Asco, société belge spécialisée depuis près de soixante ans dans la fabrication de pièces et de matériaux pour l’industrie aéronautique choisit un supercalculateur bullx pour réaliser ses simulations.
Pour ses projets commerciaux et de R&D destinés à l’industrie aéronautique, le bureau d’étude d’Asco doit effectuer des calculs extrêmement complexes. Depuis quelques années, cette puissance de calcul n’était plus suffisante. “Certains calculs prenaient plus de 20 heures,” rappelle Marc Mineur, Group Leader Stress Engineering chez Asco. “La configuration existante ne permettait pas non plus de lancer des calculs à distance, par exemple depuis le site d’un partenaire ou d’un client.”
La plateforme bullx de Bull a été choisie par Asco pour sa performance et son efficacité.
“Nous voulions une puissance de calcul suffisante, mais pas surdimensionnée pour autant. A cet égard, la modularité de bullx constitue un atout indéniable», ajoute-t-il. Asco a également été fort impressionné par la connaissance sectorielle de Bull –Sonaca et Cenaero, deux entreprises Belges du secteur aéronautique ont, elles aussi, choisi des solutions Bull.
L’installation et la maintenance de bullx sont prises en charge par Serviware, la filiale de Bull spécialisée dans les solutions HPC.
Une part importante des calculs s’effectue désormais trois fois plus vite qu’avant. Asco a pu également réaliser des simulations que l’ancienne machine ne permettait pas de faire (par exemple, déterminer l’impact d’une collision avec un oiseau sur une des pièces de l’avion) .
« Nous sommes ravis de la confiance d’Asco pour notre supercalculateur bullx. Cela témoigne de la pertinence de notre offre pour le secteur aéronautique dont les besoins en puissance de calcul sont exponentiels », se félicite Saskia Van Uffelen, CEO de Bull Belgique.
La configuration bullx est actuellement pourvue de 4 CPU (avec 12 GB de RAM et 2 disques externes de 300 GB) pour la gestion des calculs, plus 16 CPU (avec 48 GB de RAM, 256 GB d’espace de stockage SSD et 5 disques SSD scratch supplémentaires de 256 GB chacun) pour l’exécution des calculs. L’ensemble tourne sous RedHat Linux.
« Pour l’instant, nous disposons d’une puissance de calcul suffisante, mais nous pourrons facilement l’augmenter si nous étoffons notre équipe d’ingénierie », conclut Marc Mineur.
Pour ses projets commerciaux et de R&D destinés à l’industrie aéronautique, le bureau d’étude d’Asco doit effectuer des calculs extrêmement complexes. Depuis quelques années, cette puissance de calcul n’était plus suffisante. “Certains calculs prenaient plus de 20 heures,” rappelle Marc Mineur, Group Leader Stress Engineering chez Asco. “La configuration existante ne permettait pas non plus de lancer des calculs à distance, par exemple depuis le site d’un partenaire ou d’un client.”
La plateforme bullx de Bull a été choisie par Asco pour sa performance et son efficacité.
“Nous voulions une puissance de calcul suffisante, mais pas surdimensionnée pour autant. A cet égard, la modularité de bullx constitue un atout indéniable», ajoute-t-il. Asco a également été fort impressionné par la connaissance sectorielle de Bull –Sonaca et Cenaero, deux entreprises Belges du secteur aéronautique ont, elles aussi, choisi des solutions Bull.
L’installation et la maintenance de bullx sont prises en charge par Serviware, la filiale de Bull spécialisée dans les solutions HPC.
Une part importante des calculs s’effectue désormais trois fois plus vite qu’avant. Asco a pu également réaliser des simulations que l’ancienne machine ne permettait pas de faire (par exemple, déterminer l’impact d’une collision avec un oiseau sur une des pièces de l’avion) .
« Nous sommes ravis de la confiance d’Asco pour notre supercalculateur bullx. Cela témoigne de la pertinence de notre offre pour le secteur aéronautique dont les besoins en puissance de calcul sont exponentiels », se félicite Saskia Van Uffelen, CEO de Bull Belgique.
La configuration bullx est actuellement pourvue de 4 CPU (avec 12 GB de RAM et 2 disques externes de 300 GB) pour la gestion des calculs, plus 16 CPU (avec 48 GB de RAM, 256 GB d’espace de stockage SSD et 5 disques SSD scratch supplémentaires de 256 GB chacun) pour l’exécution des calculs. L’ensemble tourne sous RedHat Linux.
« Pour l’instant, nous disposons d’une puissance de calcul suffisante, mais nous pourrons facilement l’augmenter si nous étoffons notre équipe d’ingénierie », conclut Marc Mineur.
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