IRIS Analytics et SER2S (Société d’Exploitation de Réseaux et de Services Sécurisés), filiale du Groupement des Cartes Bancaires CB, annoncent aujourd’hui le déploiement d’un système d’évaluation des transactions intégré du réseau d’autorisation e-rsb, qui renforce la sécurité des transactions pour plus de 75% des cartes françaises de paiement. Le logiciel fourni et configuré par IRIS Analytics pour SER2S s’attaque aux nouveaux procédés et stratégies de fraude que les mesures classiques de prévention de la fraude peinent à détecter.
«nous augmentons la sécurité tout en garantissant le temps de réponse pour nos clients lors du paiement »
Antoine Sautereau, directeur Opérations à Cartes Bancaires, a joué un rôle essentiel dans le choix d’IRIS et la mise en œuvre de nouveaux modèles anti-fraude. Selon lui, « même si le déploiement du standard EMV a véritablement amélioré la sécurité des transactions en garantissant l’authenticité de la carte, il existe encore des secteurs ou des types de transaction qui représentent des cibles pour les fraudeurs. Nous avons donc décidé d’aller au-delà des meilleures pratiques actuelles de sécurité des paiements en plaçant le « scoring » de transactions au cœur même du réseau e-rsb, qui voit passer une grande part des paiements et des retraits. »
Les émetteurs de cartes CB ont été dans les premiers, dès les années 90, à opter pour les cartes à puce qui ont permis pendant un certain temps de dissuader les fraudeurs qui se sont tournés vers des systèmes de cartes moins sécurisés. Les émetteurs de cartes parviennent à détecter et maîtriser une partie des transactions frauduleuses mais les scénarios de fraude de plus en plus élaborés et industrialisés, et la proportion de plus en plus importante des transactions « e-commerce » exigent des mesures complémentaires. En France, la croissance de cette menace a convaincu les banques de la nécessité d’une ligne de défense additionnelle pour effectivement réduire la fraude.
En opérant au cœur même du système de routage des autorisations, IRIS surveille désormais en temps réel le comportement de la plupart des cartes et des commerçants et traite chaque année 4,7 milliards de transactions. « Avec un délai de calcul du score moyen inférieur à 5 millisecondes par transaction même en période de pointe, l’impact de l’utilisation d’IRIS est imperceptible vu du client » affirme Pierre Juhen, directeur-général de SER2S, « nous augmentons la sécurité tout en garantissant le temps de réponse pour nos clients lors du paiement »
L’adoption d’IRIS intervient au moment où l’accélération du rythme des transactions — dopée par l’augmentation des achats sur Internet — ouvre la porte à de nouveaux types d’attaques. La pression permanente due à la créativité des fraudeurs exige une plateforme spécifique au centre du système CB afin que les experts de la fraude puissent superviser et adapter en permanence les modèles de décision. Dans le nouveau système déployé, l’interaction entre les experts « fraude » du GIE CB et l’intelligence artificielle d’IRIS permet, dans un cadre de coopération harmonieux, de « parler » le même langage de modélisation.
Constantin von Altrock, directeur-général d’IRIS Analytics, déclare : « Grâce à notre expérience après de longues années d’efforts dans le « scoring » automatisé de la fraude, nous étions convaincus qu’il fallait mettre en œuvre un tout nouveau concept qui tienne compte du jeu du chat et de la souris, de la fraude et des mesures pour la combattre. Cela nous permet de préparer à toute éventualité des environnements aussi critiques que le réseau e-rsb qui voit passer une part importante des transactions sur ce marché. »
Le système IRIS est opérationnel sur le réseau e-rsb depuis avril 2014. Les premiers résultats montrent qu’il détecte déjà un nombre très important de cas de fraude, avec une pertinence élevée, notamment pour les paiements e-commerce.
«nous augmentons la sécurité tout en garantissant le temps de réponse pour nos clients lors du paiement »
Antoine Sautereau, directeur Opérations à Cartes Bancaires, a joué un rôle essentiel dans le choix d’IRIS et la mise en œuvre de nouveaux modèles anti-fraude. Selon lui, « même si le déploiement du standard EMV a véritablement amélioré la sécurité des transactions en garantissant l’authenticité de la carte, il existe encore des secteurs ou des types de transaction qui représentent des cibles pour les fraudeurs. Nous avons donc décidé d’aller au-delà des meilleures pratiques actuelles de sécurité des paiements en plaçant le « scoring » de transactions au cœur même du réseau e-rsb, qui voit passer une grande part des paiements et des retraits. »
Les émetteurs de cartes CB ont été dans les premiers, dès les années 90, à opter pour les cartes à puce qui ont permis pendant un certain temps de dissuader les fraudeurs qui se sont tournés vers des systèmes de cartes moins sécurisés. Les émetteurs de cartes parviennent à détecter et maîtriser une partie des transactions frauduleuses mais les scénarios de fraude de plus en plus élaborés et industrialisés, et la proportion de plus en plus importante des transactions « e-commerce » exigent des mesures complémentaires. En France, la croissance de cette menace a convaincu les banques de la nécessité d’une ligne de défense additionnelle pour effectivement réduire la fraude.
En opérant au cœur même du système de routage des autorisations, IRIS surveille désormais en temps réel le comportement de la plupart des cartes et des commerçants et traite chaque année 4,7 milliards de transactions. « Avec un délai de calcul du score moyen inférieur à 5 millisecondes par transaction même en période de pointe, l’impact de l’utilisation d’IRIS est imperceptible vu du client » affirme Pierre Juhen, directeur-général de SER2S, « nous augmentons la sécurité tout en garantissant le temps de réponse pour nos clients lors du paiement »
L’adoption d’IRIS intervient au moment où l’accélération du rythme des transactions — dopée par l’augmentation des achats sur Internet — ouvre la porte à de nouveaux types d’attaques. La pression permanente due à la créativité des fraudeurs exige une plateforme spécifique au centre du système CB afin que les experts de la fraude puissent superviser et adapter en permanence les modèles de décision. Dans le nouveau système déployé, l’interaction entre les experts « fraude » du GIE CB et l’intelligence artificielle d’IRIS permet, dans un cadre de coopération harmonieux, de « parler » le même langage de modélisation.
Constantin von Altrock, directeur-général d’IRIS Analytics, déclare : « Grâce à notre expérience après de longues années d’efforts dans le « scoring » automatisé de la fraude, nous étions convaincus qu’il fallait mettre en œuvre un tout nouveau concept qui tienne compte du jeu du chat et de la souris, de la fraude et des mesures pour la combattre. Cela nous permet de préparer à toute éventualité des environnements aussi critiques que le réseau e-rsb qui voit passer une part importante des transactions sur ce marché. »
Le système IRIS est opérationnel sur le réseau e-rsb depuis avril 2014. Les premiers résultats montrent qu’il détecte déjà un nombre très important de cas de fraude, avec une pertinence élevée, notamment pour les paiements e-commerce.
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