John Rauscher présente Savvy for Qlik
Des cartes, beaucoup de cartes
C’est, semble-t-il, le principal créneau de développement d’applications complémentaires de Qlik. Pas moins de sept éditeurs de logiciels de cartographie proposaient une solution connectée à la plate-forme Qlik.
Il s’agissait de :
- US Geomarket
- Idevio
- Analytics8 qui propose QlikMaps
- Articque
- CartoDB
- MapLarge
- GeoQlik
S’il y a un tel besoin de cartographie complémentaire à ce que propose Qlik, cela pourrait être une opportunité pour l’éditeur de renforcer son offre dans ce domaine. Lequel sera choisi et fera l’objet d’une acquisition ? Et quels seront alors les autres déçus...
Peu de place au Data Storytelling
Fervent défenseur du pouvoir du storytelling appliqué aux données, je me suis senti un peu seul à défendre l’intérêt de cette discipline, la mise en récit des données.
Seul Narrative Science semble vouloir me soutenir dans ma démarche.
Mais la nouvelle solution de Yseop pourrait apporter un nouvel éclairage au sujet. En effet, raconter une histoire, peut se faire par oral ou par écrit. Et si l’on inventait un outil pour automatiser l’écriture d’une histoire… c’est ce que Yseop annonce.
Pour John Raucher, fondateur de Yseop, le texte serait tout simplement la nouvelle forme de représentation de la donnée. En premier vint le chiffre, sous forme de tableaux, puis le graphique; et le texte, généré automatiquement pour commenter les deux précédents, serait la prochaine étape. Il nous indique d’ailleurs que Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects, aurait fait travailler, sans succès apparemment, pendant quinze ans une équipe sur le sujet.
Le composant Yseop intégré à la plate-forme Qlik est d’ailleurs impressionnant. Vous lui fournissez un graphique, il vous rédige le texte de commentaire ! En anglais ou en français, et le résultat est bluffant. Nous en reparlerons prochainement plus longuement dans Decideo.
Plus de femmes que chez SAP, mais moins que chez Tableau
Désolé par avance pour les féministes qui s’insurgeraient de cette comparaison, mais la seule vision d’une piste de danse lors d’une soirée d’une conférence IBM vous convaincra que l’indicateur « pourcentage de femmes vs hommes » est un indicateur, imparfait, mais un indicateur tout de même, du profil des clients de l’éditeur en question. Les départements informatiques étant essentiellement masculins - et ce n’est pas un jugement de valeur, mais un constatation statistique - plus un éditeur est choisi par des utilisateurs dans les domaines du marketing, des ventes, de la gestion, plus la proportion de femmes dans ses conférences utilisateurs est importante. Sans analyse scientifique, Tableau semble très en avance sur ce point, mais Qlik m’a positivement surpris. On est encore loin de l’égalité, mais les outils Qlik semblent bien utilisés par des utilisateurs dits « métiers » et donc moins marqués par la masculinité.
C’est, semble-t-il, le principal créneau de développement d’applications complémentaires de Qlik. Pas moins de sept éditeurs de logiciels de cartographie proposaient une solution connectée à la plate-forme Qlik.
Il s’agissait de :
- US Geomarket
- Idevio
- Analytics8 qui propose QlikMaps
- Articque
- CartoDB
- MapLarge
- GeoQlik
S’il y a un tel besoin de cartographie complémentaire à ce que propose Qlik, cela pourrait être une opportunité pour l’éditeur de renforcer son offre dans ce domaine. Lequel sera choisi et fera l’objet d’une acquisition ? Et quels seront alors les autres déçus...
Peu de place au Data Storytelling
Fervent défenseur du pouvoir du storytelling appliqué aux données, je me suis senti un peu seul à défendre l’intérêt de cette discipline, la mise en récit des données.
Seul Narrative Science semble vouloir me soutenir dans ma démarche.
Mais la nouvelle solution de Yseop pourrait apporter un nouvel éclairage au sujet. En effet, raconter une histoire, peut se faire par oral ou par écrit. Et si l’on inventait un outil pour automatiser l’écriture d’une histoire… c’est ce que Yseop annonce.
Pour John Raucher, fondateur de Yseop, le texte serait tout simplement la nouvelle forme de représentation de la donnée. En premier vint le chiffre, sous forme de tableaux, puis le graphique; et le texte, généré automatiquement pour commenter les deux précédents, serait la prochaine étape. Il nous indique d’ailleurs que Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects, aurait fait travailler, sans succès apparemment, pendant quinze ans une équipe sur le sujet.
Le composant Yseop intégré à la plate-forme Qlik est d’ailleurs impressionnant. Vous lui fournissez un graphique, il vous rédige le texte de commentaire ! En anglais ou en français, et le résultat est bluffant. Nous en reparlerons prochainement plus longuement dans Decideo.
Plus de femmes que chez SAP, mais moins que chez Tableau
Désolé par avance pour les féministes qui s’insurgeraient de cette comparaison, mais la seule vision d’une piste de danse lors d’une soirée d’une conférence IBM vous convaincra que l’indicateur « pourcentage de femmes vs hommes » est un indicateur, imparfait, mais un indicateur tout de même, du profil des clients de l’éditeur en question. Les départements informatiques étant essentiellement masculins - et ce n’est pas un jugement de valeur, mais un constatation statistique - plus un éditeur est choisi par des utilisateurs dans les domaines du marketing, des ventes, de la gestion, plus la proportion de femmes dans ses conférences utilisateurs est importante. Sans analyse scientifique, Tableau semble très en avance sur ce point, mais Qlik m’a positivement surpris. On est encore loin de l’égalité, mais les outils Qlik semblent bien utilisés par des utilisateurs dits « métiers » et donc moins marqués par la masculinité.