Un projet d’architecture d’entreprise est trop cher
Rationaliser un portefeuille d’applications réduit le parc applicatif d’environ 3% par an et l’on sait que chaque application coute environ 100 000€ (1). Une entreprise dé-duplique souvent une dizaine d’applications dès la première année, soit 1M€ d’économie. Il n’est pas aussi simple de chiffrer les économies réalisées pour un projet métier, mais l’objectif de rationalisation et de transformation étant le même, on peut affirmer que les économies excèdent de loin la facture initiale. L’architecture d’entreprise nécessite un investissement, mais dont le ROI est plus importante.
La réalité : un projet d’architecture d’entreprise n’est pas cher !
L’architecture d’entreprise est trop complexe
Taille, nombre d’employés, organisation, relations entre les métiers eux-mêmes, avec l’informatique, les applications et l’infrastructure… c’est l’entreprise qui est complexe !
Le management par les processus permet de capturer et de diffuser l’information sur tous les projets de l’entreprise, ce qui en simplifie le fonctionnement et le pilotage.
Quant aux frameworks (TOGAF, ArchiMate, BPMN etc.) ils n’ont d’obscur que leurs noms. Ils proposent une méthode pour organiser tous ces éléments et leurs relations, et simplifient alors la tâche des architectes. Ils sont des modèles que chaque entreprise adapte à sa culture, sa politique, sa maturité, sa gouvernance, et ses objectifs stratégiques.
La réalité : l’architecture d’entreprise simplifie l’entreprise !
Mon entreprise n’a pas besoin d’architecture d’entreprise
Toutes les organisations sont devenues digitales et doivent se transformer pour rester compétitives. La structure « légère », des entreprises digitales natives leur permet d’être flexible, mais ce n’est pas le cas des grandes entreprises qui sont plus difficiles à manœuvrer. L’agilité, c’est-à-dire de pouvoir réagir rapidement aux changements, est indispensable à leur transformation. Elles doivent ainsi disposer d’une vue complète sur la façon dont leurs processus apportent de la valeur à l’entreprise. Avec une cartographie des processus, ces entreprises peuvent décider de leur orientation, et identifier les modifications nécessaires.
La réalité : toutes les entreprises ont besoin d’une approche architecture d’entreprise !
L’architecture d’entreprise ne concerne que le département informatique
Les métiers associent l’architecture d’entreprise à l’informatique et la laissent aux informaticiens. Pourtant elle est déterminée par les métiers à qui elle fournit les informations pour prendre des décisions opérationnelles. Tous les métiers sont donc concernés. Par exemple la stratégie, qui fixe les objectifs de l’entreprise et la façon de les réaliser, ne peut pas être performante sans une visibilité complète sur sa chaine de valeur, qui se compose de tous les départements, métiers et informatiques.
La réalité : tous les départements sont concernés par l’architecture d’entreprise !
(1) Selon le rapport de Forrester “The Total Economic Impact™ Of MEGA’s HOPEX Solution for IT Portfolio Management” commisionné par MEGA International
Rationaliser un portefeuille d’applications réduit le parc applicatif d’environ 3% par an et l’on sait que chaque application coute environ 100 000€ (1). Une entreprise dé-duplique souvent une dizaine d’applications dès la première année, soit 1M€ d’économie. Il n’est pas aussi simple de chiffrer les économies réalisées pour un projet métier, mais l’objectif de rationalisation et de transformation étant le même, on peut affirmer que les économies excèdent de loin la facture initiale. L’architecture d’entreprise nécessite un investissement, mais dont le ROI est plus importante.
La réalité : un projet d’architecture d’entreprise n’est pas cher !
L’architecture d’entreprise est trop complexe
Taille, nombre d’employés, organisation, relations entre les métiers eux-mêmes, avec l’informatique, les applications et l’infrastructure… c’est l’entreprise qui est complexe !
Le management par les processus permet de capturer et de diffuser l’information sur tous les projets de l’entreprise, ce qui en simplifie le fonctionnement et le pilotage.
Quant aux frameworks (TOGAF, ArchiMate, BPMN etc.) ils n’ont d’obscur que leurs noms. Ils proposent une méthode pour organiser tous ces éléments et leurs relations, et simplifient alors la tâche des architectes. Ils sont des modèles que chaque entreprise adapte à sa culture, sa politique, sa maturité, sa gouvernance, et ses objectifs stratégiques.
La réalité : l’architecture d’entreprise simplifie l’entreprise !
Mon entreprise n’a pas besoin d’architecture d’entreprise
Toutes les organisations sont devenues digitales et doivent se transformer pour rester compétitives. La structure « légère », des entreprises digitales natives leur permet d’être flexible, mais ce n’est pas le cas des grandes entreprises qui sont plus difficiles à manœuvrer. L’agilité, c’est-à-dire de pouvoir réagir rapidement aux changements, est indispensable à leur transformation. Elles doivent ainsi disposer d’une vue complète sur la façon dont leurs processus apportent de la valeur à l’entreprise. Avec une cartographie des processus, ces entreprises peuvent décider de leur orientation, et identifier les modifications nécessaires.
La réalité : toutes les entreprises ont besoin d’une approche architecture d’entreprise !
L’architecture d’entreprise ne concerne que le département informatique
Les métiers associent l’architecture d’entreprise à l’informatique et la laissent aux informaticiens. Pourtant elle est déterminée par les métiers à qui elle fournit les informations pour prendre des décisions opérationnelles. Tous les métiers sont donc concernés. Par exemple la stratégie, qui fixe les objectifs de l’entreprise et la façon de les réaliser, ne peut pas être performante sans une visibilité complète sur sa chaine de valeur, qui se compose de tous les départements, métiers et informatiques.
La réalité : tous les départements sont concernés par l’architecture d’entreprise !
(1) Selon le rapport de Forrester “The Total Economic Impact™ Of MEGA’s HOPEX Solution for IT Portfolio Management” commisionné par MEGA International
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