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S'il existe un domaine dans lequel la donnée joue un rôle majeur dans la transformation digitale, c'est bien la santé. Avec l'adoption des objets connectés et la révolution du machine learning dans le diagnostic médical, les immenses volumes de données collectés doivent permettre d'atteindre le Graal d'une santé personnalisée, préventive et plus participative. Cette exploitation des données peut nettement améliorer la qualité de soins, à condition d'avoir du personnels formée à la culture de la Data.
La datalphabétisation : un facteur de performances
La grande majorité (88 %) des professionnels de santé européens pensent que leur aptitude croissante à lire, exploiter et analyser les données va les aider à mieux accomplir leur travail. Cependant, plus de la moitié (59 %) d'entre eux déclarent devoir faire face à un volume de données aujourd'hui supérieur à ce qu'il était il y a trois ans et un tiers (29 %) admettent se sentir débordés par les données dans leur travail actuel.
« A travers l'Europe, les pouvoirs publics définissent des centaines d'indicateurs de performances pour les soins de santé, allant de la propreté au temps d'attente, en passant par le taux de mortalité et la réduction des coûts », commente David Bolton, VP Industry Solutions de Qlik. « Afin d'améliorer ces indicateurs de performances, il est essentiel de veiller à ce que l'ensemble d'un établissement – de la direction au personnel soignant – ait une bonne compréhension de ces données. Cependant, des défis se présentent lorsque les établissements ont des milliards de données éparpillées sur différents sites. Les responsables doivent donner le bon exemple à leurs employés pour l'utilisation de ces données en les regroupant et en les présentant de manière significative, de sorte qu'elles puissent être correctement assimilées et exploitées au moment des prises de décisions. »
Augmenter l'intelligence dans la santé
Les données bien exploitées peuvent contribuer à rehausser la qualité des soins. Selon David Bolton : « En première ligne, les médecins et les infirmier(e)s font un travail naturel d'analystes, évaluant les symptômes afin de diagnostiquer l'état des patients et de prescrire des traitements et procédures. En améliorant leur capacité de puiser dans un plus grand nombre de sources de données internes et externes, ils pourront gagner en confiance dans leurs décisions, en s'appuyant non seulement sur leur expérience et leur formation médicale mais aussi sur des résultats concrets obtenus auprès des patients. Ces données peuvent par exemple faire apparaître une autre procédure ayant fait ses preuves à l'autre bout du monde, en réduisant la durée d'hospitalisation et le risque de réadmission. »
Entretenir une culture axée sur les données
L'importance de cette « Data Literacy » – l'aptitude à comprendre et utiliser les données – n'est pas passée inaperçue chez les employés européens du secteur, dont plus de la moitié (57 %) se disent prêts à consacrer plus de temps et d'énergie à améliorer leurs compétences dans ce domaine. Cependant, seuls 48 % pensent avoir la formation adéquate pour pouvoir lire, exploiter et analyser les données. En outre, 42 % estiment ne pas avoir accès à toutes les données nécessaires pour accomplir leur travail dans les meilleures conditions possibles.
Quelques établissements de santé ont déjà commencé à adopter des outils permettant à leurs collaborateurs de comprendre et d'exploiter les données et les retours sont plus qu'encourageants :
« Notre nouveau système décisionnel nous donne une vision prospective qui va bien au-delà du simple reporting et nous procure une très bonne qualité d'échange et de communication à tous les niveaux et pour tous les acteurs. Les professionnels de santé peuvent ainsi analyser les actes et définir les meilleurs parcours de soins » Christian Viallon, Directeur Opérationnel, Ressourcial
Méthodologie de l'enquête
L'enquête a été réalisée par Censuswide, pour le compte de Qlik, auprès de 5291 employés à plein temps dans des établissements de plus de 50 salariés ainsi que 271 membres de leur direction, au Royaume-Uni, ainsi qu'en France, Allemagne, Espagne et Suède, du 24 août au 14 septembre 2017. 401 de ces participants appartiennent au secteur de la santé. Censuswide respecte les règles et emploie des membres de la Market Research Society, qui s'appuie sur les principes ESOMAR.
La datalphabétisation : un facteur de performances
La grande majorité (88 %) des professionnels de santé européens pensent que leur aptitude croissante à lire, exploiter et analyser les données va les aider à mieux accomplir leur travail. Cependant, plus de la moitié (59 %) d'entre eux déclarent devoir faire face à un volume de données aujourd'hui supérieur à ce qu'il était il y a trois ans et un tiers (29 %) admettent se sentir débordés par les données dans leur travail actuel.
« A travers l'Europe, les pouvoirs publics définissent des centaines d'indicateurs de performances pour les soins de santé, allant de la propreté au temps d'attente, en passant par le taux de mortalité et la réduction des coûts », commente David Bolton, VP Industry Solutions de Qlik. « Afin d'améliorer ces indicateurs de performances, il est essentiel de veiller à ce que l'ensemble d'un établissement – de la direction au personnel soignant – ait une bonne compréhension de ces données. Cependant, des défis se présentent lorsque les établissements ont des milliards de données éparpillées sur différents sites. Les responsables doivent donner le bon exemple à leurs employés pour l'utilisation de ces données en les regroupant et en les présentant de manière significative, de sorte qu'elles puissent être correctement assimilées et exploitées au moment des prises de décisions. »
Augmenter l'intelligence dans la santé
Les données bien exploitées peuvent contribuer à rehausser la qualité des soins. Selon David Bolton : « En première ligne, les médecins et les infirmier(e)s font un travail naturel d'analystes, évaluant les symptômes afin de diagnostiquer l'état des patients et de prescrire des traitements et procédures. En améliorant leur capacité de puiser dans un plus grand nombre de sources de données internes et externes, ils pourront gagner en confiance dans leurs décisions, en s'appuyant non seulement sur leur expérience et leur formation médicale mais aussi sur des résultats concrets obtenus auprès des patients. Ces données peuvent par exemple faire apparaître une autre procédure ayant fait ses preuves à l'autre bout du monde, en réduisant la durée d'hospitalisation et le risque de réadmission. »
Entretenir une culture axée sur les données
L'importance de cette « Data Literacy » – l'aptitude à comprendre et utiliser les données – n'est pas passée inaperçue chez les employés européens du secteur, dont plus de la moitié (57 %) se disent prêts à consacrer plus de temps et d'énergie à améliorer leurs compétences dans ce domaine. Cependant, seuls 48 % pensent avoir la formation adéquate pour pouvoir lire, exploiter et analyser les données. En outre, 42 % estiment ne pas avoir accès à toutes les données nécessaires pour accomplir leur travail dans les meilleures conditions possibles.
Quelques établissements de santé ont déjà commencé à adopter des outils permettant à leurs collaborateurs de comprendre et d'exploiter les données et les retours sont plus qu'encourageants :
« Notre nouveau système décisionnel nous donne une vision prospective qui va bien au-delà du simple reporting et nous procure une très bonne qualité d'échange et de communication à tous les niveaux et pour tous les acteurs. Les professionnels de santé peuvent ainsi analyser les actes et définir les meilleurs parcours de soins » Christian Viallon, Directeur Opérationnel, Ressourcial
Méthodologie de l'enquête
L'enquête a été réalisée par Censuswide, pour le compte de Qlik, auprès de 5291 employés à plein temps dans des établissements de plus de 50 salariés ainsi que 271 membres de leur direction, au Royaume-Uni, ainsi qu'en France, Allemagne, Espagne et Suède, du 24 août au 14 septembre 2017. 401 de ces participants appartiennent au secteur de la santé. Censuswide respecte les règles et emploie des membres de la Market Research Society, qui s'appuie sur les principes ESOMAR.