Les technologies novatrices d’EMC Corporation permettront à l’équipe canadienne de chercheurs ayant participé au projet international de cartographie cérébrale BigBrain d’intensifier ses efforts visant à mettre au point des cartes du cerveau dotées d’une résolution inégalée.
McGill mettra sur pied un centre de recherche et développement qui servira de banc d’essai pour l’adaptation de la plateforme de stockage évolutive NAS d’EMC Isilon pour de puissantes technologies de visualisation et de stockage des données afin qu’elles répondent aux besoins complexes des spécialistes en neurosciences de pointe.
« Exploitées par l’Université McGill, les technologies de nouvelle génération d’EMC permettront aux chercheurs dans le domaine des soins de santé et des sciences de la vie de disposer d’outils perfectionnés et adaptables pour le stockage, la protection, le partage et l’analyse de leur atout le plus précieux : l’information », affirme Mike Sharun, directeur d’EMC Corporation pour le Canada. « Les travaux de recherche soutenus par la technologie d’EMC auront une valeur inestimable pour les prestateurs de soins de santé partout dans le monde. »
Les experts font face à un défi de taille lorsqu’ils cherchent à mieux comprendre l’organisation du cerveau, car cette structure complexe compte quelque 100 milliards de neurones et 1 000 trillions de connexions neuronales (10 000 par neurone) présidant à tous nos actes et pensées. Or, il importe de bien comprendre le fonctionnement du cerveau pour que les résultats de la recherche en neurosciences aient une incidence sur la pratique clinique et les politiques de santé publique dans le but ultime d’améliorer la santé cérébrale.
« Un seul ensemble de données à haute résolution pour un cerveau complet exige maintenant plus de 200 téraoctets d’espace disque pour les données brutes seulement », affirme Alan Evans, expert en imagerie cérébrale à McGill qui a travaillé en collaboration avec des scientifiques européens pour concevoir l’atlas en 3D du cerveau baptisé BigBrain. « Ce projet a nécessité le traitement de données pendant de nombreuses années par des superordinateurs au Canada et en Allemagne. Or, de récentes avancées en informatique permettent maintenant d’obtenir des images du cerveau dotées d’une résolution encore jamais vue. »
Un réseau mondial de partage des données pour la recherche sur le cerveau
« Les technologies de visualisation et de stockage des données conçues par EMC nous aideront à propulser l’imagerie cérébrale vers de nouveaux sommets de précision – un peu comme si nous passions des bonnes vieilles cartes routières à Google Earth », explique Alan Evans. « Nous bâtissons également un réseau mondial de partage des données pour la recherche sur le cerveau qui exige d’énormes ressources pour le stockage et le traitement des données. L’appui technologique d’EMC permettra au Canada de jouer un rôle de premier plan au sein de ce réseau mondial en pleine croissance. »
Soutenir la recherche sur le cerveau partout au Canada
La collaboration qu’apportera EMC à McGill permettra également de stimuler la recherche sur le cerveau partout au Canada. McGill est l’hôte de CBRAIN, une plateforme de calcul haute performance servant de portail au réseau de processeurs de Calcul Canada situés dans des établissements de recherche aux quatre coins du pays. Grâce à la technologie de la plateforme de stockage évolutive NAS d’EMC Isilon, l’infrastructure EMC-McGill sera intégrée à ce réseau comptant plus de 400 utilisateurs en Amérique, en Europe et en Asie qui œuvrent dans le domaine de la recherche sur la maladie d’Alzheimer et d’autres affections.
Le Neuropôle permettra de créer des liens précieux avec des chercheurs sur le cerveau aux États-Unis, en Europe, en Chine et en Amérique latine. Il sera en outre utilisé par des neuroscientifiques appelés à analyser et à traiter divers types de données sur le cerveau – dont des données génétiques, des données d’imagerie, des échantillons de tissus et des évaluations comportementales.
« McGill est fière de franchir cet important nouveau jalon en collaboration avec EMC Canada », affirme la Dre Rosie Goldstein, vice-principale (recherche et innovation), à l’Université McGill. « Grâce aux technologies hautement spécialisées et à la capture ultrarapide des données offertes par le Neuropôle, les chercheurs pourront mieux comprendre les maladies qu’ils étudient et prévoir les résultats des traitements. Nous sommes persuadés que cette remarquable collaboration entre EMC Canada et les chercheurs de McGill dans diverses disciplines se traduira par des résultats probants. »
McGill mettra sur pied un centre de recherche et développement qui servira de banc d’essai pour l’adaptation de la plateforme de stockage évolutive NAS d’EMC Isilon pour de puissantes technologies de visualisation et de stockage des données afin qu’elles répondent aux besoins complexes des spécialistes en neurosciences de pointe.
« Exploitées par l’Université McGill, les technologies de nouvelle génération d’EMC permettront aux chercheurs dans le domaine des soins de santé et des sciences de la vie de disposer d’outils perfectionnés et adaptables pour le stockage, la protection, le partage et l’analyse de leur atout le plus précieux : l’information », affirme Mike Sharun, directeur d’EMC Corporation pour le Canada. « Les travaux de recherche soutenus par la technologie d’EMC auront une valeur inestimable pour les prestateurs de soins de santé partout dans le monde. »
Les experts font face à un défi de taille lorsqu’ils cherchent à mieux comprendre l’organisation du cerveau, car cette structure complexe compte quelque 100 milliards de neurones et 1 000 trillions de connexions neuronales (10 000 par neurone) présidant à tous nos actes et pensées. Or, il importe de bien comprendre le fonctionnement du cerveau pour que les résultats de la recherche en neurosciences aient une incidence sur la pratique clinique et les politiques de santé publique dans le but ultime d’améliorer la santé cérébrale.
« Un seul ensemble de données à haute résolution pour un cerveau complet exige maintenant plus de 200 téraoctets d’espace disque pour les données brutes seulement », affirme Alan Evans, expert en imagerie cérébrale à McGill qui a travaillé en collaboration avec des scientifiques européens pour concevoir l’atlas en 3D du cerveau baptisé BigBrain. « Ce projet a nécessité le traitement de données pendant de nombreuses années par des superordinateurs au Canada et en Allemagne. Or, de récentes avancées en informatique permettent maintenant d’obtenir des images du cerveau dotées d’une résolution encore jamais vue. »
Un réseau mondial de partage des données pour la recherche sur le cerveau
« Les technologies de visualisation et de stockage des données conçues par EMC nous aideront à propulser l’imagerie cérébrale vers de nouveaux sommets de précision – un peu comme si nous passions des bonnes vieilles cartes routières à Google Earth », explique Alan Evans. « Nous bâtissons également un réseau mondial de partage des données pour la recherche sur le cerveau qui exige d’énormes ressources pour le stockage et le traitement des données. L’appui technologique d’EMC permettra au Canada de jouer un rôle de premier plan au sein de ce réseau mondial en pleine croissance. »
Soutenir la recherche sur le cerveau partout au Canada
La collaboration qu’apportera EMC à McGill permettra également de stimuler la recherche sur le cerveau partout au Canada. McGill est l’hôte de CBRAIN, une plateforme de calcul haute performance servant de portail au réseau de processeurs de Calcul Canada situés dans des établissements de recherche aux quatre coins du pays. Grâce à la technologie de la plateforme de stockage évolutive NAS d’EMC Isilon, l’infrastructure EMC-McGill sera intégrée à ce réseau comptant plus de 400 utilisateurs en Amérique, en Europe et en Asie qui œuvrent dans le domaine de la recherche sur la maladie d’Alzheimer et d’autres affections.
Le Neuropôle permettra de créer des liens précieux avec des chercheurs sur le cerveau aux États-Unis, en Europe, en Chine et en Amérique latine. Il sera en outre utilisé par des neuroscientifiques appelés à analyser et à traiter divers types de données sur le cerveau – dont des données génétiques, des données d’imagerie, des échantillons de tissus et des évaluations comportementales.
« McGill est fière de franchir cet important nouveau jalon en collaboration avec EMC Canada », affirme la Dre Rosie Goldstein, vice-principale (recherche et innovation), à l’Université McGill. « Grâce aux technologies hautement spécialisées et à la capture ultrarapide des données offertes par le Neuropôle, les chercheurs pourront mieux comprendre les maladies qu’ils étudient et prévoir les résultats des traitements. Nous sommes persuadés que cette remarquable collaboration entre EMC Canada et les chercheurs de McGill dans diverses disciplines se traduira par des résultats probants. »
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