés, on compte 43% d'entreprises utilisatrices de l'IA ou du machine learning.
· Par ordre d'importance : Tout comme la RPA, c'est une technologie qui est classée au premier rang par tous les dirigeants européens : France 32%, Allemagne 22%, Suède 18% et Royaume-Uni 16%.
L'automatisation digitale des processus :
· En termes de taux d'utilisation : Au Royaume Uni, 54% des entreprises britanniques l'utilisent, contre 52% des entreprises en France. En Allemagne, le taux d'utilisation est de 36%, contre 26% en Suède. Dans tous les pays sondés, on compte 40% d'entreprises utilisatrices de l'automatisation digitale des processus.
· Par ordre d'importance :Au Royaume Uni et en Suède sa première position est incontestable avec 20% de répondants britanniques et 14% de répondants suédois. Même si cette technologie est largement répandue, son importance paraît moindre en France et en Allemagne. Elle est classée au 2e rang par 24% de dirigeants français contre 22% qui lui accordent la première place. En Allemagne, seulement 10% de dirigeants la placent au premier rang, alors qu'ils sont 22% à la classer en deuxième position.
Les personnes interrogées ont également déclaré privilégier les fonctionnalités d'automatisation axées sur l'orchestration des processus afin d'assurer une gestion continue et efficace de la main-d'œuvre numérique. Les principaux besoins en matière d'orchestration des processus cités sont :
· L'atténuation des perturbations des processus automatisés dues aux changements dans les applications et les systèmes sous-jacents avec lesquels l'automatisation interagit -Royaume-Uni 40%, Allemagne 38%, France 36% et Suède 28%- contre 35% des répondants au niveau global ;
· La centralisation des analyses qui portent sur la productivité de la main-d'œuvre numérique et sur toutes les technologies de l'automatisation déployées, y compris son utilisation dans l'entreprise -Suède 32%, France 30%, Royaume-Uni 30%, Allemagne 28% - contre 28% des répondants au niveau global ;
· La possibilité d'orchestrer de manière centralisée les solutions de plusieurs fournisseurs -Suède 22%, Royaume-Uni 22%, Allemagne 18%, France 14 % - contre 20% des répondants au niveau global.
Les responsables interrogés donnent également la priorité aux processus qui dépendent de systèmes connectés - la capacité à connecter les personnes, les travailleurs numériques, les systèmes, les données et les applications, notamment :
· 54 % des décideurs préfèrent les plateformes d'automatisation s'intégrant avec des solutions complémentaires pré-intégrées entre elles et/ou des solutions externes ;
· Pour 44% de dirigeants en Suède et au Royaume-Uni, 38% en France et 36% en Allemagne (61% au niveau global) il est important que le fournisseur de technologie possède une robuste stratégie pour son écosystème (c-à-d. existence d'une marketplace et/ou d'une communauté).
Interrogés sur les types spécifiques de processus que les répondants automatisent, les cas d'utilisation se répartissent en trois catégories principales : parcours clients, finances et opérations.Parmi les exemples de processus métier issus de ces catégories, on retrouve : l'automatisation des factures, l'automatisation des processus de la comptabilité fournisseurs, l'adhésion clients, le traitement des demandes de prêts...
Méthodologie :
L'étude Intelligent Automation Benchmark Study de Kofax est basée sur une enquête menée en 2020 auprès de 450 décideurs en matière d'automatisation et d'IA, et de 450 contributeurs individuels en Amérique du Nord, en Australie, en France, en Allemagne, à Hong Kong, au Japon, à Singapour, en Suède et au Royaume-Uni. Elle donne un aperçu de l'état actuel de l'automatisation des entreprises.
« Pour rester performantes et compétitives, les entreprises investissent massivement dans des plateformes d'automatisation « low code » pour transformer leurs opérations internes et les interactions clients », explique Chris Huff, directeur de la stratégie chez Kofax. « Pour bénéficier des avantages de l'automatisation, les entreprises qui tireront leur épingle du jeu, mettront l'accent sur les résultats et les expériences visant à augmenter les capacités organisationnelles, à stimuler l'efficacité opérationnelle, à faire monter en compétences leurs équipes et à améliorer l'expérience client».
Interrogés sur le classement des cas d'usage des technologies d'automatisation par ordre d'importance au sein de leur entreprise, les répondants ont cité ceux qui comportent le traitement intelligent des documents. Il s'agit des processus qui ingèrent, classifient et extraient des données non structurées à partir de documents et d'autres sources, et qui transforment ces informations en données exploitables pour un traitement ultérieur. Le top 3 des technologies qui, par définition, nécessitent le traitement intelligent des documents, sont (selon le classement communiqué par les dirigeants européens) :
L'automatisation robotisée des processus (RPA) :
· En termes de taux d'utilisation : En Allemagne, 68% de dirigeants ont déclaré utiliser la RPA, contre 60% au Royaume-Uni, 52% en France et 48% en Suède. Dans tous les pays sondés, on compte 61% d'entreprises utilisatrices de la RPA.
· Par ordre d'importance : la RPA se trouve en tête du classement en : Allemagne pour 50% des répondants, pour 34% au Royaume-Uni, 30% en France et en Suède 26%.
L'intelligence artificielle/Machine learning :
· En termes de taux d'utilisation : 48% de dirigeants allemandsrecourent à cette technologie, contre 46%dans les entreprises françaises. Au coude à coude sont les dirigeants britanniques avec 36% et leurs homologues suédois avec 34%. Dans tous les pays sondés, on compte 43% d'entreprises utilisatrices de l'IA ou du machine learning.
· Par ordre d'importance : Tout comme la RPA, c'est une technologie qui est classée au premier rang par tous les dirigeants européens : France 32%, Allemagne 22%, Suède 18% et Royaume-Uni 16%.
L'automatisation digitale des processus :
· En termes de taux d'utilisation : Au Royaume Uni, 54% des entreprises britanniques l'utilisent, contre 52% des entreprises en France. En Allemagne, le taux d'utilisation est de 36%, contre 26% en Suède. Dans tous les pays sondés, on compte 40% d'entreprises utilisatrices de l'automatisation digitale des processus.
· Par ordre d'importance :Au Royaume Uni et en Suède sa première position est incontestable avec 20% de répondants britanniques et 14% de répondants suédois. Même si cette technologie est largement répandue, son importance paraît moindre en France et en Allemagne. Elle est classée au 2e rang par 24% de dirigeants français contre 22% qui lui accordent la première place. En Allemagne, seulement 10% de dirigeants la placent au premier rang, alors qu'ils sont 22% à la classer en deuxième position.
Les personnes interrogées ont également déclaré privilégier les fonctionnalités d'automatisation axées sur l'orchestration des processus afin d'assurer une gestion continue et efficace de la main-d'œuvre numérique. Les principaux besoins en matière d'orchestration des processus cités sont :
· L'atténuation des perturbations des processus automatisés dues aux changements dans les applications et les systèmes sous-jacents avec lesquels l'automatisation interagit -Royaume-Uni 40%, Allemagne 38%, France 36% et Suède 28%- contre 35% des répondants au niveau global ;
· La centralisation des analyses qui portent sur la productivité de la main-d'œuvre numérique et sur toutes les technologies de l'automatisation déployées, y compris son utilisation dans l'entreprise -Suède 32%, France 30%, Royaume-Uni 30%, Allemagne 28% - contre 28% des répondants au niveau global ;
· La possibilité d'orchestrer de manière centralisée les solutions de plusieurs fournisseurs -Suède 22%, Royaume-Uni 22%, Allemagne 18%, France 14 % - contre 20% des répondants au niveau global.
Les responsables interrogés donnent également la priorité aux processus qui dépendent de systèmes connectés - la capacité à connecter les personnes, les travailleurs numériques, les systèmes, les données et les applications, notamment :
· 54 % des décideurs préfèrent les plateformes d'automatisation s'intégrant avec des solutions complémentaires pré-intégrées entre elles et/ou des solutions externes ;
· Pour 44% de dirigeants en Suède et au Royaume-Uni, 38% en France et 36% en Allemagne (61% au niveau global) il est important que le fournisseur de technologie possède une robuste stratégie pour son écosystème (c-à-d. existence d'une marketplace et/ou d'une communauté).
Interrogés sur les types spécifiques de processus que les répondants automatisent, les cas d'utilisation se répartissent en trois catégories principales : parcours clients, finances et opérations.Parmi les exemples de processus métier issus de ces catégories, on retrouve : l'automatisation des factures, l'automatisation des processus de la comptabilité fournisseurs, l'adhésion clients, le traitement des demandes de prêts...
Méthodologie :
L'étude Intelligent Automation Benchmark Study de Kofax est basée sur une enquête menée en 2020 auprès de 450 décideurs en matière d'automatisation et d'IA, et de 450 contributeurs individuels en Amérique du Nord, en Australie, en France, en Allemagne, à Hong Kong, au Japon, à Singapour, en Suède et au Royaume-Uni. Elle donne un aperçu de l'état actuel de l'automatisation des entreprises.