Campaign for clear Licensing, une organisation à but non-lucratif basée au Royaume-Uni défendant les droits des acheteurs de logiciels d'entreprise, vient d’exhorter Oracle, dans une lettre ouverte adressée à Larry Ellison et ses collègues, « à prendre des mesures pour améliorer la confiance de ses clients et répondre à leurs préoccupations concernant la stratégie de vendor lock-in de l’éditeur s’il veut que sa stratégie actuelle de faire migrer ses clients vers ses services de cloud computing soit couronnée de succès. »
Selon cette organisation, les motifs de plainte des clients portent sur des demandes d’audit souvent floues et auxquelles il est difficile de répondre : même les services de gestion des licences fournis par Oracle s’avèrent en grande partie inutile lors de ces audits.
Par ailleurs, les modifications des Licences d'Oracle sont souvent mal communiquées (dans la mesure où les équipes d’Oracle travaillent parfois avec des informations datées concernant l’état des licences). Oracle est également accusé de favoriser des choix de licences qui favorisent son revenu au détriment des exigences de ses clients.
Autant d’inconvénients dont les clients se mettent à l’abri s’ils choisissent d’opter pour un Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles (SGDBR) open source tel que PostgreSQL. Certaines entreprises hésitent encore à faire le pas de la migration, pour des raisons de continuité opérationnelle. Bien préparée, elle n’est pourtant pas impossible et le retour sur investissement est assuré. D’autres, dont l’activité débute à peine, mal informées ou mal conseillées, se dirigent vers des bases de données propriétaires alors même qu’il leur serait possible de faire un choix plus judicieux et dont les conséquences ne pèseront pas durablement sur leur activité.
« En France, où l’open source a la faveur des décideurs IT, et où les administrations montrent volontiers l’exemple dans l’adoption de technologies échappant aux stratégies des éditeurs de logiciels propriétaires, la progression des SGDBR libres, au premier rang desquels PostgreSQL, est rapide. Au point que l’on commence à ressentir la pénurie de compétences dans ce secteur. » explique Jean-Paul Argudo, Directeur Général de Dalibo.
« Les licences correspondent à une tentative de protéger un revenu, elles ne vont le plus souvent ni dans le sens de l’innovation, ni dans celui du service rendu. Dans le domaine des technologies d’infrastructures informatiques, les technologies ouvertes ont particulièrement un rôle à jouer et le Socle Interministériel de Logiciel Libre en est sans doute la meilleure illustration »
Selon cette organisation, les motifs de plainte des clients portent sur des demandes d’audit souvent floues et auxquelles il est difficile de répondre : même les services de gestion des licences fournis par Oracle s’avèrent en grande partie inutile lors de ces audits.
Par ailleurs, les modifications des Licences d'Oracle sont souvent mal communiquées (dans la mesure où les équipes d’Oracle travaillent parfois avec des informations datées concernant l’état des licences). Oracle est également accusé de favoriser des choix de licences qui favorisent son revenu au détriment des exigences de ses clients.
Autant d’inconvénients dont les clients se mettent à l’abri s’ils choisissent d’opter pour un Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles (SGDBR) open source tel que PostgreSQL. Certaines entreprises hésitent encore à faire le pas de la migration, pour des raisons de continuité opérationnelle. Bien préparée, elle n’est pourtant pas impossible et le retour sur investissement est assuré. D’autres, dont l’activité débute à peine, mal informées ou mal conseillées, se dirigent vers des bases de données propriétaires alors même qu’il leur serait possible de faire un choix plus judicieux et dont les conséquences ne pèseront pas durablement sur leur activité.
« En France, où l’open source a la faveur des décideurs IT, et où les administrations montrent volontiers l’exemple dans l’adoption de technologies échappant aux stratégies des éditeurs de logiciels propriétaires, la progression des SGDBR libres, au premier rang desquels PostgreSQL, est rapide. Au point que l’on commence à ressentir la pénurie de compétences dans ce secteur. » explique Jean-Paul Argudo, Directeur Général de Dalibo.
« Les licences correspondent à une tentative de protéger un revenu, elles ne vont le plus souvent ni dans le sens de l’innovation, ni dans celui du service rendu. Dans le domaine des technologies d’infrastructures informatiques, les technologies ouvertes ont particulièrement un rôle à jouer et le Socle Interministériel de Logiciel Libre en est sans doute la meilleure illustration »
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