Eric Leblanc, Directeur Région EMEA Sud et Ouest, chez Silver Peak
Comprendre les enjeux du big data pour mieux l’appréhender
Face à un tel constat, les entreprises doivent impérativement comprendre que les quantités massives de données ne peuvent plus être gérées à travers des structures classiques d’analyse. Selon l’étude WAN Acceleration Fast-Tracks Data Protection And Disaster Recovery, réalisée par Forrester Consulting en février 2013 pour Silver Peak, 65 % des entreprises gèrent un volume de données supérieur à 100 To sur l’ensemble de leur périmètre. Un volume supérieur au péta-octet pour 39% du panel.
Aujourd’hui, la virtualisation est en phase de devenir une priorité pour un grand nombre d’organisations non seulement en raison des économies significatives qu’elle permet mais également pour l’efficacité organisationnelle et la flexibilité qu’elle offre. Cependant, elles sont encore nombreuses à ignorer la pression croissante que le Cloud et la virtualisation infligent aux réseaux sous-jacents.
La priorité est de stabiliser l’infrastructure réseau
Dans un premier temps, afin d’optimiser la gestion des données (big data), il est essentiel que les entreprises commencent par stabiliser leur infrastructure réseau. Sans cette mesure, elles risquent de subir des latences, des insuffisances de bande passante mais également une mauvaise qualité de réseau ce qui risquerait de compromettre l’investissement tout entier. Le choix d’une approche centrée sur le réseau et l’optimisation du WAN, permettrait aux entreprises d’atteindre une extensibilité maximum. Elle leur apporterait également la flexibilité nécessaire pour soutenir le volume de données croissant qui traverse le réseau et surmonter ainsi les problèmes de bande passante, de distance et de qualité qui affectent ces environnements et perturbent la performance. Par conséquent, cette amélioration est cruciale si une organisation souhaite bénéficier pleinement de ses investissements dans le Cloud et la virtualisation.
SDN, l’architecture de demain
Par ailleurs, à propos du SDN (Software Defined Networks), il n’est pas étonnant qu’il soit confronté à un démarrage lent puisqu’il représente un véritable changement destiné à transformer l’industrie. Néanmoins, les logiciels restent la solution de demain car il s’agit de la seule manière d’évoluer dans un monde de l’instantanéité qui nécessite une réponse rapide au « n’importe quand, n’importe où » qui ne cesse de croître.
Face à un tel constat, les entreprises doivent impérativement comprendre que les quantités massives de données ne peuvent plus être gérées à travers des structures classiques d’analyse. Selon l’étude WAN Acceleration Fast-Tracks Data Protection And Disaster Recovery, réalisée par Forrester Consulting en février 2013 pour Silver Peak, 65 % des entreprises gèrent un volume de données supérieur à 100 To sur l’ensemble de leur périmètre. Un volume supérieur au péta-octet pour 39% du panel.
Aujourd’hui, la virtualisation est en phase de devenir une priorité pour un grand nombre d’organisations non seulement en raison des économies significatives qu’elle permet mais également pour l’efficacité organisationnelle et la flexibilité qu’elle offre. Cependant, elles sont encore nombreuses à ignorer la pression croissante que le Cloud et la virtualisation infligent aux réseaux sous-jacents.
La priorité est de stabiliser l’infrastructure réseau
Dans un premier temps, afin d’optimiser la gestion des données (big data), il est essentiel que les entreprises commencent par stabiliser leur infrastructure réseau. Sans cette mesure, elles risquent de subir des latences, des insuffisances de bande passante mais également une mauvaise qualité de réseau ce qui risquerait de compromettre l’investissement tout entier. Le choix d’une approche centrée sur le réseau et l’optimisation du WAN, permettrait aux entreprises d’atteindre une extensibilité maximum. Elle leur apporterait également la flexibilité nécessaire pour soutenir le volume de données croissant qui traverse le réseau et surmonter ainsi les problèmes de bande passante, de distance et de qualité qui affectent ces environnements et perturbent la performance. Par conséquent, cette amélioration est cruciale si une organisation souhaite bénéficier pleinement de ses investissements dans le Cloud et la virtualisation.
SDN, l’architecture de demain
Par ailleurs, à propos du SDN (Software Defined Networks), il n’est pas étonnant qu’il soit confronté à un démarrage lent puisqu’il représente un véritable changement destiné à transformer l’industrie. Néanmoins, les logiciels restent la solution de demain car il s’agit de la seule manière d’évoluer dans un monde de l’instantanéité qui nécessite une réponse rapide au « n’importe quand, n’importe où » qui ne cesse de croître.